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Les séances de 2006-2008 - Page 16

  • Ashura

     

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    Notre pote Ashura, le monarque des démons est sur le point de ressusciter ! Son retour sera alors célébré par l’invasion de la Terre par les démons ; la fin de l’humanité est donc proche mais pour le moment, il sommeille encore. Son esprit réside dans le corps de la belle Tsubaki (Rie Miyazawa), jeune femme dont les souvenirs sont confus. Après sa rencontre avec Izumo Wakuraba (Somegozo Ichikawa) ; une étrange marque est apparue sur son épaule droite et ne cesse de grossir. Izumo n’est peut-être pas totalement étranger à ce phénomène, lui que l’on appelait autrefois le tueur de démons.

     

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    Des démons qui débarquent sur Terre, des guerriers, de la baston et un peu de romantisme ; on est très proche de l’univers manga. Avec la profusion des films asiatiques, Ashura a bien du mal à se démarquer de la concurrence à travers une réalisation hélas sans surprises. Seules les premières minutes hautes en couleur retiennent l’attention mais par la suite on a tendance à s’endormir un peu. Si encore les combats étaient époustouflants, on aurait pardonné l’histoire peu passionnante mais il n’en est rien. A peine divertissant, à voir pour compléter votre connaissance du cinéma japonais.

  • Sexy Dance

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    La rue Tyler, Mac & Skinny (Channing Tatum, Damaine Radcliff & De’Shawn Washington) connaissent parfaitement et pour cause c’est leur terrain de jeu préféré. Evidemment, ils font parfois de grosses bêtises comme d’entrer en effraction dans une école d’art et vandaliser les lieux malheureusement, ils vont se faire pincer par le gardien. Tyler a voulu jouer les héros et c’est donc lui qui se voit condamner à 200 heures de travaux d’intérêts généraux dans cette même école. Cela va l’amener à cotoyer les élèves et notamment la belle Nora (Jenna Dewan). Influencé par le hip hop et la culture urbaine, notre pote qui est un danseur hors-pair va découvrir une autre facette plus …classique !

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    Ouais ouais, on connait la chanson comme je serais tenté de dire ! Pas de grosses nouveautés avec Sexy Dance qui nous conte la belle aventure de ce jeune issu d’une banlieue et qui réussit à se faire une place grâce à son talent de danseur. On en a déjà vu plein des films comme celui-ci et le seul intérêt reste de découvrir les chorégraphies qui vous seront proposés mais de là à se taper plus d’1h40 d’un scénario linéaire au possible… Un film à réserver aux jeunes filles qui ont toujours rêvé d’intégrer une grande école de danse et qui aiment les histoires à l’eau de rose. Pour les mecs, j’espère que votre petite-amie vous oblige pas à regarder les DVD qu’elle ramène à la maison sinon je compatis !

     

    En savoir plus sur Sexy Dance 2 ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 3 - The battle ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 4 - Miami Heat ?

    En savoir plus sur Sexy Dance 5 - All in Vegas ?

  • Le concile de pierre

     

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    Les joies de la grossesse, notre pote d’enfance Laura (Monica Bellucci) ne les connaîtra jamais mais cela ne l’empêchera pas de profiter du bonheur d’être mère. C’est ainsi que le destin l’a conduit auprès de Liu-San (Nicolas Thau), un enfant qui fut abandonné alors qu’il n’avait que 2 mois. Quelques années plus tard, on les retrouve menant une vie totalement ordinaire jusqu’au jour où une mystérieuse marque apparaît sur le corps du jeune garçon. Chose d’autant plus étrange que sa mère et lui-même font des cauchemars similaires et si Liu-San n’était pas un enfant ordinaire ?

     

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    Le moins que l’on puisse dire c’est que ce film est assez mystique avec un scénario empruntant divers éléments à des récits mongols et virant vite au fantastique. C’est d’ailleurs assez troublant puisque le début du Concile de pierre vous plonge dans un quotidien tout ce qu’il y a de plus banal puis projette le spectateur au sein d’une histoire finalement peu crédible. Malgré la présence d’un trio féminin prestigieux avec Bellucci/Deneuve/Zylberstein, on est rapidement happé par un profond ennui et on oubliera vite ce film.

  • Pardonnez-moi

     

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    Violette (Maïwenn) est une jeune femme pleine de créativité, c’est certainement ce qui l’a mené sur les planches du théâtre. A peine sa représentation achevée, elle a un nouveau projet en tête : tourner un film sur sa famille mais pas n’importe quel film ! En effet, pendant plus de 10 ans; Violette fut une enfant maltraitée par son père Dominique (Pascal Greggory) et ce film devrait lui permettre d’exorciser ses démons intérieurs. La voilà caméra en main, à la recherche de son identité et déterrant de lourds secrets familiaux que l’on croyait perdus à jamais.

