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benoît poelvoorde - Page 2

  • le grand soir

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    A les voir ensemble, impossible de deviner que nos potes Not & Jean-Pierre (Benoit Poelvoorde & Albert Dupontel) sont frères. Ils sont aujourd’hui réunis pour célébrer l’anniversaire de leur mère mais leurs routes se séparent rapidement car ils ont 2 modes de vie totalement différents. Not est un punk dont le seul compagnon est son chien 8-6 tandis que Jean-Pierre a lui une vie plus rangée ; vendeur de matelas avec femme et enfant. Pourtant, ce dernier est actuellement sous pression car il n’a pas atteint ses objectifs de vente et doit se démener pour réaliser ses chiffres. Des efforts qui seront vains et qui vont le mener vers une toute autre voie guidé par son frère ravi de trouver un nouveau partenaire.

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    Ce dont on peut être sur en allant voir un film de l’intenable duo Delépine / De Kervern, c’est que ça ne ressemblera en rien à ce qu’on a pu voir. Autre grand atout avec Le grand soir ; la réunion de Poelvoorde & Dupontel qui sont totalement dans leur élément et qui ne manqueront pas de déclencher les rires dans la salle. On ne manquera pas non plus de souligner la participation remarquée d’une Brigitte Fontaine totalement allumée et la présence d’une guest-star dans la peau du devin. Pour faire évoluer sa galerie de personnages extravagants, il faut également un décor atypique et c’est donc au cœur d’un centre commercial fort en symbolique où nos 2 énergumènes font semer la pagaille. Une comédie inattendue et barrée !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller attentivement vos yaourts lorsque vous faites vos courses !

  • Les émotifs anonymes

    Bonjour, je m’appelle Angélique (Isabelle Carré) et je suis émotive !

    a.jpgTenez, je vous ai apporté une boite de chocolats, servez-vous ! J’ai toujours aimé le chocolat et d’ailleurs j’ai même fait mes études pour assouvir cette passion mais tout ne s’est pas passé comme je l’espérais.

     

    Dès que le regard des gens se portent sur moi, je perds tous mes moyens ce qui m’a causé beaucoup de soucis aussi bien dans ma vie privée que professionnelle. Aujourd’hui, je viens d’être engagée comme Commerciale pour une fabrique de chocolat.

     

    b.jpgC’est une véritable catastrophe ! Comment je vais pouvoir vendre leur chocolat alors que j’ose à peine parler en public ? Non, vraiment il faut que j’en parle à Jean-René (Benoit Poelvoorde) mais ce qui m’a intrigué c’est que lui aussi se comporte de manière étrange.

  • Mon pire cauchemar

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    Leur première rencontre n’a pas été des plus cordiales et quelle ne fut pas la surprise d’Agathe (Isabelle Huppert) lorsqu’elle a vu Patrick (Benoit Poelvoorde) sonner à sa porte. Il faut dire qu’il s’agit là d’un sacré personnage qui n’a pas la langue dans sa poche et on s’étonne souvent du contraste qu’il y a avec son fils Tony (Corentin Devroey), véritable petit génie. Le hasard fait que ce dernier est un pote d’enfance d’Adrien (Donatien Suner), fils d’Agathe et de François (André Dussolier) et ça va être le début d’une longue histoire. Patrick est engagé pour faire des travaux dans l’appartement mais sa présence n’a pas l’air d’enchanter tout le monde.

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    Entre la réalisatrice Anne Fontaine et Benoit Poelvoorde, le courant semble merveilleusement bien passer puisque Mon pire cauchemar marque leur 3ème collaboration. Le belge forme cette fois un duo avec Isabelle Huppert qui se glisse avec une aisance considérable dans la peau de cette bourgeoise coincée. Reste ensuite à la comédie de dérouler son histoire et aux personnages de dévoiler leurs caractères malheureusement on ne se marre pas beaucoup, le couple Poelvoorde / Huppert est sympathique mais l’alchimie n’est pas là. Quant à celui formé par Efira / Dussolier, il ne réussit pas plus à rattraper le coup pour ce film au final assez mièvre.   

     

    Il faut le voir pour : Inviter votre copine à passer la soirée chez Ikea sans oublier un diner avec boulettes !

  • Rien à déclarer

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    La construction de L’Europe ne fait pas que des heureux, la preuve avec Ruben Vandevoorde (Benoit Poelvoorde), fervent défenseur de sa magnifique Belgique. Ce douanier n’en revient toujours pas que les frontières vont prochainement disparaitre, ça va être la porte ouverte aux voleurs, aux trafiquants en tous genres bref aux français ! D’ailleurs, ses relations avec ses collègues français sont pour le moins tendues et ce n’est pas notre pote Mathias Ducatel (Dany Boon) qui vous dira le contraire. Ce dernier est dans une situation embarrassante ; il est fou amoureux de Louise (Julie Bernard) qui n’est autre que la sœur de Ruben.

