Arthur Seligman (José Garcia) a eu un grave accident de la route alors qu’il se dirigeait à Cherbourg. Après un profond coma, il a enfin repris connaissance pour le plus grand soulagement de tous mais garde toutefois quelques séquelles. Notre pote éprouve bien des difficultés pour se souvenir de certaines choses et durant son coma, il semblerait que son inconscient, sa boite noire se soit révélé. C’est le début de longues interrogations qui vont lever le voile sur une partie oubliée de son existence.

Pour être sombre, le film est très sombre constituant un parfait reflet de la personnalité d’Arthur. La boite noire partait d’un principe plutôt intéressant avec ces souvenirs enfouis remontant soudain à la surface mais Richard Berry (le réalisateur), en voulant restituer la désorientation de son personnage perd dans le même temps le spectateur. Par contre le jeu de José Garcia est plutôt convaincant bien qu’assez peu mis en valeur enfin un dernier regret sur une conclusion assez grotesque.

Vivez le film Dans la peau du personnage !! 

C’est la catastrophe dans le royaume, le monarque est mort et tout le peuple pleure sa disparition. Selon les traditions, le fils ainé Alban (Michel Vuillermoz) devrait lui succéder sur le trône malheureusement il vient de nouveau de se faire plaquer ! Une situation gênante pour la famille qui décide ainsi de propulser Arnaud (Lambert Wilson) à la tète du royaume, lui qui a une charmante épouse : Armelle (Valérie Lemercier). C’est la belle vie qui s’offre à ce couple royal jusqu’au jour où notre pote Armelle s’aperçoit que son mari la trompe avec sa meilleure amie.

Largement inspiré des frasques de la famille royale d’Angleterre, Palais Royal était annoncé comme l’une des très bonnes comédies françaises de l’année 2005. Un titre qui a été usurpé puisque l’on est bien loin du bijou d’humour promis même si ce film reste un bon divertissement grâce à l’énergique Valérie Lemercier. N’oublions pas un très beau casting avec Catherine Deneuve, Lambert Wilson, Mathilde Seigner ou encore Gilbert Melki.

C’est le choc pour notre pote Drew Taylor (Orlando Bloom) ! Sa dernière création, la chaussure de sport Mercury est un échec commercial. Pire que ça on peut même dire que c’est un fiasco total dont on estime les pertes financières à pratiquement 1 milliard de dollars ce qui n’est pas pour rassurer notre héros. 8 ans de sa vie se sont ainsi envolés en fumée et il n’en faut pas plus pour qu’il décide de mettre fin à ses jours mais ce nouveau projet devra attendre. Son père vient de mourir au Kentucky, dans la ville d’Elizabethtown.

Autant Orlando Bloom est un comédien que j’ai tout simplement adoré dans la trilogie du Seigneur des anneaux, autant ses autres choix (hormis Pirate des caraïbes) me laisse plutôt de glace. On sent que l’acteur tente de se libérer dans ce rôle de Drew, acharné de travail qui a négligé sa vie privée mais sa prestation ne parvient pas à nous séduire. Reste le charme ô combien resplendissant de Kirsten Dunst pour nous mener péniblement à la fin de ces 2 heures de film.

Vivez le film Dans la peau du personnage !! 

Alors que la guerre fait rage à travers le monde, Lucy, Edmund, Susan & Peter (Georgie Henley, Skandar Keynes, Anna Popplewell & William Moseley) sont envoyés par leur mère chez le professeur Kirke (Jim Broadbent) dans un grand manoir. Nos potes doivent s’habituer à leur nouvelle vie et au cours d’un jeu de cache-cache ; la jeune Lucy découvre un passage secret vers un nouveau monde : celui de Narnia. Un monde lui aussi en guerre mais où les enfants seront les sauveurs !

Voilà donc la grande saga de chez Disney destine à rallier les amateurs de fantastique. A l’instar d’Harry Potter, Le monde de Narnia est une adaptation d’un roman de Clive Staple Lewis. Au programme un univers féerique peuplé d’animaux qui parlent, de monstres ou encore d’un roi lion ce qui ravira aussi bien les petits que les plus grands qui ont su garder leur âme d’enfant. C’est le premier volet d’une trilogie et le second épisode devrait débarquer en 2007.

Notre pote François (Bernard Campan) a eu beaucoup de chance, une chance que souhaiteraient avoir des millions de personnes : il a gagné au loto ! De l’argent à ne plus savoir qu’en faire ; il pourrait se payer un beau voyage ou s’acheter une splendide demeure mais François préfère s’offrir une…femme ! Direction le quartier de Pigalle où il croise très vite le regard de la troublante Daniela (Monica Belucci) et il lui propose alors de la payer pour vivre avec lui.

