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Les séances de 2015-2016 - Page 2

  • The sand

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    Bouteilles d'alcool, serviettes et sacs de couchages sont éparpillés dans le sable, derniers vestiges d'une sacrée fête. Les premières lueurs du jour réveillent les derniers "survivants" parmi lesquels se trouvent Kaylee & Mitch (Brooke Butler & Mitchel Musso). A peine le temps d'émerger qu'ils vont se rendre compte avec d'autres potes que la plage qui les a accueilli s'est soudainement transformé et pas de la meilleure des façons ! Marsha (Nikki Leigh) fut la première victime d'abord bloquée dans le sable elle finit par être entièrement avalée avant que Vance (Hector David Jr.) ne tente de l'aider. Lui aussi sera pris au piège voyant son visage déchiré avant de disparaître soudainement.

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    Une plage carnivore, ça nous change un peu des requins mutants mais le principe de base reste le même à savoir massacrer tout le casting. Qui dit plage dit aussi filles sexy en bikini c'est mieux pour les mateurs … enfin non je veux dire pour alimenter une intrigue ambitieuse couplé à des effets spéciaux prodigieux. Au niveau de l'action, The sand place la barre très haute ; lancer de saucisses, numéro d'équilibriste sur des planches de surf, le spectateur a plus d'un occasion d'avoir le souffle coupé ... à moins que vous vous soyez endormis. Un film qui pourrait provoquer la psychose chez tous les inconditionnels du bronzage et vous pouvez d'ores et déjà oublier vos vacances au bord de la mer ! Encore un beau cadeau à offrir à vos meilleurs ennemis.

  • Wonder Woman

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    Après un terrible combat, la Reine Hippolyte et ses Amazones ont triomphé du machiavélique Arès et c'est à l'issue de cette guerre que s'est fondée l’île de Themyscira. Ne pouvant plus supporter le comportement violent des Hommes, elle souhaitait s'isoler et c'est en ce lieu qu'elle allait donner vie et élever sa fille Diana. La paix de l’île va cependant être troublée lorsque l'avion de Steve Trevor s'y écrase accidentellement. Cet homme sera par la suite relâché mais pour le reconduire dans son monde, les Amazones doivent désigner leur ambassadrice. En remportant le tournoi, Diana a prouvé qu'elle avait toutes les qualités requises et c'est ainsi que commence la légende de celle que le monde connaît sous le nom de Wonder Woman !

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    Parce qu'il faut bien qu'elle tire de temps en temps la couverture vers elle, notre pote Diana Prince a.k.a. Wonder Woman a les honneurs de ce film d'animation. Visuellement, les dessins font tout de suite penser au style imposé par Bruce Timm (présent ici en tant que producteur / doubleur) depuis son avènement avec la série animée Batman. Pour le scénario, ce film constitue le parfait point de départ pour tous les néophytes qui ont ainsi l'opportunité de découvrir, certes de manière succincte, les origines de la célèbre amazone et sa rencontre avec l'incontournable Steve Trevor. Une aventure qui n'est pas spécialement extraordinaire mais pour une fois que l’héroïne n'a pas ses collègues de la Justice League dans les pattes, on ne va pas s'en plaindre !

  • Extraterrestrial

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    April (Brittany Allen) pensait qu’elle passerait un petit week-end en amoureux avec Kyle (Freddie Stroma) mais ce dernier a invité quelques potes d’enfance. Les voilà donc en compagnie de Melanie, Lex & Seth (Melanie Papalia, Anja Savcic & Jesse Moss) pour aller s’éclater dans un chalet isolé au milieu d’une foret mais une drôle de surprise les attend. Des choses étranges se déroulent dans la région et plus exactement dans le ciel puisque cette bande va se retrouver nez à nez avec des extraterrestres ! Dans la panique, April récupère une arme appartenant à son père et abat un des envahisseurs ce qui sera suivi de représailles.

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    Extraterrestrial part avec les bases d’un slasher ; une bande de jeunes insouciants qui vont avoir une très mauvaise surprise pendant leur week-end. L’originalité si on peut dire ici c’est que la menace n’est pas un psychopathe meurtrier mais nous vient tout droit de l’espace et ces aliens n’ont pas forcément de bonnes intentions. On retrouve tout le folklore habituel autour des extraterrestres avec les enlèvements, le gouvernement qui veut étouffer la vérité (c’est moi ou à la fin il y a un hommage au Smoking man d’X-Files ?) et même l’apparence des créatures correspond à la représentation populaire. Difficile de nous captiver avec autant de clichés sans compter que les héros sont aussi charismatiques que des épouvantails.

  • Disaster movie

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    Il l’a vu dans ses rêves, la fin du monde est proche ! C’est d’autant plus vrai que c’est Amy Winehouse (Nicole Parker) elle-même qui lui est apparu pour le prévenir. Un bon prétexte pour notre pote Will (Matt Lanter) de se défiler quand il s’agit de parler d’engagement avec sa petite-amie Amy (Vanessa Minnillo). Mais oublions tout ça pour le moment car Will célèbre ses 16 ans et la fête bat son plein jusqu’à ce que la terre se mette à trembler et ce n’est que le début des problèmes. Des astéroïdes menacent la planète et c’est là que Will se remet à penser à ses rêves désormais  prémonitoires; c’est la fin du monde qui se profile à l’horizon.