     

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    Cette première réalisation de l’artiste Maïwenn a engendré une certaine curiosité d’une part par le choix d’un sujet dérangeant et d’autre part par la manière de le présenter. Pardonnez-moi oscille entre film et documentaire avec cette caméra embarquée au sein d’un drame familial qui ne manquera pas de vous chambouler. En tant que spectateur, on se retrouve vite mal à l’aise devant certaines situations, preuve irréfutable d’une interprétation ö combien réaliste. Premier essai assez concluant donc qui pose une nouvelle pierre à l’édifice du cinéma français et qui devrait encourager la jeune réalisatrice à continuer ce genre d’expérimentations.

  • Devilman

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    Depuis qu’ils se connaissent, Akira & Ryo (Hisato Izaki & Yûsuke Izaki) ne se sont jamais quitté ; ils sont de véritables potes d’enfance ! Hélas, un jour Ryo apprend que son père est mort dans des conditions plus que mystérieuses alors qu’il menait des recherches tout aussi étranges. Lorsque Akira accompagne son ami sur les lieux du drame, il est attaqué par un parasite et se retrouve aussitôt transformé en une créature dénommée Devilman. A la suite de cela, la Terre ne tarde pas à être envahie par des démons créant ainsi une panique générale ; la chasse est ouverte !

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    Devilman est l’adaptation de l’œuvre de Gô Nagai, auteur célèbre au Japon mais aussi chez nous puisqu’il s’agit du papa de Goldorak. Artistiquement, le film est plutôt beau notamment dans ses phases de combats tout en images de synthèse faisant davantage penser à une belle intro d’un jeu vidéo qu’autre chose. D’ailleurs, ceux-ci ne s’intègrent pas vraiment avec le reste du film qui souffre également de la simplicité d’un scénario on ne peut plus succinct. En clair, ce n’est pas un film mémorable mais ça reste un bon divertissement pour les otakus comme moi.

  • D.E.B.S.

     

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    Pour combattre le crime organisé, le gouvernement américain a besoin des meilleurs et pour cela, tous les moyens sont bons pour les identifier. Parmi les nombreux tests anodins que l’on fait passer à tous les étudiants, il en existe un qui est destiné à reconnaître le potentiel de chacun à devenir espion. C’est ainsi que 4 potes d’enfance ont été recrutés : Amy, Max, Dominique & Janet (Sara Foster, Meagan Good, Devon Aoki & Jill Ritchie) ; elles sont ainsi devenues des membres du D.E.B.S. Lors d’une mission, Amy la plus prometteuse des agents tombe sous le charme de Lucy (Jordana Brewster) mais le seul hic c’est que celle-ci est son ennemie !

     

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    Une espèce de Drôle de dames version ado avec une légère tendance high-tech histoire d’être dans le coup. Doté d’une histoire terriblement crétine digne des meilleurs studios d’Hollywood, le film nous promène dans une romance à l’eau de rose qui aurait pu passer avec un peu d’humour. Hélas, le film vise un public jeune et donc peu regardant sur la qualité du contenu ce qui explique pourquoi D.E.B.S. est arrivé chez nous directement en DVD sans passer par la case Cinéma et on ne va pas s’en plaindre ! Interdit aux plus de 12 ans sous peine de ramollir votre cerveau.

  • Les fous du roi

     

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    Notre pote Willie Stark (Sean Penn) aurait pu être un trésorier parmi tant d’autres dans l’état de Louisiane mais son destin sera plus prestigieux. On fait appel à lui pour se porter candidat à l’élection de gouverneur mais il comprend assez vite qu’en fait il n’a été qu’un pion que l’on a manipulé pour diluer l’électorat. La majeure partie des voix est aux mains de ceux qu’il appelle les ¨Culs Terreux¨ bien qu’il ne se cache pas en être un lui-même. C’est cette proximité qui va faire basculer les votes et il arrive rapidement à capter l’attention des électeurs. Son ascension ne fait que commencer sous les yeux du journaliste Jack Burden (Jude Law) qui aura un rôle précieux.

