Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Les séances de 2006-2008 - Page 17

  • Les fils de l'homme

     

    medium_aff.490.jpg

    En l’an 2027, l’humanité vit ses heures les plus sombres à tel point que la mort du plus jeune homme sur Terre est vécue comme un véritable désastre. En effet, une épidémie s’est abattue privant les femmes de la joie de tomber enceinte et donc les enfants ont peu à peu disparus de la planète. Notre pote Théo (Clive Owen) n’a pas été épargné par ce fléau mais il va être le témoin privilégié d’un miracle. Julian (Julianne Moore) qui fut sa compagne a fait appel à lui après 20 ans sans nouvelles, elle lui confie le destin de Kee (Claire-Hope Ashitey), une femme réfugiée tombée enceinte et porteuse d’un nouvel espoir.

     

    medium_01.474.jpg

    On m’avait dit du grand bien de ce film et évidemment cela donne envie de le découvrir avec notamment un scénario plutôt intéressant avec rien moins que la fin de l’humanité. Contrairement à bon nombre de films qui se déroule dans le futur, Les fils de l’homme ne fait pas dans la surenchère au niveau des évolutions technologiques mais privilégie surtout la décadence d’une humanité perdue et désespérée. Malgré une histoire intéressante, je dois dire que je me suis pas mal ennuyé ! Seule chose que je retiendrais, l’une des dernières scènes où l’on suit Théo traversant un champ de bataille grâce à une caméra embarqué, effets garantis !

  • Seven Swords

     

    medium_aff.449.jpg

    Durant le 17ème siècle, dans la chine occidentale un décret de l’empereur a interdit toute pratique des arts martiaux. Profitant de cette loi, le général Ravage (Honqlei Sun) et ses troupes en profitent pour exterminer toux ceux qui croisent leur route. Le clan Tienti a eu vent d’une prochaine attaque de Ravage au sein village et c’est pourquoi on a décidé de chercher de l’aide en envoyant deux des habitants. Celui-ci ne tarde pas à arriver avec les 7 lames du mont Céleste, la résistance peur s’organiser !

     

    medium_01.430.jpg

    Quand on voit le nom de Tsui Hark à la réalisation, on se dit déjà que c’est un gage de qualité même si son expérience aux Etats-Unis n’a pas tenu toutes ses promesses. Dans la plus pure tradition des Wu-xia-pian (Terme qui désigne les films de sabre du cinéma chinois), Seven Swords nous offre son lot d’action et de combats impressionnants par leur chorégraphie. Le tout est donc un agréable divertissement assez long quand même (2h25) et pas aussi marquant que les précédents films du réalisateur hongkongais.

  • la maison des 1000 morts

     

    medium_aff.450.jpg

    Quand nos potes d’enfance Jerry, Bill, Mary & Denise (Chris Hardwick, Rainn Wilson, Jennifer Jostyn & Erin Daniels) se sont arrêtés dans cette station service, ils n’imaginaient pas découvrir un lieu aussi insolite. Véritable musée des horreurs, les 4 jeunes veulent aller plus loin et profiter de ce voyage pour visiter l’attraction locale : l’arbre du Docteur Satan. Sur les conseils du Capitaine Spaulding (Sid Haig), ils reprennent donc leur route sans se douter qu’ils se dirigent droit vers leur mort. En effet, tombés en panne, ils sont recueillis par une famille des plus étranges !

     

    medium_01.431.jpg

    Les films d’horreur et d’épouvante ne m’ont jamais vraiment intéressé dans la mesure où j’estime qu’il est bien difficile d’apporter quelque idée originale à ce qui a déjà été fait. Beaucoup de films jouent la surenchère sur le coté gore ou une sono puissante destinée à faire sursauter les spectateurs. Je vous rassure ce n’est pas le cas de La maison des 1000 morts qui nous propose une histoire assez banale mais dont le réalisateur Rob Zombie parvient à nous plonger dans un univers déjanté. Mis en bouche par Devil’s rejects, je m’étais promis de jeter un œil à ce premier opus sympathique sans être exceptionnel !

