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Film - Page 13

  • Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre

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    Il a tout perdu ! Notre pote Max (Mel Gibson) vient de se faire attaquer et surtout voler son véhicule avec tout ce qu'il possédait sans ça, sa survie risque d’être bien plus difficile. Heureusement, il se trouve près de Trocpolis où il aura l'occasion de se refaire en offrant ses services. C'est ainsi qu'il est présenté auprès d'Entity (Tina Turner) qui va lui confier une mission de la plus haute importance. Max devra se débarrasser d'une montagne de muscles nommée Bombe (Paul Larsson) et pour cela, il devra participer à un combat dans l'impitoyable Dôme du tonnerre. Les règles sont simples ; il n'y en a pas et seul le vainqueur se verra le droit de sortir du dôme.

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    4 ans après le second opus, George Miller rempile pour de nouvelles aventures de notre pote Max le survivant. Direction Trocpolis où on est quand même surpris d'y trouver Tina Turner. Ce volet offre en fait un sentiment mitigé ; si on retrouve dans la première partie ce monde post-apocalyptique qui nous fascine (le combat dans le Dôme du tonnerre frise toutefois aujourd'hui le ridicule), on a ensuite une autre pour le moins étonnante. Passé ce moment de circonspection, on se console avec cette poursuite finale où l'on retrouve l'extravagance du réalisateur. Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre apporte donc une amère déception ; après avoir goûté à l'excellence de Mad Max 2 : Le défi il est difficile de se contenter de cet épisode ronronnant.

  • The boy

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    Notre pote Greta (Lauren Cohan) avait besoin de s'éloigner temporairement des États-Unis et c'est ce qui l'a conduit à devenir nounou au Royaume-Uni. Le couple M. & Mme Heelshire (Jim Norton & Diana Hardcastle) l'a ainsi engagé pour veiller sur leur fils Brahms mais la jeune femme est pour le moins surprise lorsqu'elle découvre qu'il s'agit … d'une poupée ! Aussi étrange que représente cette situation, elle a besoin d'argent et va donc conserver ce travail qui ne la rassure pas vraiment. Alors que les Heelshire s'octroient quelques vacances, Greta se retrouve seule avec Brahms et va constater que d'étranges phénomènes se produisent dans cette demeure.

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    Une grande maison isolée à la campagne, une poupée qui n'inspire pas confiance tel est le point de départ de The boy, lointain cousin d'Annabelle. Ça a l'apparence d'un film d'horreur-épouvante mais au fil des minutes ça tire plus vers le thriller, autant vous dire que si vous cherchiez à avoir des frissons vous risquez d’être déçu. L'histoire d'abord assez rocambolesque ne se montre pas non plus des plus extraordinaires avec un dénouement lui aussi pas loin de nous laisser indifférent. Les amateurs du petit écran et notamment de la série The walking dead seront ravis de revoir un visage familier en la personne de Lauren Cohan en dehors de ça un film qui s'oublie assez rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jouer à la poupée !

  • Encore heureux

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    Après s’être fait virer comme un malpropre, notre pote Sam (Edouard Baer) a traversé une période difficile. En 2 ans, sa femme Marie (Sandrine Kiberlain) et leurs enfants Alexia & Clément (Carla Besnaïnou & Mathieu Torloting) auront déménagé à plusieurs reprises avant d'habiter dans ce petit studio. Ils peuvent remercier pour cela Louise (Bulle Ogier), la mère de Marie mais leur situation est toujours aussi délicate. Sam peine à trouver du travail et se met en tête de fouiller les bennes d'ordure pour s'en sortir en revendant ses trouvailles sur Internet. C'est ainsi qu'il va tomber sur une lampe Gallé qu'il va parvenir à revendre plus de 10 000 euros mais ce n'est pas tout à fait un hasard !

