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colin firth - Page 2

  • La taupe

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    Le Circus. Siège des services de renseignements britanniques dirigés par Control (John Hurt). Une information capitale est parvenue à ses oreilles, il existerait une taupe parmi eux et il confie à Jim Prideaux (Mark Strong) le soin de se rendre à Budapest pour obtenir ce précieux renseignement. L’opération tourne au fiasco et l’agent Prideaux est froidement abattu. Un an plus tard, le gouvernement britannique reçoit un coup de fil d’un certain Ricky Tarr (Tom Hardy) qui relance la rumeur de la taupe. On fait alors appel à George Smiley (Gary Oldman), ancien membre du Circus et proche de Control afin de tirer toute cette histoire au clair et découvrir l’identité du traitre qui sommeille dans leurs rangs.

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    C’est l’un des rares films que j’ai été amené à revoir dans la foulée ! Non pas que j’ai été emballé mais tout simplement parce que j’avais été totalement largué lors de la première séance au point d’être incapable de vous résumer l’histoire. Il est ainsi impératif au spectateur de rester très attentif devant La taupe pour ne serait-ce que comprendre la trame scénaristique car un simple mot ou un nom évoqué suffit pour vous entrainer en un autre lieu ou  à une autre époque. La mise en scène de Tomas Alfredson, le papa de Morse, semble au premier abord amorphe mais j’avoue que ce n’est qu’à la seconde vision que j’ai pu entrevoir toutes les subtilités de la réalisation et apprécier comme il se doit les prestations d’un casting impressionnant. Une 3ème séance ne serait peut-être pas inutile !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’il n’est pas si facile de déterrer une taupe !

  • Le discours d’un roi

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    Prendre la parole devant le public est un véritable calvaire pour notre pote Albert (Colin Firth). Souffrant de bégaiement, il craint en effet de devenir la risée de tout le monde lorsqu’il prend la parole ne ménage donc pas ses efforts pour vaincre cet handicap d’autant plus qu’il est n’est pas un homme ordinaire ; il est amené à régner sur l’Angleterre en succédant à son père George V (Michael Gambon). Celui que l’on appellera George VI peut compter sur le soutien indéfectible de sa femme Elizabeth (Helena Bonham Carter) et c’est d’ailleurs elle qui lui présente Lionel Logue (Geoffrey Rush). On dit que cet homme, aux méthodes certes peu orthodoxes, a obtenu des résultats miraculeux et cela va marquer le début d’une grande amitié.

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    Le discours d’un roi ou comment rendre intéressante l’histoire de la monarchie anglaise puisque George n’est autre que le père de l’inusable Elizabeth II. Difficile de ne pas remarquer la prestation de Colin Firth qui est proche de l’exceptionnel d’autant plus quand sa complicité avec Geoffrey Rush est elle aussi merveilleuse. Le destin d’un grand homme donne un grand film, Tom Hooper, après l’excellent The damned united, réussit une fois de plus à nous séduire et ne serait-ce que pour le discours concluant le film, Le discours d’un roi s’impose comme une œuvre indispensable. Coup de cœur Ciné2909 évidemment !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus s’étonner de voir des gens effectuer de drôles de choses pendant leurs discours.

  • A single man

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    Cela faisait 16 ans que Jim (Matthew Goode) illuminait ses journées et depuis la mort de celui-ci, George (Colin Firth) voit son existence s'évanouir. Un deuil d'autant plus difficile à accepter que la famille de Jim s'évertue à le tenir éloigné allant jusqu'à lui cacher l'accident mortel de son compagnon. Déprimé, George se réconforte comme il le peut auprès de sa pote d'enfance Charley (Julianne Moore) mais rien n'y fait et il se résout à préparer la fin de son histoire. Il a minutieusement tout préparé, pris toutes ses dispositions et alors qu'il s'apprête à passer à l'acte, Charley le convie à boire un verre et la nuit ne va pas se terminer comme il se l'imaginait.

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    Christopher Isherwood avait écrit le roman Un homme au singulier dans les années 1960 et un demi-siècle plus tard, le voilà adapté pour le grand écran. Un film qui va vite donner le ton, son rythme extrêmement lent vous fera soit rapidement fuir soit vous permettra d'apprécier à loisir le jeu de Colin Firth dans un de ses meilleurs rôles. En dehors de ça, on pourra également le contexte historique dans lequel se déroule ce drame et surtout l'esthétique de A single man avec un intéressant jeu sur les couleurs.