  • Les vagues invisibles

     

    medium_aff.448.jpg

    Notre pote Kyoji (Tadanobu Asano) n’est pas un type très fréquentable et pour cause, il est un tueur à gages ! Son dernier contrat portait sur une femme avec laquelle il entretenait une relation intime et suite à cela il a été dans l’obligation de fuir la Thaïlande pour se rendre à Hong Kong. Durant son voyage, il va faire la connaissance de Noi (Gang Hye-Jung) avec qui il parvient à se changer les idées mais arrivé à destination, ils doivent se séparer. A ce moment là, les ennuis recommencent pour Kyoji quand sa chambre d’hôtel est cambriolée.

     

    medium_01.429.jpg

    Difficile de rester éveillé devant ce film tant il est lent et ennuyeux !! Habitué par le peu du cinéma thaïlandais entrevus en France à voir des films bourrés d’action et d’explosions, avec Les vagues invisibles on tient le parfait contre-pied. Bien sur, il en faut pour tous les gouts mais je me suis particulièrement ennuyé devant ce long-métrage qui manque de rythme, d’action bref de vie ! Je ne sais pas trop ce qui pourrait vous convaincre d’y jeter un œil si ce n’est qu’il est idéal pour entamer votre sieste dominicale.

  • Malena

     

    medium_aff.447.jpg

    Pendant que toute l’Italie s’apprête à lancer les hostilités pour ce qui sera la Seconde Guerre Mondiale, le sang  notre jeune pote Renato Amoroso (Giuseppe Sulfaro) ne fait qu’un tour quand il aperçoit la sublime Malena Scordia (Monica Bellucci). Quand on la voit, on peut comprendre sa réaction car partout où Malena passe, elle attire forcément le regard des hommes ce qui n’est pas vraiment du gout des autres jeunes femmes. Sous le charme, Renato se contente de l’observer dans l’ombre mais se tient prêt à agir pour aider son tout premier amour.

     

    medium_01.428.jpg

    Inutile de jouer les hypocrites, si j’ai décidé de voir ce film qui date du début des années 2000 c’est avant tout pour pouvoir admirer la toujours très belle Monica Bellucci. Bien entendu, Malena ne se contente pas de nous offrir en peinture la belle italienne mais nous permet de découvrir les premiers émois d’un jeune homme. Agréable à suivre bien que servi par une réalisation des plus classiques, c’est avant tout un film à voir pour les fans de la comédienne mais en dehors de ça, rien de bien mémorable !

  • Ichi the killer

    medium_aff.446.jpg

    Lorsqu’on a eu le malheur de vivre un traumatisme, cela nous poursuit parfois jusqu’à la mort. Pour notre pote Ichi (Nao Omori), l’évènement tragique qu’il a vécu l’a totalement transformé et pour cause il a assisté au viol d’une fille qui tentait de lui venir en aide. Totalement impuissant face à cette situation cela  l’a totalement bouleversé et depuis il est devenu un dangereux tueur en série qui agit sous le coup de l’impulsion. Pendant ce temps, Kakihara (Asano Tadanobu) est à la recherche de son boss Anjo et il est prêt à user de tous les moyens pour le retrouver.

    medium_01.427.jpg

    J’avais été prévenu que le film serait violent et je n’ai pas été déçu de ce coté là. Effectivement, Ichi the killer n’est pas à laisser entre n’importe quelles mains tant les scènes, parfois surréalistes, baignent dans l’hémoglobine. Cela fait un peu penser au manga Gantz pour les connaisseurs et d’ailleurs il s’agit là d’une adaptation d’une autre œuvre nippone : Ichi the killer (en dix volumes et qui compte également une adaptation en anime). Réalisé par Takashi Miike, il est bien dommage que le scénario manque de clarté rendant le film assez monotone et se résumant à une succession de violence.

  • Poséidon

     

    medium_aff.423.jpg

    Il existe mille et une façon de fêter la nouvelle année et quoi de mieux que d’aller faire la bringue en pleine mer à bord d’un immense bateau ? Voilà le programme pour notre pote Robert Ramsey (Kurt Russell) qui a décidé d’emmener sa fille et son petit ami pour cette croisière qu’ils espèrent inoubliables et ils ne risque pas d’être déçus ! Alors que s’égrainent les premières minutes de la nouvelle année, le Poséidon est renversé par une immense vague. Les rares survivants n’ont que quelques heures pour sortir de ce tombeau.

