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Film - Page 206

  • Zookeeper

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    Griffin Keyes (Kevin James) est un gardien de zoo exemplaire, il est aux petits soins avec chacun de ses pensionnaires et tous les animaux l’adorent. Même si notre pote adore son boulot, certains trouvent qu’il manque d’ambition et c’est d’ailleurs pour cette raison que Stéphanie (Leslie Bibb) a refusé sa demande en mariage il y a 5 ans déjà. Il a eu bien du mal à s’en remettre et il se trouve qu’elle va ressurgir dans sa vie et Griffin retombe immédiatement sous le charme, il n’a maintenant qu’une seule ambition : la séduire de nouveau. Comment va-t-il pouvoir s’y prendre lui qui manque cruellement de confiance ? Il va recevoir les conseils avisés … des animaux du zoo ! A sa grande surprise, ils découvrent en effet que ceux-ci sont capables de parler comme n’importe quel être humain et ça va changer sa vie.

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    Si vous avez adoré Dr. Dolittle et en règle général tous ces films où les animaux sont dotés de la parole, alors c’est sur que vous passerez du bon temps avec Zookeeper. Comme à l’accoutumée dans ce genre si particulier, l’humour ne vole pas bien haut accompagnant une histoire autant naïve que prévisible mais les enfants devraient y trouver facilement leurs comptes. Pour les autres spectateurs, on ne se laisse pas du tout séduire par un Kevin James assez mou ce qui rend le film un peu (voire trop) pénible par moment. Les seconds rôles ne se font pas plus remarquer et on se demande même ce que vient faire Ken Jeong et la présence de la belle Rosario Dawson ne suffit pas à relever le niveau d’une comédie sans âme.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas vous étonner de croiser un gorille en polo dans votre restaurant favori !

  • Captain America : First Avenger

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    1942. Hitler et l’armée nazie sème terreur et désolation en Europe et l’aide militaire américaine est la bienvenue. Steve Rogers (Chris Evans) veut rejoindre l’armée malheureusement pour lui sa frêle apparence et sa santé fragile jouent en sa défaveur néanmoins son abnégation impressionne. C’est d’ailleurs ce qui a persuadé le Dr. Abraham Erskine (Stanley Tucci) de le choisir pour expérimenter une formule capable de le transformer en un soldat aux capacités extraordinaires. Alors que Steve découvre avec stupéfaction son nouveau corps, le Dr. Erskine est tué par un espion allemand et disparait avec lui le secret de la formule. D’abord considéré comme un simple porte-parole, celui que l’on appelle Captain America va rapidement devenir un héros dans cette guerre et devra affronter l’armée du terrible Red Skull (Hugo Weaving).

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    C’était l’adaptation à ne pas louper d’une part parce que Captain America n’est pas qu’un simple super-héros, il est une icône dans l’univers du comic et d’autre part car ce film est la pierre angulaire du prochain blockbuster The avengers. Le risque était qu’on nous serve un film débordant de patriotisme, un hymne au héros américain mais on est vite rassuré ; pas question ici de faire de la surenchère. Contrairement à ses potes d’enfance Iron Man ou Thor, Cap trouve ses origines au cœur de la Seconde guerre mondiale et ça donne l’occasion de découvrir un film de super-héros dans un contexte bien différent. Il ne faut donc pas s’attendre à un film aussi spectaculaire que ceux de ses collègues vengeurs mais il n’en reste pas moins que Captain America : First Avenger est une belle réussite. Reste plus qu’à attendre la réunion des plus grands héros de la terre et ça va être long !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire de la musculation, on va bien finir par la trouver cette formule secrète !

  • Blanche-Neige et les sept nains

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    Lorsque la Reine interroge son miroir magique pour connaitre la plus belle femme du Royaume, elle ne s’attendait certainement pas à ce que la réponse soit Blanche-Neige. Courroucée par cette révélation, elle charge son valet de la tuer ce qui lui permettra ainsi de devenir la plus belle des reines. Au dernier moment, le valet ne peut exécuter l’ordre qu’on lui a donné et invite Blanche-Neige à s’enfuir dans la foret où elle finira par trouver refuge dans une maison désordonnée. Avec l’aide des animaux, elle va rafraîchir cette maison qui en avait bien besoin et puis, terrassée de fatigue, elle s’écroule de sommeil dans ces drôles de petits lits. Quelle surprise lorsqu’à son réveil elle se voit accueillie par 7 adorables nains qui vont l’adopter sans la moindre hésitation …enfin à part notre pote Grincheux !