     

    Il faut le voir pour : Trouver un moyen infaillible d'avoir du pain frais à tout moment.

  • Un mariage de rêve

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    John Whitakker (Ben Barnes) va prochainement revenir à la maison, voilà une nouvelle qui aurait du ravir toute sa famille et notamment sa mère Veronica (Kristin Scott-Thomas). Seulement, il a réservé une surprise de taille puisqu’il s’est marié avec une femme splendide du nom de Larita (Jessica Biel). Américaine originaire de Detroit, celle-ci va faire connaissance avec sa belle famille mais reçoit un accueil pour le moins glacial. Sa nouvelle belle-mère montre en effet une certaine animosité envers elle car le destin de John semblait déjà tout tracé, il aurait du épouser sa pote d’enfance Sarah (Charlotte Riley). Entre les deux femmes, la guerre ne fait que commencer.

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    Si le conflit belle-mère / belle fille n’a en soi rien de vraiment original, c’est le cadre dans lequel l’histoire se déroule qui donne un peu plus d’intérêt à ce film. Adapté d’une pièce de théâtre, Un mariage de rêve nous convie en effet dans l’Angleterre des années 1920, une époque où règne le respect des règles établies. La modernité vient donc souffler dans cette maison avec l’arrivée de Larita mais malgré les quelques crises qui couvent entre les deux femmes, on s’ennuie un peu. Divertissant mais loin d’être indispensable.

     

    Il faut le voir pour : Toujours regarder derrière soi avant de s’asseoir.

  • Un mari de trop

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    Toutes les femmes l’écoutent, l’émission de radio du Dr Love animée par Emma Lloyd (Uma Thurman) est un véritable succès. Elle y aborde sans complexes toutes les difficultés des rapports en couple à notre époque délivrant de précieux conseils pour que les femmes puissent pleinement jouir de leur relation. Notre pote Patrick Sullivan (Jeffrey Dean Morgan), lui se serait bien passé de ces conseils car à cause d’elle son mariage qui était imminent a été purement et simplement annulé. Pour prendre sa revanche et avec l’aide d’un pote d’enfance, il va profiter d’un bug informatique pour faire croire qu’il est marié avec Emma Lloyd !

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    Une nouvelle comédie romantique avec une bonne recette traditionnelle parsemée d’un brin (mais alors un brin) d’humour pour ne pas endormir complètement le spectateur. Pas grand-chose à tirer donc d’Un mari en trop si ce n’est qu’une énième comédie du genre qui manque cruellement de punch et dont l’issue est écrite d’avance. Le couple Uma Thurman/Jeffrey Dean Morgan n’a vraiment rien de transcendant pour vous convaincre de laisser sa chance à ce film. A réserver aux fans de comédies romantiques guimauves !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier si vous êtes marié avant de vous marier !
  • La dernière légion

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    L’histoire est en train de s’écrire, nous sommes en 476 après J-C et le jeune Romulus Augustus (Thomas Sangster) vient d’être couronné empereur de Rome. Il est le dernier des descendants de la prestigieuse lignée des César et sa position attise nombre de convoitises ainsi Odoacre (Peter Mullan) décide de prendre le pouvoir par la force. Les Goths capturent le jeune empereur qui voit ses parents mourir sous ses yeux avant d’être exilé sur l’ile de Capri en compagnie de son précepteur Ambrosinus (Ben Kingsley). Pour sauver son empereur, le commandant Aurelius (Colin Firth) part avec ses hommes afin que Rome puisse se relever mais les évènements ne se dérouleront pas comme prévu.

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    Un petit film d’aventures c’est toujours bon à prendre même si La dernière légion n’a vraiment rien d’extraordinaire. Niveau image et effets spéciaux, il ne faut pas vous attendre à la trilogie du Seigneur des anneaux car on sent bien ici que le budget a été serré. Quant au reste ; il faut se contenter de quelques scènes de baston,  de la foi inébranlable des sujets envers leur empereur et d’un peu de romance. Si la beauté d’Aishwarya Rai est incontestable, il est aussi évident que son rôle n’apporte strictement rien à l’histoire mais ça reste une découverte pour le grand public pour cette célébrité du Bollywood et ancienne miss monde.

     

    Il faut le voir pour : Connaitre la véritable légende d’Excalibur.