     

    medium_01.399.jpg

    Il y a eu une période où les films dits catastrophes faisaient les beaux jours des studios américains, longs métrages qui n’ont jamais brillé par leur intrigue mais qui disposaient d’effets spéciaux tous plus impressionnants les uns que les autres. Poséidon est donc un digne successeur à ce genre vous proposant une très grosse dose d’action mais désolant sur les autres tableaux. Histoire inexistante, personnages transparents ; on tient là un film dont le seul intérêt visuel ne l’empêchera pas de connaitre les bas fonds.

  • Les aiguilles rouges

     

    medium_aff.408.jpg

    Scout un jour, scout toujours dit le dicton ! En tout cas, pour notre pote Luc (Jules Sitruk) ce n’est pas tous les jours une partie de plaisir surtout quand on voit le groupe dans lequel il a atterrit. Entouré de jeunes garçons turbulents, ce beau petit monde ne tarde d’ailleurs pas à se faire repérer et pour leur apprendre le respect on les envoie escalader le massif du Brévent. L’ascension commence et leur réserve des surprises et pas forcément des bonnes mais cela fait parti de l’apprentissage d’un scout.

    medium_01.383.jpg

     

    Si j’ai regardé ce film c’était avant tout parce que j’apprécie énormément Jules Sitruk (inoubliable dans Monsieur Batignole) et Damien Jouillerot. Hélas, Les aiguilles rouges n’est pas vraiment ce que l’on pourrait appeler un chef-d’œuvre, loin de là ! On s’ennuie ferme dans l’ascension de ces jeunes garçons et surtout on ne ressent pas vraiment l’esprit de groupe qui est pourtant une chose primordiale chez les scouts. Reste les paysages à découvrir mais perdre une heure et demie pour ça, je ne suis pas certain que vous soyez prêts à le faire !

  • House of the dead 2

     

    medium_aff.406.jpg

    Aux alentours de la Cuesta Verde University, c’est la grande panique ! Les zombies ont débarqué suite à l’expérience d’un professeur et l’épidémie se propage à une vitesse ahurissante. Une menace que connaissent très bien nos potes Alex & Dalton (Emmanuelle Vaugier & Sticky Fingaz) qui ont pour mission de sécuriser les lieux et surtout mettre la main sur le zombie dit patient zéro. Avec ce monstre de première génération et en particulier avec son sang, ils pourraient mettre au point un vaccin et empêcher la prolifération des hyper-sapiens.

     

    medium_01.381.jpg

    Après un premier épisode qui fut une horreur, les producteurs toujours aussi peu imaginatifs n’ont rien trouvé de mieux que de nous pondre une suite qui sort de nouveau directement en DVD. Zombies, chaire humaine arrachée, litres d’hémoglobine sont donc de mises dans House of the dead 2 afin de camoufler le vide scénaristique. Je n’attendais rien de ce film et je fus logiquement servi ; plutôt que de perdre 1h30 devant ce film faites-vous une partie du jeu vidéo, ce sera plus fun !!

  • Infernal Affairs 2

    medium_aff.407.jpg

    Retour aux années 90 à Hong Kong où les gangsters imposent leur loi. Bien avant le règne de Sam (Eric Tsang), cette décennie est marquée par une incroyable lutte des pouvoirs après la mort du grand parrain du clan Ngai. Le commissaire Wong (Anthony Wong) assiste à tout cela avec une certaine impuissance mais il lui reste une carte importante à jouer puisqu’il a une taupe ; le jeune Chan Wing Yan (Shawn Yue), frère du successeur de la famille Ngai.

    medium_01.382.jpg

    Une suite qui est en réalité un prequel au premier volet et qui lève le voile sur quelques points (utilisés notamment par Scorcese dans Les Infiltrés). Moins porté vers l’action mais évidemment développant davantage les personnages principaux ; Infernal Affairs 2 se révèle un tantinet décevant bien qu’il faille considérer cette saga dans sa globalité. En attendant le 3ème volet, on découvre plus en détails les liens qui unissent le commissaire Wong et Sam et l’on comprend davantage les enjeux évoqués dans le premiuer épisode.

     

    En savoir plus sur Les Infiltrés ?

     

    En savoir plus sur Infernal affairs ?