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    Contre toute attente, Bienvenue chez les Ch’tis avait battu tous les records détenant désormais le plus grand nombre d’entrées pour un film français. A priori, Dany Boon ne rééditera pas l’exploit ; Rien à déclarer est une comédie proche de sa dernière réalisation, un film à l’humour assez potache n’hésitant pas à s’appuyer sur les préjugés touchant aussi bien les français que les belges. Quant à l’inspiration de son scénario, il n’est pas allé la chercher bien loin ; l’antagonisme Nord / Sud est transposé à l’Europe avec bien évidemment ce cher message de fraternité en guise de conclusion. Tout le monde ne sera pas sensible à cette comédie populaire mais la présence de Benoit Poelvoorde est un bel argument pour vous laisser tenter.

     

    Il faut le voir pour : Sortir votre 4L du garage et lui faire un bon lifting !  

  • Les émotifs anonymes

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    Angélique (Isabelle Carré) a une passion dans sa vie ; le chocolat. C’est ainsi qu’elle s’est lancée dans la cuisine et très vite son talent a été reconnu mais elle doit affronter un mal terrible, elle est émotive ! Le regard des autres la fait paniquer et afin de pouvoir continuer à travailler le chocolat ; elle en fabriquait en secret le magasin de Monsieur Mercier (Claude Aufaure) et le succès est vite arrivé. Hélas à la mort de Mercier, elle se retrouve démunie et répond à une annonce  d’une fabrique de chocolat en perdition. Le patron Jean-René (Benoit Poelvoorde) parait dur en apparence mais lui aussi est un émotif et l’arrivée d’Angélique pourrait bien lui changer la vie.

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    Voici une excellente surprise à déguster tout comme on dégusterait une belle boite de chocolat. Il faut bien l’avouer, notre gourmandise s’éveille devant la noblesse du chocolat ; comment résister en l’entendant craquer sous la dent ? Et puis, il y a Isabelle Carré et Benoit Poelvoorde (couple parfait à l’écran soit dit en passant) tous deux fondants dans leurs rôles d’émotifs, tendres et si attachants ce qui donne de drôles de situations. C’est par le rire que Jean-Pierre Améris choisit de nous faire vivre le quotidien des émotifs même si on prend bien conscience que leur vie est loin d’être rose. Les émotifs anonymes est la comédie idéale pour débuter cette nouvelle année sur une vague de douceur alors ne vous privez pas !

     

    Il faut le voir pour : Allez vous acheter une boite de chocolats.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Kill me please

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    Depuis l’ouverture de son institut, le Docteur Krueger (Aurélien Recoing) est loin de faire l’unanimité dans la région. Il reçoit en effet des patients bien particuliers ; des hommes et des femmes souffrant de graves maladies en phase terminale et qui veulent abréger leurs souffrances. Certains y voient un procédé honteux ; Krueger se défend en affirmant qu’il ne pousse personne vers la mort au contraire, il tente avant tout de leur faire prendre conscience de leur acte. Quand l’issue est inévitable, son équipe et lui-même font alors tout leur possible pour que le départ du patient se fasse dans la plus grande dignité possible.

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    C’est un pari hautement audacieux que de proposer une comédie sur un thème aussi grave que le suicide et pourtant Kill me please est une petite merveille d’humour noir. Dans le genre, on fait rarement mieux que nos voisins belges et en l’occurrence c’est Olias Barco qui dirige les festivités. Pendant les 30 premières minutes, le sujet est traité de manière assez formelle - avec en guest un certain Benoit Poelvoorde - par la suite attendez-vous à avoir quelques crises de rire ! Malgré un rythme saccadé est un départ un peu laborieux, voici une bonne comédie à découvrir et que j’encourage avec plaisir par un Coup de cœur Ciné2909.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de parier n’importe quoi au poker.

  • La guerre des miss

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    01.jpgJe m’appelle Franck Chevrel (Benoit Poelvoorde) et je serais votre nouveau coach pour les jours à venir. Il y a encore 17 ans je vivais ici. Vous me connaissez surement car j’ai fait de nombreux films et dernièrement j’ai même tourné avec Catherine Deneuve…enfin jusqu’à ce qu’elle ait un accident idiot.


    Bref, pour en revenir à nos moutons ; le Maire de Charmoussey (Jacques Mathou) m’a fait venir afin de faire de vous des Winneuses ! Le village compte sur vous, tout le monde s’est sacrifié pour réunir les 2743 euros qui m’ont fait venir bien que je compte donner cela aux bonnes œuvres.

