Proche du bureau, une petite supérette au rez-de-chaussée et une vue magnifique sur Detroit ; cet appartement a tout pour plaire. Pas étonnant alors que notre pote Janet (Julianne Michelle) ait craqué d’autant plus qu’elle voulait quitter au plus vite la maison familiale. Avec une mère artiste mais aussi très portée sur la bouteille, la jeune femme n’en pouvait plus malgré le soutien de sa sœur Lara (Mischa Barton). En emménageant dans l’appartement 1303, Janet va se rendre compte qu’elle a peut-être fait une erreur car de drôles de choses s’y passent. Outre un concierge vicieux et une petite voisine flippante, il y a une odeur putride et comme une présence maléfique qui la rendent totalement désemparée.

Ce n'est pas avec ce film qu'on va relancer l'immobilier ni même se faire quelques frayeurs ! Enième film d'horreur-épouvante qui revisite le célèbre thème de la maison hantée à l'échelle d'un appartement, on retrouve forcément toujours les mêmes éléments. Des apparitions soudaines accentuées par des effets musicales de circonstances avec au milieu de tout ça des personnages totalement transparents (avec une petite mention à Rebecca De Mornay) et on évitera de s'attarder sur une histoire des plus classiques. Difficile donc pour Apartment 1303 de se faire sa place auprès des spectateurs et à moins de suivre de près la carrière de Mischa Barton, on voit mal ce qui pourrait vous intéresser ici.

C'est par un malencontreux hasard qu'Armando (Will Ferrell) et ses potes Esteban & Manuel (Efren Ramirez & Adrian Martinez) ont surpris l'exécution d'un homme par celui qu'on surnomme La Onza (Gael García Bernal). Il voulait d'ailleurs en parler à son père mais celui-ci est surtout impatient de revoir son autre fils, la fierté de la famille : Raul (Diego Luna). En plus de ça ce dernier n'est pas revenu au Mexique seul puisqu'il est accompagné de Sonia (Genesis Rodriguez), sa future épouse qui ne laisse pas Armando insensible. Entre les deux frères, des tensions apparaissent et plus encore lorsque Raul se révèle être un narcotrafiquant dont les activités menacent celles de la Onza.

Ce n'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de voir notre pote Will Ferrell parler espagnol et ça faisait déjà de Casa de mi padre une curiosité. L'humour pratiqué ici est plutôt primitif ce qui n'est pas vraiment pour nous gêner mais en dépit de quelques bonnes idées, on sent que le potentiel de cette comédie n'a pas été exploité à fond par le réalisateur Matt Piedmont. La seule chose qu'on retiendra c'est finalement ce running-gag avec les cigarettes jusqu'à cette fausse pub après le générique de fin.On ne risque donc pas de s'étouffer de rires, quelques sourires tout au plus qui ne pèsent malheureusement pas lourds face aux nombreux moments d'ennui et c'est dommage car Gael García Bernal faisait un beau méchant de service.

Depuis qu’ils se sont connus dans un club de foot ; Alex, Antoine, Jeff & Manu (Marc Lavoine, Bernard Campan, Gérard Darmon & Jean-Pierre Darroussin) sont restés de sacrés potes d’enfance. Ils ne manquent pas une occasion de se voir que ce soit pour se faire une bonne bouffe ou bien pour boire un verre autour du traditionnel loto-foot. Une amitié solide qui compense une vie sentimentale pas toujours facile comme pour Antoine qui vient d’apprendre que sa femme Lili (Fabienne Babe) a eu une aventure. Si de leurs cotés, Jeff & Manu semble s’épanouir dans leurs relations respectives ; Alex accumule les conquêtes en essayant d’éviter les soupçons de sa femme Nanou (Catherine Wilkening).