     

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    Si vous n’avez pas encore eu votre dose de politique en cette période post-présidentielle ; vous pouvez toujours vous offrir une séance avec Les fous du roi. On y suit l’ascension d’un homme au poste de gouverneur mais c’est surtout le parcours d’un de ses hommes de main qui sera développé dans une seconde partie. Le personnage de Jack prend plus d’ampleur, travaillant dans l’ombre de son supérieur et dévoilant tous les enjeux qui se cachent dans l’accession au pouvoir. C’est pas mal mais pas exceptionnel non plus pour ce remake qui se démarque surtout par les présences de Jude Law, Sean Penn, Anthony Hopkins & Kate Winslet.

  • Ricky Bobby : roi du circuit

     

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    Si t’es pas premier, t’es dernier !! Voilà ce que n’a cessé d’entendre notre pote Ricky Bobby (Will Ferrell) depuis sa plus tendre enfance et c’est d’ailleurs grâce à cela qu’il va devenir une véritable vedette. Mécanicien dans les courses de Nascar, il va être propulsé sur le devant de la scène quand il prend le volant de la voiture de son équipe. Laissant tous les concurrents sur place, il devient la nouvelle coqueluche des foules jusqu’à l’arrivée d’un français Jean Girard (Sacha Baron Cohen) qui va mettre un peu de piment dans la compétition. Ce nouveau venu parvient à battre Ricky à son propre jeu et devient ainsi la nouvelle star mais notre héros n’a pas dit son dernier mot !

     

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    Ce film risque de passer relativement inaperçu chez nous puisque le thème principal est le Nascar ; course automobile prestigieuse chez nos potes américains mais qu’i n’a pas la même reconnaissance ici. A cela s’ajoute le fait que Ricky Bobby : roi du circuit n’a rien de vraiment intéressant à proposer avec le sempiternel schéma du héros déchu qui effectue un sensationnel come-back. Quelques bons moments d’humour qui vous arracheront des sourires grâce au personnage français incarné par Sacha Baron Cohen (le Borat !) mais vraiment rien de transcendant. Pas étonnant donc de voir ce film débarquer directement en DVD !

  • Last Kiss

     

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    La trentaine est un cap difficile à passer pour de nombreuses personnes. Pour notre pote Michael (Zach Braff), c’est même devenu problématique puisque sa vie semble déjà écrite à l’avance ce qui ne semble pas vraiment le ravir. Accompagnée de la belle Jenna (Jacinda Barrett), ce jeune couple attend un enfant mais concernant le mariage, il faudra encore patienter. Autour d’eux, les couples ne cessent de se séparer et Michael lui-même commence à se poser des questions sur ce qui l’attend, un passage à vide durant lequel il fait la connaissance de Kim (Rachel Bilson). Va-t-il pouvoir résister à cette tentation qui s’offre à lui ?

     

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    Bon, autant vous le dire tout de suite, je ne me suis pas vraiment senti concerné par ce film puisqu’il traite essentiellement de la vie de couple, des questions d’engagement et tout le tralala. L’amour est-il éternel ? On pourrait en douter après avoir vu Last Kiss qui nous déballe des couples en crise après quelques mois ou des années d’une relation heureuse. Cette vision pessimiste (ou réaliste ?) de l’amour reste l’atout de ce film mais les acteurs manquent de présence pour nous convaincre d’autant que certains personnages sont peu approfondis. Divertissant pour une petite soirée entre couples !

  • Jugez-moi coupable

     

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    Nous sommes sur le point d’assister à l’un des plus importants procès du crime organisé de New York, les accusés : la famille Lucchese. Au centre de cette affaire, on retrouve Giacomo "Fat Jack" DiNorscio (Vin Diesel) condamné pour trafic de stupéfiants et qui purge actuellement une peine de 30 ans. Refusant de trahir les siens, il décide de renvoyer son avocat et d’assurer sa propre défense mais sa façon de faire ajouté à son arrogance risque de nuire à ses compagnons. Pourtant, malgré son inexpérience on le laisse faire car on sent qu’il est capable de capter l’attention du jury mais le procès sera long !

     

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    Une fois n’est pas coutume, Hollywood s’est approprié une histoire vraie pour en faire un film mais ce qui m’intéressait surtout c’était la prestation de Vin Diesel plus réputé pour les scènes d’actions qu’autre chose. Sur ce point, pas grand-chose à dire car si il prouve qu’il peut jouer d’autres rôles que des mecs musclés ; ce personnage ne va pas non plus le propulser au devant de la scène. La faute aussi à un film assez monotone puisque l’on suit rien moins que le plus long procès pour affaires criminels ! Inutile de vous dire qu’à un certain moment on sature sans compter une histoire presque banale, bref tout ça condamne Jugez-moi coupable à n’être qu’un film parmi tant d’autres.