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     Alors les filles, cette 23ème élection de Miss Pays de Garupt, elle est pour nous ! Bon par contre, je crois qu’on va devoir refaire le casting car je suis certain qu’il y a une autre beauté qui a du nous échapper.

     

     


    En savoir plus sur La guerre des miss ?

  • Mammuth

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    L'heure de la retraite a enfin sonné pour Serge (Gérard Depardieu) après 10 ans passés à dans une usine d'équarrissage de cochon. Après une grande fête d'adieu et un cadeau inoubliable, il doit cependant se pencher sur un autre problème : sa pension retraite. Serge a bourlingué et fait de nombreux boulots et pour obtenir une pension maximum, on lui demande de fournir des justificatifs sur ses précédents emplois. Poussé par sa femme, il n'a d'autres choix que de sortir du garage sa vieille moto, une Munch Mammuth et partir sur les routes retrouver ses anciens employeurs. Une virée qui va réveiller chez lui un douloureux souvenir.

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    Le duo Benoit Délépine / Gustave Kervern est de retour mais cette fois avec un géant du cinéma français puisque c'est Gérard Depardieu himself qui devient leur héros. L'esprit du Groland plane toujours et cela donne des scènes parfois insensées paradoxalement, Mammuth est certainement le film le plus abordable pour le grand public. Quel plaisir également de retrouver l'immense Depardieu dans un de ses plus meilleurs rôles, on se marre du début jusqu'à la fin -à condition d'apprécier l'humour si particulier du duo Délépine / Kervern- et vous auriez tort de vous priver de cette excellente comédie !

     

    Il faut le voir pour : Que les voleurs de téléphone portable fassent bien attention... enfin si on les retrouve !

  • L'autre Dumas

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    En manque d'inspiration, le célèbre Alexandre Dumas (Gérard Depardieu), auteur des 3 mousquetaires, est parti se ressourcer du coté de Trouville. Pour ce voyage, il est accompagné par Auguste Maquet (Benoit Poelvoorde), ancien professeur d'histoire mais aussi et surtout son nègre. Alors qu'ils s'étaient installés à l'hôtel, Auguste fait la connaissance de Charlotte Desrives (Mélanie Thierry) qui le confond avec l'écrivain Dumas. Troublé par cette mésentente dans un premier temps, il n'a pas pu se résoudre à lui avouer la vérité, il est tombé sous le charme de cette jeune femme. Cette dernière lui demande alors un service, l'aider à faire retrouver la liberté à son père, une connaissance de Dumas.

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    Une première partie plutôt réussi où Depardieu se laisse aller avec allégresse aux plaisirs aussi bien gustatifs que charnels. S'installe ensuite ce quiproquo dont on sait qu'il finira bien par être dévoilé mais une fois le pot aux roses découvert, L'autre Dumas perd beaucoup de son intérêt. Si on savait déjà que Depardieu se sentirait facilement à l'aise dans ce genre de films, la surprise vient de Benoit Poelvoorde qui nous fait découvrir une nouvelle facette de son jeu d'acteur. Une petite leçon d'histoire au cinéma sur un célèbre écrivain et surtout une partie plus méconnue de sa vie.

     

    Il faut le voir pour : Dire qu'Alexandre Dumas n'est qu'un usurpateur dans une conversation et avoir l'air cultivé pendant 30 secondes.

  • Panique au village

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    Nous sommes le 21 Juin, une date pas si anodine puisque c’est l’anniversaire de Cheval, un évènement qu’avaient oublié Indien & Cow-boy. Pris au dépourvu, ils cherchent à la hâte une idée de cadeau et se mettent d’accord pour lui construire un barbecue mais le problème c’est qu’ils n’ont pas assez de briques à disposition. Ils doivent donc passer une commande sur Internet mais une erreur de manipulation fait qu’ils vont recevoir 50 millions de briques au lieu des 50 dont ils avaient besoin. Pour parer au plus pressé, ils décident de cacher toutes ces briques et les entreposent au-dessus de la maison mais ce n’est que le début de leurs soucis.

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    A l’origine, il y a une série animée diffusée sur Canal + le temps de 20 épisodes qui a connu un beau petit succès amenant à produire cette version cinéma. C’est certain, on n’a pas l’aura des films d’animation hypersophistiqués en images de synthèse mais Panique au village grouille de bonnes idées. Les héros, des personnages hauts en couleur et forts en gueule, sont des figurines plongés dans un univers en pâte à modeler et surtout une histoire qui va prendre une tournure complètement folle. Une très belle découverte pour ceux qui comme moi ne connaissaient pas l’œuvre original de Vincent Patar & Stéphane Aubier.

     

    Il faut le voir pour : Offrir une casquette, c’est bien suffisant !