C’est en 2003 que Le cœur des hommes débarque dans les salles obscures et rencontre un joli succès qui se perpétuera jusqu’à 10 ans plus tard en une trilogie. L’amitié masculine trouve un nouveau visage à travers ce quatuor de potes d’enfance formé par Bernard Campan, Gérard Darmon, Jean-Pierre Darroussin & Marc Lavoine qui viennent apporter la bonne humeur du film. Des personnages liés par l’amitié et l’amour vivant des choses simples ce qui crée immédiatement un lien affectif avec le spectateur. On pourrait dire qu’il ne s’y passe pas grand-chose au point de vue scénario et il sera difficile de le contredire toujours est-il qu’on passe un agréable moment en compagnie de cette bande et c’est déjà pas mal !

En savoir plus sur Le cœur des hommes 2 ?

En savoir plus sur Le cœur des hommes 3 ?

Nos potes Caroline & Bertrand (Marina Foïs & Philippe Harel) ont décidé de se lancer un grand défi en quittant la vie parisienne pour s’occuper d’un gîte qu’ils ont racheté à Sophie (Sylvie Lachat). Les voilà ainsi installés en Provence et propriétaires de l’Apurimac mais à leur arrivée ils ont la mauvaise surprise de constater que Sophie s’est enfuie avec un homme dans les Balkans alors qu’elle devait assurer la transition. Heureusement pour Caroline & Bertrand qu'Angélique (Annie Grégorio) a su prendre le relais et c’est donc elle qui va leur enseigner les rudiments de la vie au gîte. Les débuts sont donc difficiles surtout qu’ils apprennent en plus qu’un autre gîte se trouve en ville mais celui-ci ne devrait pas représenter une trop grande concurrence.

Un couple de parisiens qui décident de s’installer en province pour reprendre un gîte, un scénario relativement simple pour un film qui ne l’est pas moins. On ne peut pas dire que l’on s’étouffe de rires avec Bienvenue au gîte (les seuls moments où j’ai vraiment rigolé sont avec le Père Robert) mais paradoxalement on ne peut pas dire qu'on s’ennuie non plus. On apprécie le duo Marina Foïs / Philippe Harel et surtout le sacré boxon qui règne autour d’eux avec des gays, des scouts, des anciens toxicos ou encore des mamies qui ne peuvent pas se passer de leurs micro-ondes. Une comédie qui ne laissera pas des souvenirs impérissables avec des personnages bien trop stéréotypés et un humour aux abonnés absents !

Bangkok en Thaïlande. L'agitation règne dans cette immeuble où une jeune femme vêtue de sa robe de mariée s'est jetée dans le vide, La victime se nomme Vipavee (Patitta Attayatamavitaya) et tout le monde a du mal à croire à ce qui s'apparente être un suicide bien que récemment elle traversait une période difficile, Alors qu'elle est sur le point de se marier, Vipavee a rencontré Kong (Setthasitt Limkasidej) par l'intermédiaire de sa pote d'enfance Nong (Malivan Taribon) et ce couple va terminer la soirée ensemble. Cet amant va devenir une véritable obsession et il n'est peut-être pas étranger au drame qui s'est déroulé.

C'était plutôt un projet intéressant que celui proposé par 9-9-81 puisque le film est décomposé en 9 parties confiées à 9 réalisateurs différents ; le résultat final aurait pu être un malin patchwork si la diversité avait était au rendez-vous. On avait un petit espoir lorsque s'immiscent quelques images animées dans le second segment mais ça disparaît aussi vite que c'est apparu. Avec ça, il y également une histoire générale qui n'a rien d'extraordinaire, chaque nouvelle partie introduit un personnage pour alimenter l'intrigue mais peu se révèlent réellement intéressants. Si vous voulez vous faire peur, vous risquez plutôt d’être frappé par l'ennui.

Depuis sa terrible confrontation avec Hadès, Seiya se trouve dans un état végétatif. A ses cotés, Saori Kido veille sur lui et c’est d’ailleurs grâce au cosmos d’Athéna que le chevalier de Pégase échappe à une attaque. Trois anges sont descendus sur Terre ; Icarus, Odysseus & Theseus ont été envoyés par Artémis, grande sœur d’Athéna. Pour avoir commis le sacrilège de lever la main sur des Dieux ; Seiya et ses potes d’enfance doivent recevoir le châtiment qu’ils méritent. Cherchant à les épargner, Saori accepte d’abandonner la Terre à Artémis et de verser son sang ; cela annonce de nouveaux combats à venir pour nos chevaliers de bronze !