Au début du film, l’histoire démarre de façon ordinaire avant de basculer sur un ton assez décalé qui m’a vite désarçonné. Si c’est toujours un ravissement pour les yeux de voir évoluer la sublime Monica Belucci, il ne faut pas non oublier les présences de l’étonnant Bernard Campan et du monstre du cinéma qu’est Gérard Depardieu. Bertrand Blier surprend par sa réalisation mais cela ne plaira pas forcément à tous les spectateurs et ce fut donc mon cas.

Tout le monde connait notre pote David Spritz (Nicolas Cage). Il s’agit tout simplement du célèbre animateur de la météo, celui-là même capable de vous prédire le point froid de la semaine ! Faire la pluie et le beau temps ; voilà un don qu’il aimerait bien avoir notamment pour sa vie privée qui est désastreuse ! Il a quitté sa femme et ses enfants sans compter qu’il vient d’apprendre que son père est gravement malade.

Voilà un film aussi excitant qu’un bulletin météo animé par Sébastien Follin et pour ceux qui pensent que cela est un compliment, vous faites fausse route ! Avec The Weather Man, on a droit à une nouvelle réflexion sur l’existence, un sujet passionnant mais dont les potentialités sont occultées dans un film inondé par l’ennui. L’interprétation plus que bancale de Nicolas Cage n’arrange pas les choses puisqu’il fait la même tête du début jusqu’à la fin, difficile d’y discerner de quelconques émotions !

Vivez le film Dans la peau du personnage !! 

Il se passe de drôles de choses au dessus de nos tètes et plus précisément dans l’immensité de l’espace. Notre pote Malcolm Reynolds (Nathan Fillion) est le capitaine du vaisseau Serenity et vogue à travers les étoiles avec son équipage échappant ainsi au contrôle de l’Alliance, une autorité qui règne dans l’espace. Mais quand il décide de venir en aide au Docteur Simon Tam (Sean Maher) & sa jeune sœur River (Summer Glau) il ne sait pas dans quelle galère il vient de s’embarquer !

Serenity a surtout fait parler de lui car il s’agit de l’adaptation sur le grand écran de la série Firefly crée par un certain Joss Whedon. Un nom qui ne vous peut-être rien mais si je vous dis qu’il est à l’origine de séries comme Buffy contre les vampires & Angel,  votre lanterne s’éclairera. Sur le film, pas grand-chose à dire (mais vous n’êtes pas venus sur ce blog pour rien !) si ce n’est que le projet était ambitieux voire même trop ! Brouillon, souvent ennuyeux ; on dirait parfois une mauvaise copie de Star Wars. A zapper.

Notre pote Mickael (Johan Libéreau) semble être un adolescent comme parmi tant d’autres. A 17 ans, il entame sa dernière année au lycée avec le bac comme objectif, de quoi lui mettre une certaine pression. Pour se détendre, rien ne vaut un bon combat de Judo, activité où il excelle puisqu’il est le capitaine de son équipe. Tout va donc pour le mieux pour lui et sa petite amie Vanessa (Salomé Stévenin) mais l’arrivée de Clément (Pierre Perrier) va venir bouleverser les choses.

J’ai eu l’occasion de lire d’assez bonnes critiques sur ce film et c’est vrai qu’il dispose d’un atout majeur avec l’authenticité amené par ces jeunes acteurs. Douches froides n’est pas rempli de clichés comme bon nombre de films du même genre et surtout il aborde un sujet peu évident (à noter une scène plutôt drôle entre Vanessa et l’infirmière du lycée). Malheureusement, en dehors de ce thème original, je trouve que le film nous endort un peu sans pour autant nier le talent des comédiens.

Kyle Pratt (Jodie Foster) vit une des périodes les plus dramatiques de son existence puisqu’elle vient de perdre son tendre époux. Un deuil difficile à supporter tant pour elle que pour sa fille Julia (Marlene Lawston) et qui implique de nombreux changements. Ainsi, elles partent désormais vivre aux Etats-Unis mais une fois à bord de leur avion, notre pote Kyle va de nouveau vivre un véritable calvaire !

Jodie Foster aime les espaces clos et moi j’aime bien cette actrice conciliant beauté (naturelle) et talent. On est captivé par l’histoire de cette mère en proie à une certaine paranoïa et le film s’amuse à nous manipuler toutefois le dénouement est très décevant. Cela reste un bon thriller avec quelques éléments intéressants mais pas de quoi nous embarquer pour le 7^ème ciel !

 Vivez le film Dans la peau du personnage !!