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    Considéré par beaucoup comme la référence ultime de l’œuvre de Walt Disney, Blanche-Neige et les sept nains est surtout son premier film d’animation, celui qui allait changer à jamais le paysage cinématographique. A l’époque de sa sortie, peu de gens croyaient possible qu’un simple dessin animé parvienne à séduire les spectateurs mais 70 ans plus tard on ne peut que s’incliner devant cette adaptation magique du conte des Frères Grimm. Outre ses qualités esthétiques, la bande originale a également une place toute particulière puisque se graveront dans nos mémoires le célèbre Heigh-ho des sept nains mais également le désormais classique Un jour mon prince viendra. Un œuvre immense et incontournable qui a posé les fondations d’un genre.

     

    La scène à ne pas louper : Le ménage de la maison des 7 nains.

  • Conan

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    Notre pote Conan (Leo Howard / Jason Momoa) a vu le jour dans le sang et la poussière, son premier cri a ainsi accompagné les derniers moments de la vie de sa mère. Ce barbare Cimmérien a ensuite grandit avec son père Corin (Ron Perlman) qui lui a tout appris et fait de lui un redoutable guerrier dès le plus jeune âge. Le destin va toutefois encore s’acharner sur le garçon puisque son village est attaqué par Khalar Zym (Stephen Lang) et son armée et malgré tous les efforts de Conan, il ne peut sauver son père de la mort. Les années s’écoulent mais le barbare cherche plus que jamais à assouvir sa vengeance et il parvient enfin à retrouver la trace de cet homme devenu un seigneur craint et respecté.

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    Il ne faut pas se leurrer quand on entre dans la salle pour voir Conan, on sait forcément à quoi s’attendre à savoir une ode à l’action et aux bonnes bastons. Au vu de l’intérêt limité de faire ce type de films, on peut quand même s’interroger sur les raisons qui ont poussé à faire un remake à Conan, le barbare. Il semblerait qu’une trilogie se mette en place mais si tel est le cas, il va falloir engager de bons scénaristes ! Comme tout barbare qui se respecte, notre pote Cimmérien décapite, éventre, massacre ou casse simplement la gueule (quand il est fatigué) de ses ennemis ; une violence exacerbée parfois inutile. Pas besoin de faire dans la boucherie pour assurer le spectacle et d’ailleurs la scène qu’on retiendra restera celle le confrontant aux hommes de sable. Pourtant friand de ce genre de divertissement, l’ennui a rapidement pris le dessus sur le plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de mettre vos doigts dans le nez (quand vous en avez un).

  • Comment tuer son boss ?

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    Nick, Dale & Kurt (Jason Bateman, Charlie Day & Jason Sudeikis) sont potes d’enfance et lorsque le soir venu ils se retrouvent pour boire un coup, ils n’ont qu’un seul sujet de conversation : leurs patrons ! Cela fait plus de 8 ans que Nick se démène et accumule les heures supplémentaires dans l’espoir d’obtenir une promotion promise par Dave Harken (Kevin Spacey), le directeur de la boite mais il s’avère qu’il est un vrai ******. Pour, Kurt, tout allait bien avec Jack Pellit (Donald Sutherland) mais lorsque celui-ci meurt d’un infarctus, c’est le fils Bobby Pellit (Colin Farrell) qui prend les rênes et le paradis laisse alors place à l’enfer ! Il n’y a que Dale qui s’en tire plutôt bien ; cet assistant dentaire n’est victime que d’harcèlement sexuel de la part du Dr. Julia Harris (Jennifer Aniston), nymphomane ambulante. De leurs conversations découle une idée saugrenue : et si ils se débarrassaient de leurs boss ?

