Etre un membre de la famille Stifler n’est pas toujours une bénédiction. Vous n’avez qu’à demander à notre pote Adam (Steve Talley), lui qui va bientôt quitter le lycée et qui est toujours puceau ! Pourtant cela fait 2 ans qu’il a une relation avec Tracy (Jessy Schram) mais celle-ci ne se sent pas encore prete pour passer aux choses sérieuses. Convaincue qu’elle risque de perdre celui qu’elle aime et qu’il doit répondre à certains besoins naturels ; elle lui donne carte blanche pour 1 week-end. Mauvais timing puisque c’est justement à cette date qu’à lieu la très célèbre Course à poil !

Rien que le titre vous donnera une idée sur bonnes (?) intentions de ce film. Potes du bon gout et du scénario recherché passez votre chemin car American Pie présente String Academy est le digne successeur de cette saga. Au menu donc du sexe, de l’alcool, des situations pittoresques et des idées complètement absentes si bien que ce film passe pour un pur produit marketing destiné à profiter du succès d’antan de la saga. Si vous avez déjà vu un American Pie, vous pourrez vous passer de celui-là dans le contraire mieux vaut vous rabattre sur le premier épisode.  

La police de Hong Kong est bien décidé à éradiquer la menace de la triade de leur territoir mais pour cela il faut savoir prendre des risques. Cela fait des années que le commissaire Wong (Anthony Wong) a réussi à faire infiltrer une taupe au sein du gang de Sam (Eric Tsang) afin de le coincer, un travail de longue haleine où le danger est perpétuel. Ce que l’inspecteur ignore également c’est que Sam a lui aussi une taupe au sein des forces de police qui le préviens du moindre fait et geste : Lau Kin Ming (Andy Lau). La partie s’annonce serrée.

Après avoir vu Les infiltrés au cinéma, je me devais de jeter un œil sur l’œuvre original d’Andrew Lau et le moins que l’on puisse dire c’est que Martin Scorcese s’en est beaucoup inspiré ! On retrouve de nombreuses scènes clés bien que dans Infernal Affairs, l’histoire parait un peu précipitée au départ et donne ainsi un léger effet brouillon. Néanmoins cela ne nuit en rien à la qualité du scénario et du film, base de départ d’une trilogie.

C’est la catastrophe pour nos potes Michel & Gérard (Jacques Gamblin & Kad Merad) qui asssitent impuissants à la fermeture de leur usine où ils travaillaient depuis plus de 20 ans. La vie continue et les dettes sont toujours là pour rappeler qu’il faut rapporter de l’argent à la maison mais ils vont vite découvrir qu’il n’est pas facile de retrouver un travail correct surtout quand on a pas le bac. Conscient que l’absence de diplôme leur est préjudiciable, ils tente le pari fou de retourner au lycée afin d’obtenir le précieux sésame.

A vrai dire lorsque j’ai aperçu la bande-annonce, je m’attendais vraiment à une petite comédie mais finalement on est davantage dans le drame social. Dénonçant les discriminations dont sont victimes les chomeurs non diplomés ; Les irréductibles montrent donc le combat que mène notamment Michel pour se retrouver intégrer de nouveau dans la société. Réalisation sobre et finalement assez ennuyeuse, c’est avec peu de panache que l’on suit les aventures de ces 2 étudiants en herbe. A défaut d’une mention, le film passera en rattrapage !

Ha, que la vie est dure pour notre pote Bob Munroe (Robin Williams) ! Hier encore, il lisait des histoires à sa fille Cassie (Joanna Levesque) pour l’endormir et aujourd’hui la voilà déjà du haut de ses 15 ans. Accaparé par son travail, il regrette de n’avoir pas pu passer plus de temps avec elle mais aussi avec son fils Carl (Josh Hutcherson) mais il va remédier à tout cela. La famille s’apprête à s’offrir des vacances de rêve à Hawaï quand au dernier moment Bob voit ses plans partir à l’eau à moins que… Sa réunion de travail ayant lieu dans le Colorado, il va louer un Camping-car pour y emmener toute sa famille.

Etonnant de voir ce film qui ne paie pas de mine à première vue rassemble autant de noms que Robin Williams, Jeff Daniels ou encore le réalisateur Barry Sonenfeld (Men In Black). Tout cela ne sauve pas Camping-car qui reste une comédie légère à réserver aux plus jeunes avec des scènes pas toujours drôles et pas toujours de bon goût mais comme l’on si bien dit certaines critiques, on s’attendait à pire ! A noter que les fans de la série Weeds reconnaîtront le comédien Hunter Parrish qui interprète le rôle de Silas.

Jamais Mimmo (François Vincentelli) n’aurait pu imaginer ce qui allait lui arriver ce soir-là. Chauffeur de taxi, il avait été appelé pour ramener une jeune femme complètement déphasée après une soirée arrosée. A peine a-t-il fait quelques mètres que celle-ci ouvre la porte et se jette sur la route se tuant sur le coup. Affolé, il retourne devant la maison où il l’a trouvée, la propriété luxueuse de John (Jean Paul Rouve). A partir de ce moment, les 2 hommes ne se quitteront plus pour le meilleur mais surtout pour le pire !

Une sortie cinéma très discret ce qui explique pourquoi je ne suis pas allé voir cette curiosité au cinéma. Bunker Paradise est très étrange et ne passionnera pas tous les spectateurs comme ce fut le cas avec moi bien que la prestation de l’ex-robin des bois Jean-Paul Rouve est surprenante. Malheureusement, j’ai été déconnecté par l’histoire un peu trop insolite à mon goût rendant le film plus ennuyeux qu’autre chose.