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    Personne n'échappe à la crise ni même nos potes Sandrine Kiberlain & Edouard Baer qui viennent animer cette comédie de Benoît Graffin. A défaut d'en avoir une de crédit, ils jouent la carte de la débrouille que ce soit au supermarché ou au fond d'une benne à ordures. Une famille qui se montre plutôt attachante à l'opposé du personnage stéréotypé de Madeleine, une vieille dame vivant dans le luxe qui se trouve être aussi pingre que désagréable. Une comédie sociale avec quelques touches d'humour noir, on ne va pas non plus s'esclaffer avec Encore heureux qui réserve un bon moment de détente rappelant l'adage que l'argent ne fait pas le bonheur mais qu'il y contribue un petit peu quand même !

     

    Il faut le voir pour : Fouiller dans les bennes à ordure, on ne sait jamais !

  • Mad Max 2 : Le défi

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    Les réserves de pétrole sont devenues rares ce qui a entraîné le déclin de l'humanité. Ancien flic, notre pote Max (Mel Gibson) n'a pu que constater ces conséquences désastreuses ; pour obtenir de l'essence les hommes sont désormais prête à tout et la vie ne semble n'avoir plus aucune valeur. Errant dans le désert, Max va croiser la route de Gyro (Bruce Spence) et apprend qu'une raffinerie se trouve non loin de là. Celle-ci attire évidemment de nombreuses convoitises comme celle du Seigneur Humongus (Kjell Nilsson) et de son gang qui sont venus les mettre en garde ; s'ils veulent rester vivants ils doivent abandonner le camp et l'essence. La seule solution est de s'enfuir et c'est Max qui se propose d'aller récupérer un camion pour tracter le réservoir.

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    Vous avez vu Mad Max ? Vous pouvez l'oubliez totalement car cette suite présente un tout autre visage. Sans contestation possible, ce n'est réellement qu'avec Mad Max 2 : Le défi que l’œuvre de George Miller prend son ampleur. L'histoire reprend tout de même des éléments du premier épisode en accentuant l'aspect fin du monde apocalyptique. Les décors désertiques parcourus par des véhicules rafistolés, une humanité en décomposition et des scènes d'action déjà bluffants (ça date quand même de 1981!) prémices de l'explosif Mad Max : Fury Road ; voilà l'essence même de la saga qui se dévoile devant nos yeux ! Un épisode qui marque les esprits Pour l'éternité, un film culte tout simplement.

     

    La scène à ne pas louper : La poursuite du camion-citerne !

  • Les saisons

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    Bienvenue à tous, nous allons remonter quelques milliers d'années en arrière et faire une plongée dans une foret quelque part en Europe. Nous sommes à une période de l'histoire où l'Homme se montre encore discret laissant la place à une Nature qui recèle de merveilles. Partout où votre regard se portera, vous pourrez apercevoir ceux qui peuplent ce lieu paisible. De jeunes canetons font le grand saut pour suivre leur mère, une meute de loups qui se lancent à la chasse d'un sanglier ou bien des hérissons qui font leur possible pour se protéger animent cette foret. Les saisons et les années s'écoulent et ce cycle de la vie se perpétue jusqu'au jour où l'apparition de l'Homme vient tout bouleverser.

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    Il y a eu Le peuple migrateur & Océans, le réalisateur Jacques Perrin évoque cette fois Les saisons enfin il faut le dire vite. En réalité, les caméras se posent au cœur d'une foret luxuriante qui grouille de vie. La naissance d'une biche, les confrontations musclées des chevaux et des ours ou encore une petite araignée qui tisse sa toile ; on voit effectivement de nombreux animaux. Alors quid des saisons ? Les paysages enneigés succèdent à une foret baignée par le soleil ou tapissée par les feuilles tombées mais il n'y a pas véritablement de logique à tout ça. La première partie est donc un documentaire dans sa forme la plus succincte enrichi toutefois par de belles images, ça se transforme ensuite en une diatribe sur l'Homme et son influence néfaste.

     

    Il faut le voir pour : Profiter de vos promenades en foret avant que ça soit remplacé par un centre commercial !