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    On l’a tous vécu un jour ou l’autre, cette aversion pour nos patrons alimente ainsi cette nouvelle comédie de Seth Gordon. Déjà que le trio Bateman / Sudeikis / Day nous promettait quelques bonnes tranches de rigolade ; leurs adversaires ne sont autres que Spacey / Farrell / Aniston auxquels il faut ajouter Foxx & Sutherland. Belle affiche pour Comment tuer son boss ? et pas de mauvaise surprise, on passe effectivement un bon moment avec ses apprentis meurtriers dopés aux épisodes de New York District. On appréciera tout particulièrement la prestation remarquée de Charlie Day mais dont la voix stridente peut à tout moment vous hérisser les poils. Spectateurs, spectatrices si vous avez besoin de vous changer les idées, de rigoler après une dure journée de labeur alors vous avez ce qu’il vous faut !

     

    Il faut le voir pour : Changer régulièrement de brosse à dents.

  • Street Fighter - La légende de Chun-Li

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    Alors qu’elle n’était encore qu’une enfant, notre pote Chun-Li (Kristin Kreuk) a assisté impuissante à l’enlèvement de son père par un homme du nom de Bison (Neal McDonough). Des années plus tard, elle est devenue une célèbre pianiste sur la scène internationale mais elle est surtout préoccupée par l’état de santé de sa mère. Celle-ci rend son dernier souffle quelques jours plus tard et Chun-Li décide alors de quitter sa vie confortable et part pour Bangkok à la recherche d’un certain Gen (Robin Shou) où elle retrouve également la trace de Bison. La jeune femme va enfin pouvoir régler ses comptes !

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    Quand on évoque Street Fighter, on pense forcément à cette première adaptation datant de 1994 avec comme chef de file Jean-Claude Van-Damme. Ce film avait de quoi donner un infarctus à tous les fans du jeu vidéo et l’annonce de ce nouvel épisode n’était pas pour nous rassurer. Ici, on préfère braquer les projecteurs sur le personnage de Chun-Li incarnée par une Kristin Kreuk sélectionnée davantage par son physique que sur ses qualités athlétiques. Pour satisfaire les fans, on glisse quelques personnages de la saga qui ne servent pas à grand-chose bref un film totalement anecdotique et donc loupé. Street Fighter - La légende de Chun-Li est loin de faire honneur au jeu de Capcom !

  • L’artiste

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    En un temps record il est devenu l’un des artistes les plus doués de sa génération et dans le milieu on ne parle plus que de lui : Jorge Ramirez (Sergio Pangaro) crée la sensation ! Mais comment cet homme qui n’est qu’un simple infirmier su sein d’un service de gériatrie a-t-il pu conquérir aussi subitement son public ? Simplement en allant frapper à la porte d’une galerie d’art afin d’y exposer ses dessins ; des œuvres brutes et étonnantes qui séduisent immédiatement les critiques. Il n’en faut pas plus pour que la machine médiatique s’emballe ; Jorge est invité à des conférences, des expositions mais lui prend ceci avec un certain dédain. Sans doute craint-il le moment où le public apprendra qu’il n’est pas le vrai artiste de ces œuvres mais qu’il s’agit d’un de ses patients Romano (Alberto Laiseca).

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    A l’image de toute forme d’art, ce film trouvera aussi bien critiques adoratrices qu’avis plus acerbes. L’artiste pose une question extrêmement vaste à savoir qu’est-ce que l’art ? Le regard que porte Jorge sur ses propres œuvres est aussi celui d’une bonne partie du public, celui qui semble imperméable à cet "art" là où d’autres sont capables d’entrevoir une incroyable manifestation des sentiments les plus enfouis de l’auteur. L’exemple le plus flagrant étant ce dessin qu’il pensait complètement gâché mais qui se révèle être un de ses chefs d’œuvre ! Un film qui ne va pas passionner les foules mais saluons la performance des acteurs majoritairement débutants et un Alberto Laiseca assez fascinant lorsqu’il se met à créer.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vos grands-parents à dessiner !

  • Moi, moche et méchant

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    01.jpgVous ne me connaissez pas ? Je suis Gru le plus grand méchant que le monde ait connu ! Par exemple, je suis celui qui a volé la Statue de la liberté et la Tour Eiffel. Bon d’accord ce n’était que les répliques de Las Vegas mais tout de même, ça vous donne une idée de l’étendue de ma méchanceté !

     

    Vector, tout le monde ne parle que de lui ces derniers temps. C’est le Dr Nefario qui m’a appris qu’il avait volé une Pyramide en Egypte mais ce n’est rien en comparaison de ce que je prépare. Avec mon armée de Minions, j’ai l’intention de voler la lune !