Notre pote l’inspecteur Quentin Conners (Jason Statham) va devoir reprendre du service ! Pas facile pour ce flic suspendu de ses fonctions à cause d’une sombre affaire qui a coûté la vie d’une jeune fille innocente de réendosser son costume de justicier. Il n’a pas vraiment le choix puisqu’une banque vient d’être attaqué et le ravisseur, un certain Lorenz (Wesley Snipes) exige sa présence. Conners va devoir agir non sans la surveillance du jeune Shane Dekker (Ryan Phillippe) mais de nombreuses questions restent en suspens.

Jason Statham, Ryan Phillippe & Wesley Snipes ; en voilà une belle brochette qui laisse augurer un film 100% action. Bien entendu, la recette est respectée avec des échanges de coups de feu, des courses-poursuites en bagnoles sans oublier d’impressionnantes explosions filmées sous différents angles. On a même pris le soin d’ajouter un soupçon de rebondissements (à peine surprenants) mais Chaos est loin d’être un chef d’œuvre tout juste un bon divertissement. A noter que les amateurs de X-Files retrouveront l’acteur Nicholas Lea, ex-Krycek.

Depuis des générations et des générations, les vampires et les lycans sont présents sur terre. Il faut remonter en 1202, époque où Marcus (Tony Curran) & William (Brian Steele) ont donné naissance à cette malédiction qui n’a cessé de se perpétuer au fil des siècles. Retour au présent avec Selene (Kate Beckingsale), une vampire qui pensait que sa famille avait été massacrée par les lycans mais elle vient d’apprendre la vérité. Accompagné de Michael (Scott Speedman), le premier être hybride, elle va remettre de l'ordre dans tout ça !

Assez déconcertant au début puisque je n’ai pas eu l’occasion de voir le premier volet et Underworld Evolution suivant le scénario de ce dernier, je fus quelque peu perdu. Après un temps d’adaptation, on assiste à un déferlement de scènes d’action où se mêlent hémoglobines, morsures de vampires et hurlements de lycans. Ceux qui ont apprécié le premier épisode devraient se ruer sur celui-ci ; pour ma part la seule chose intéressante reste encore de voir Kate Beckinsale dans ce bel ensemble en cuir !

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L’immeuble ne paie pas de mine et pourtant c’est là que notre pote Ching Lee (Miriam Yeung) va trouver son bonheur. C’est là qu’elle va faire la connaissance de Tante Mei (Bai Ling) qui possède la recette qui lui permettra de retrouver sa jeunesse éternelle ; elle qui veut reconquérir son mari. Il faut dire aussi que les raviolis préparés par Mei possède un ingrédient unique qui garantit leur efficacité mais peut-être vaut-il mieux pour vous ne pas le savoir car il s’agit de fœtus humains !

Moi qui adore les raviolis à la vapeur, je ne pouvais pas manquer ce film et si vous croyez que cela m’a dégoûté de ce met, vous avez tort !  S’attachant au thème de la jeunesse éternelle tout en développant d’autres questions sociétales, Nouvelle cuisine ne réussit toutefois pas retenir l’attention outre mesure. Le film reste de bonne facture mais j’estime qu’il aurait pu aller plus loin avec un sujet aussi intéressant mais certains d’entre vous auront du mal à retourner au restaurant chinois !

La terre, dans une autre réalité. On a découvert l’existence de la Rivière de la vie que l’on peut considérer comme le sang de notre planète mais également comme une source d’énergie prodigieuse. Très vite, l’organisation de la Shinra s’empare de la rivière pour l’exploiter mais s’expose dans le même temps aux vives réactions de ses opposants. Pour se protéger, elle crée alors le SOLDAT, un groupe de forces spéciales dotés notamment du gêne de Jenova qui s’est écrasée sur Terre. Du temps a passée et nous retrouvons notre pote Cloud qui va recevoir des nouvelles de la Shinra concernant le mystérieux groupe de Kadaj.

A réserver avant tout aux amateurs du jeu vidéo (Final fantasy VII), ce film bénéficie d’une beauté à vous couper le souffle. Le scénario, quant à lui, pourrait en déconcerter plus d’un puisque vous pourriez bien être perdu si vous n’avez jamais joué au jeu sachant que Advent Children est dans la continuité. Impressionnant à de nombreux égards, il est juste dommage que l’on n’ait pas eu droit à une sortie cinéma certainement parce que les producteurs étaient échaudés par l’échec du film Final Fantasy.

Notre pote l’inspecteur Eric Mathews (Donnie Wahlberg) est loin d’être un flic exemplaire ; bien au contraire, pour lui tous les moyens sont bons pour mettre sous les verrous la racaille. C’est comme ça qu’il a réussi à mettre sous les verrous bon nombre de délinquants mais son attitude immorale se retourne contre lui aujourd’hui puisqu’il est la cible du terrible Jigsaw (Tobin Bell). Le jeu ne fait que commencer car le tueur en série a enlevé le fils de l’inspecteur et l’a enfermé dans une maison piégée en compagnie de 7 autres personnes, ça va saigner !

Plus de victimes, plus de sang, plus de scènes gores et toujours moins d’originalité ! Saw effectue donc son grand retour après le succès surprise du premier épisode car l’argent facile est toujours bon à prendre. Avec un scénario aussi élaboré qu’un bon épisode de Sous le soleil, cette séquelle n’arrive pas à nous surprendre et le dénouement est plus que prévisible (une fois encore j’avais deviné la fin !). Saw II donnera l’occasion pour les fans de la série 7 à la maison de voir Beverley Mitchell ou encore de revoir Dina Meyer (annoncée dans Saw III) en dehors de ça c’est bien terne !

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