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    Argent facile, économies au niveau du scénario et comédiens au rabais (on a quand même la présence de Kim Kardashian si ça ne vous rassure pas ça!) ; il ne semble y avoir que des avantages à réaliser une parodie. Comme ses prédécesseurs en la matière, l’humour pipi-caca est de mise repoussant chaque fois un peu plus les limites de l’affliction. Au menu cette fois 10 000, High School Musical 3, Kung-Fu Panda et bien d’autre pour un résultat réellement désastreux. A moins de vouloir rédiger une thèse sur ces parodies à deux balles et leurs effets néfastes sur la mentalité de l’être humain, je vois mal ce qui pourrait vous motiver de jeter un œil à ce Disaster movie.

  • Flashdance

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    Le jour elle travaille sur un chantier de Pittsburgh et il faut attendre la nuit tombée pour découvrir la véritable Alexandra Owens (Jennifer Beals) ! En effet, c'est au Mawby's bar qu'elle peut s'exprimer librement à travers sa seule et unique passion : la danse ! Du talent elle en a indéniablement, il n'y a qu'à voir tous ces regards scotchés durant chacune de ses prestations, la seule chose qui lui manque c'est de la confiance. Alexandra n'a jamais eu l'occasion de fréquenter les écoles de danse et a tout appris seule. Lorsqu'elle se présente dans des concours, elle se sent dévalorisé face aux autres mais grâce à son entourage, ses rêves pourraient un jour se réaliser.

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    Classique des années 1980, c'est toutefois en 2015 que je découvre pour la première fois ce film d'Adrian Lyne (et produit par Don Johnson & Jerry Bruckheimer !) ; une précision qui a son importance quand a défilé devant mes yeux les Sexy Dance ou Street Dance. Flashdance a été l'un des précurseurs du genre puisqu'on retrouve le schéma maintenant bien connu de la jeune femme sympa, pas avare d'efforts, qui va tomber amoureuse bref tout ce qu'il faut pour s'attirer la compassion des spectateurs. Le plus décevant reste toutefois que visuellement c'est pauvre, on a que peu l'occasion de voir Jennifer Beals - ou du moins sa doublure - en action. Cela ne compense pas ses faiblesses mais le film a tout de même eu droit à une belle bande originale.

  • Ronaldo

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    Nous sommes le 24 Mai 2014 et c'est un jour historique pour le club de football du Real Madrid qui va affronter l'Atlético. La finale de la Ligue des champions se dispute à Lisbonne et les madrilènes sont en effervescence ; les regards seront notamment tournés vers un joueur exceptionnel : Cristiano Ronaldo ! La star du ballon rond ne vit que pour la victoire et il est déterminé à rapporter la fameuse Decima attendu par des milliers de supporters. Cette journée constitue l'un des points culminants de sa prolifique carrière construite par les succès et les records toutefois cela ne s'est pas fait sans sacrifices. Ronaldo est un joueur qu'on aime ou qu'on déteste mais qui ne laisse personne indifférent !

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    Tout amateur de football connaît son nom ; Cristiano Ronaldo est un joueur hors-norme sur le terrain et même en dehors. C'est donc avec un brin de mégalomanie que la star portugaise se dévoile devant les caméras d'Anthony Wonke. Le documentaire commence en 2014 mais reprend aussi quelques images d'archives retraçant succinctement le parcours du prodige de ses débuts sur l’île de Madère jusqu'à son sacre en Janvier 2015 où il décroche son 3ème Ballon d'or. Si on découvre quelques aspects intéressants de sa vie privée, Ronaldo fait plus penser à un reportage télé pas toujours passionnant surtout lorsqu'il s'attarde sur des futilités comme "Quelle voiture il manque dans le garage ?".

  • Justice League : Crisis on two earths

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    Ça peut paraître étrange mais Lex Luthor s’est livré à la police ! Bien sur, toute la Justice League imagine qu’il s’agit encore d’un de ses plans machiavéliques mais ils sont loin de se douter que ce Luthor vient en fait d’une Terre parallèle. Sur son monde, il est l’un des derniers héros à s’opposer au malfaisant Syndicat du crime et s’il a fait cet incroyable voyage c’est pour demander l’aide de nos justiciers. Seul Batman se montre méfiant et refuse de l’accompagner sur sa Terre, les autres membres emmenés par Superman vont découvrir un monde où la peur s’est installée. Ce qu’ils ignorent également c’est que Luthor a profité de sa brève visite dans leur base pour y dissimuler un objet précieux.