     

    02.jpgLe plan est simple, il suffit de rétrécir la lune grâce au pisto-réducteur et je deviendrais le plus méchant des méchants. Seulement, Vector m’a volé le pistolet et pour le récupérer je n’ai pas eu d’autres choix que d’adopter 3 petites filles Margaux, Edith & Agnès qui vont m’aider à m’en emparer !

     

     

    En savoir plus sur Moi, moche et méchant ?

  • Melancholia

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    Cela devait être une soirée mémorable pour nos potes Justine & Michael (Kirsten Dunst & Alexander Skarsgård) qui célébraient leur mariage mais cette nuit n’allait pas se dérouler comme ils l’avaient imaginé. La jeune mariée se montre en effet très distante et on doit presque la contraindre à assister à la cérémonie donnée en son honneur ce qui ne plait guère à sa sœur Claire (Charlotte Gainsbourg) et encore moins à John (Kiefer Sutherland), le beau-frère qui a généreusement tout financé. Tandis que les heures s’écoulent, le jeune couple n’aura jamais paru aussi éloigné avant de provoquer une rupture qui semblait inévitable. Ce changement de comportement soudain de la part de Justine trouverait-elle un explication sur le phénomène incroyable que vit la Terre : l’arrivée dans son sillage de la planète Melancholia ?

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    On en a beaucoup parlé lors du Festival de Cannes 2011 d’abord par les propos indécents du réalisateur Lars Von Trier et puis sur une note plus positive avec la Palme de la meilleure interprète féminine attribuée à Kirsten Dunst. Après une magnifique séquence d’introduction, Melancholia nous invite à vivre la fin du monde à travers les visions conjuguées de 2 sœurs chacune se voyant attribuer un chapitre du film. On ne peut pas dire que ce soit réellement subjuguant, disons qu’il nous laisse tout le loisir d’admirer les interprétations parfaites de Kirsten Dunst et de notre Charlotte Gainsbourg nationale. Quant au reste, ça rappelle un peu ce que j’avais ressenti avec The tree of life de Terrence Malick ; pas mal de spectateurs risquent de rester sur la touche devant l’ambition de ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas inviter votre patron au mariage, il serait capable de vous faire bosser !

  • One piece Strong world

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    C’est en pleine mer que Luffy et son équipage ont appris que des villages d’East blue avaient subi de terribles attaques, ils décident alors de mettre leur quête de coté et se rendre sur place. Au même moment, un navire flottant dans les airs survole le Sunny-go alors qu’un cyclone se dirige vers eux mais grâce aux avertissements de Nami, ils parviennent à s’en tirer sans dégâts. Ce bateau appartient à Kinjishi No Shiki, un pirate qui possède lui aussi les pouvoirs d’un fruit du démon lui permettant d’agir sur la gravité des objets. Il est particulièrement reconnaissant envers Nami de l’avoir averti du danger et invite alors nos amis sur Merveille, un ensemble d’iles situé dans le ciel. Tout à coup, Shiki révèle son vrai visage et fait de Nami sa prisonnière se débarrassant de ses potes d’enfance en les envoyant aux 4 coins de l’archipel.

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    Brève présentation pour ceux qui ne connaitraient pas One Piece ; manga crée par Eiichirō Oda qui compte actuellement 63 tomes adaptés en plus de 500 épisodes télévisées ! Une série à succès mais aussi et surtout un univers extrêmement riche si bien que ce film s’adressera prioritairement aux fans assidus. Même si l’histoire de One piece Strong world reste abordable pour le commun des mortels, il y a assurément des éléments sur lesquels ils risquent de passer à coté sans compter sur la méconnaissance de tous nos héros et de leurs pouvoirs. Le film en lui-même apparait comme un simple prolongement de la série avec des moyens techniques plus étoffés, rien de véritablement transcendant. Pour ceux qui connaissent l’œuvre originale, c’est toujours un plaisir de découvrir les aventures de Luffy sur le grand écran en tout cas ce qui est certain c’est qu’il ne constitue pas un point de départ idéal pour ceux qui n’ont jamais entendu parler de One Piece.

     

    Il faut le voir pour : Penser à toujours écouter les messages qu’on vous laisse jusqu’au bout !