  • La tour 2 contrôle infernale

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    Nos potes Ernest Krakenkrick & Bachir Bouzouk (Eric Judor & Ramzy Bedia) sont d'émérites pilotes non ils sont les meilleurs, l'élite de notre nation ! Le problème c'est qu'après avoir passé un test particulièrement intense dans la centrifugeuse, leurs esprits se sont quelque peu ramollis. S'ils ne sont plus capables de piloter, on les a assigné au sol à l'aéroport d'Orly qui va être le théâtre d'une attaque terroriste. Un groupe appelé les Moustachious a en effet surgi et plongé tout l'aéroport dans un profond sommeil et ils ont en leur possession un appareil capable de prendre le contrôle des avions à distance. Pour contrecarrer leurs plans, il faudra donc compter sur Ernest & Bachir … ce qui n'est pas pour nous rassurer !

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    15 ans après La tour Montparnasse infernale, le duo de comiques est de retour avec un second épisode qui est en fait un prequel. On a ainsi l'occasion de découvrir les origines de nos héros ou plus exactement ce qui les a conduit à être aussi stupides. L'humour ras des pâquerettes qui a accompagné Eric & Ramzy est toujours là pour le plaisir des fans comme des plus fidèles détracteurs. La bonne idée reste d'avoir rappelé une partie du casting originel avec Marina Foïs et Serge Riaboukine auxquels s'invite le nouveau et surprenant Philippe Katerine. La tour 2 contrôle infernale est une comédie loin d’être raffinée qui vous réservera au mieux quelques sourires sauf si vous êtes allergiques à cet humour très particulier.

     

    Il faut le voir pour : Porter votre objet porte-bonheur, ça pourrait vous sauver la vie !

  • Les délices de Tokyo

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    Les fleurs des cerisiers ornent les rues de Tokyo et notre pote Tokue (Kirin Kiki) profite de sa promenade hebdomadaire. Elle est alors attirée par une douce arôme sucrée provenant de la boutique de dorayakis gérée par Sentaro (Masatoshi Nagase). L'homme cherche un peu d'aide et Tokue se disait que malgré ses 76 printemps, elle aurait pu obtenir ce travail mais cela s'avère assez compliqué. Elle reviendra cependant le voir pour lui offrir une boite de haricots rouges confits qui s'avère être un véritable délice. Sentaro décide finalement de donner sa chance à cette dame âgée et les résultats ne se font pas attendre ; tous les clients remarquent un changement dans la préparation des dorayakis et se ruent à la boutique.

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    Pendant les 30 premières minutes, on a l'impression d'avoir devant nous un feel-good movie assez banal. Une dame âgée - interprétée par une formidable Kirin Kiki - apportant son expérience à un pâtissier désabusé redonnant vie à une boutique de dorayakis morose. Les délices de Tokyo se montre par la suite bien plus profond d'abord à travers le portrait de ses 3 âmes solitaires (même si le film se concentre surtout sur Tokue & Sentaro) avant de nous faire découvrir la situation d'un pan de la population japonaise qui se retrouve totalement marginalisé. Ce long-métrage de Naomi Kawase s'impose comme une petite merveille, un Coup de cœur Ciné2909 mais pose quand même un problème ;ça donne envie de déguster un dorayaki après le générique de fin !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à écouter vos haricots rouges !

  • Mad Max

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    La Terre dans un futur proche. Les routes sont devenues de véritables terrains de guerre et les délits ne cessent d'augmenter. Pour endiguer ce phénomène, les forces de Police se sont équipés en conséquence mais ce n'est pas toujours suffisant. Sur la route, notre pote Max Rockatansky (Mel Gibson) fait la loi avec son partenaire Jim Goose (Steve Bisley) mais ils vont avoir affaire à Toecutter (Hugh Keays-Byrne) et sa bande de motards. S'ils parviennent dans un premier temps à arrêter un des membres de ce gang Johnny the Boy (Tim Burns) malheureusement celui-ci retrouve rapidement la liberté. Les choses ne vont pas en rester là puisque Goose va tomber dans un guet-apens, un drame qui va marquer Max.