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    Inspiré notamment du roman graphique JLA : Earth 2 du duo Grant Morrison / Frank Quitely, Justice League : Crisis on two earths donne l'occasion de voir un univers DC chamboulé où le rôle des héros et vilains se sont inversés. On apprécie ainsi de voir s’opposer les membres de la Justice League avec leurs doubles maléfiques du Syndicat du crime ; de quoi nous offrir de belles scènes d'action même si l'issue de ces combats n'étonnera pas grand monde. Dans l’ensemble, on a donc un film d’animation plutôt sympa, des graphismes plaisants, facile d’accès et qui devrait contenter aussi bien le spectateur averti des productions de chez DC que l’amateur.

  • Repas de famille

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    Nos potes Huguette & Bruno (Lorella Cravotta & Eric Carrière) sont sur la route et devraient bientôt arriver chez Bernard (Francis Ginibre) où est prévu un joli repas de famille avec Mamie. Ils vont cependant avoir un petit contretemps lorsque des graviers éclatent leur pare-brise et leur beau-frère n’y est pas pour rien. Celui-ci s’est en effet débrouillé pour monter une combine puisqu’il possède un garage qui ne manque donc pas de clients pour changer leur pare-brise. En plus de ça, il a récemment décidé de briguer le poste de Maire et trouve même le temps de papillonner dans le dos de sa femme Bernadette (Noëlle Perna). D’ailleurs cette dernière se démène actuellement avec son nouveau four acheté sur Internet pour essayer de faire cuire son rôti.

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    Bon déjà il faut avoir en tête que l’humour du duo Eric Carrière / Francis Ginibre plus connu sous le nom des Chevaliers du fiel me laisse mais alors totalement indifférent. Il n'y avait donc au départ pas de réelles affinités et une fois le générique de fin passée je dois dire que … je reste toujours aussi imperméable à leur humour. Personnages qui baignent dans la caricature, gags lourds quand ils ne frôlent pas le ridicule (Ah, ce four intelligent!), réalisation dépassée ; il n'y a rien pour sauver cette comédie. Clairement ce Repas de famille a toutes les chances de vous rester sur l’estomac et un petit régime ne fait jamais de mal à moins d’être fan absolu des comiques toulousains !

  • The condemned 2

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    Il y a encore 6 mois notre pote Will Tanner (Randy Orton) était un chasseur de primes mais en voulant neutraliser le dangereux Cyrus Merrick (Wes Studi), il l’a accidentellement tué. Aujourd’hui, Will est retourné vivre auprès de son père Frank (Eric Roberts) et est devenu dépanneur. Un jour, il croise Michaels (Morse Bicknell) qui faisait autrefois partie de son équipe de chasseurs de primes mais après quelques gorgées de bière, celui-ci cherche à le tuer. Les surprises ne vont pas s’arrêter là puisque un peu plus tard, Lange (Michael Sheets) un autre ancien partenaire pointe à son tour le bout de son nez. Les ennuis ne font que débuter !

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    Il avait succédé à John Cena sur 12 rounds : Reloaded, voilà que notre pote Randy Orton prend la suite de Steve « 3 :16 » Austin pour The condemned 2. Il retrouve Roel Reiné, un réalisateur habitué des productions WWE pour des résultats loin d’être brillants ; ce nouveau film ne va pas révolutionner sa carrière, pire que ça il fait même un peu peine à voir. Scénario insipide, mise en scène ennuyeuse en dehors d’un faiblard spectacle pyrotechnique à la fin (il se murmure que tout le budget est allé dans le drone !), voilà de quoi le condamner aux oubliettes. La star du catch n’est pas prête de quitter le ring pour se lancer sérieusement au cinéma, prochain objectif s’incruster sur la sage The marine ?

  • Battlefield baseball

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    Au Japon, le rêve de tout élève pratiquant le baseball est un jour de disputer un match dans le prestigieux stade Kōshien. Cette année, l'établissement Seido et notamment son principal et entraîneur de l'équipe espèrent qu'ils atteindront cet objectif. C'est donc une véritable désillusion lorsqu'ils apprennent que leurs premiers adversaires seront les membres de l'équipe de Gedo car ceux-ci pratiquent un baseball très particulier. Composée de zombies, ils ne pensent qu'à tuer tous ceux qui se présentent devant eux et à la fin des matchs, les terrains laissent place à des champs de guerre. Il reste toutefois un espoir ; il vient d'arriver à Seido et s'appelle Yakyû Jubei (Tak Sakaguchi).

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    Du baseball oui mais il y a aussi des zombies, des joueurs robotisés, un mec qui ne cesse de rajeunir ou encore une mamounette très effrayante ! Autant vous prévenir que si vous n'appréciez pas le caractère souvent loufoque des japonais, vous pouvez d'ores et déjà passer votre chemin. En dehors de quelques lancers de balles et coups de battes, le sport est quant à lui relégué au second plan préférant les scènes qu'on dirait tout droit sorties d'un dessin animé, des bastons improbables mais aussi quelques séquences de comédies musicales. Sorti en 2003, Battlefield baseball a clairement pris quelques rides mais ça reste malgré cela un délire bien sympa à mater.