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    Détail qui a tout de même son importance, la vision de ce film se fait en 2015 après avoir vu le reboot au cinéma, c'est vous dire le fossé qu'il peut y avoir. On ne peut pas le nier Mad Max a vieilli et pas forcément de la meilleure des façons. C'est avec un petit sourire en coin qu'on découvre cette bande de renégats qui ne sont rien moins que d'ordinaires motards. Il y a tout de même du positif dans ce galop d'essai de George Miller ; l'ambiance fin du monde (bon les bagnoles de flic jaunes et les combinaisons en cuir ça le fait moyen) et des scènes d'action qui font toujours leur effet (et qui devait être révolutionnaire à l'époque de la sortie du film en 1979). Indispensable pour enrichir sa culture ciné moins pour le reste.

  • La 5ème vague

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    C'était une journée banale pour notre pote Cassie Sullivan (Chloë Grace Moretz) qui assistait à son entraînement de football puis c'est arrivé. La nouvelle fait rapidement le tout du monde : un vaisseau spatial survole les États-Unis et on ignore tout des intentions de leurs occupants. La crainte et l'incompréhension s'emparent de la population jusqu'au moment où une vague électro-magnétique neutralisent tout forme d'énergie sur la planète. Il s'agit là de la première vague. D'autres vont suivre avec une ampleur grandissante et durant lesquelles un drame va frapper la vie de Cassie.

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    Adaptation du roman homonyme écrit par Rick Yancey, La 5ème vague nous ressort la recette connue de l'envahissement alien avec des intentions peu pacifiques. On reconnaîtra que c'est plutôt malin d'avoir découpé cette invasion en vagues mais à l'écran cela ne donne pas grand chose en dehors d'un petit raz-de-marée. Le reste du film ne se montre pas beaucoup plus convaincant ; notre pote Chloë Grace Moretz joue les survivantes tout en trouvant le temps d'admirer les superbes abdos d'Evan Walker. Une saga calibrée pour les adolescents qui ne fera pas beaucoup de vagues où, bien entendu, on n'échappe pas à une fin ouverte et frustrante en attendant les éventuelles suites.

     

    Il faut le voir pour : Vous assurer que votre petit frère a bien son nounours !

  • Heidi

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    Depuis la mort de sa sœur, elle a pris soin de sa nièce Heidi (Anuk Steffen) mais avec son emménagement à Francfort, elle ne peut plus la garder. La seule solution est donc de confier cet enfant à Grand-père (Bruno Ganz) qui vit retranché dans les montagnes suisses et qui a coupé tout contact avec le reste de sa famille. Au départ, celui-ci ne souhaitait pas l'accueillir mais avec le temps il a fini par s'attacher à sa petite fille. Heidi semble en effet s'épanouir dans les montagnes, elle a en outre fait la connaissance de son nouveau pote d'enfance Peter (Quirin Agrippi) et adore se promener dans cette magnifique Nature. Sa tante va toutefois revenir la voir car elle souhaite la placer dans une famille à Francfort.

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    Héroïne de roman crée par Johanna Spyri datant de 1880 tout de même, Heidi est un personnage qui aura connu de nombreuses incarnations que ce soit en romans, dessin animée, série télévisée ou encore au cinéma. On retrouve un peu le pendant féminin de Belle & Sébastien si ce n'est qu'ici notre héroïne passe plutôt son temps avec les chèvres au cœur de beaux paysages montagneux. Roulades dans l'herbe, descente en luge, bêtises et autres fariboles sont là pour amuser les enfants à travers une histoire terriblement prévisible. C'est donc une nouvelle adaptation qui reste très sage et reposant sur la malicieuse Anuk Steffen qui saura facilement réunir tous les membres de la famille.

     

    Il faut le voir pour : Aller récupérer un peu de paille pour redécorer la chambre de vos enfants !