Dans la foulée de la sortie des OAV tant attendus par les fans consacrées à la saga Hadès, voilà que débarque ce 5ème film d’animation. Si l’histoire nous présente une nouvelle fois une Saori Kido à secourir, on a quand même droit à des combats plus intéressants et des adversaires plus dignes d’intérêt qu’à l’accoutumée. On penser bien évidemment à Icarus qui vient lever le voile sur l’une des interrogations de la série concernant un des personnages féminins de la série. Sur bien des aspects, Saint Seiya : Tenkai-hen Josô Overture fait penser à Abel avec un Seiya dans un état catatonique, des Dieux qui viennent chercher des crosses et surtout au niveau du graphisme et de l’animation c’est un cran au-dessus des autres films.

En savoir plus sur Saint Seiya - La légende de la pomme d'or ?

En savoir plus sur Saint Seiya - Les guerriers d'Abel ?

En savoir plus sur Saint Seiya - La guerre des Dieux ?

En savoir plus sur Saint Seiya - Lucifer : Le Dieu des enfers ?

En savoir plus sur Les chevaliers du zodiaque - La légende du Sanctuaire ?

Cela peut paraitre inimaginable mais Mû, Aldebaran, Aiolia, Shaka & Milo ont été mis à terre en un éclair. Les responsables ce sont les Anges déchus au service de Lucifer, le Dieu des enfers qui est décidé à provoquer la destruction de notre planète avec l’aide d’Abel, Éris & Poséidon. Athéna ne tarde pas à lui faire face et si elle veut sauver la Terre, elle devra se sacrifier ce que refusent bien entendu ses chevaliers de bronze. Une nouvelle bataille est sur le point de commencer pour Seiya, Shiryu, Shun & Hyoga qui vont devoir venir à bout des Anges déchus et empêcher Lucifer de faire revenir à la vie Abel, Éris & Poséidon.

Bien qu’allié aux précédents adversaires des chevaliers, Lucifer reste évidemment le grand méchant de l’histoire ; Abel, Éris & Poséidon se contentant d’apparaitre sous la forme d’image et c’est bien dommage. Pour le reste, tout le monde connait déjà la chanson ; Athéna en danger, Shiryu qui fait tout pour montrer son tatouage de dragon et Ikki qui ne veut jamais être présent dès le début de l’aventure. Après la claque reçue par Les guerriers d’Abel, on est aussi déçu de constater que graphiquement la qualité a baissé d’un cran. On a beau être fan de l’œuvre de Masami Kurumada, devant Saint Seiya - Lucifer : Le Dieu des enfers on se dit quand même qu’on nous prend pour des idiots !

En savoir plus sur Saint Seiya - La légende de la pomme d'or ?

En savoir plus sur Saint Seiya - La guerre des Dieux ?

En savoir plus sur Saint Seiya - Les guerriers d'Abel ?

En savoir plus sur Les chevaliers du zodiaque - La légende du Sanctuaire ?

C’est une apparition divine qui s’offre à notre pote Saori Kido, la réincarnation d’Athéna. Son frère Abel, Dieu du soleil se présente en effet à elle et les retrouvailles chaleureuses au départ prennent une autre tournure lorsqu’il lui annoncer sa volonté de décimer la race humaine. Au même moment, Seiya et ses potes Hyoga, Shiryu & Shun venus rendre visite vont avoir une drôle de surprise. Athéna accepte en effet l’invitation d’Abel à le rejoindre ce qui ne manque pas de faire réagir le chevalier de Pégase mais la garde personnelle d’Abel se dresse devant lui. Le plus étonnant est à venir puisque les chevaliers de bronze vont revoir des visages qu’ils pensaient disparus.

On ne va pas y aller par 4 chemins il s’agit sans aucun doute du meilleur film adapté du manga de Masami Kurumada. Tout de suite par rapport aux précédentes productions, on note un graphisme et une animation bien plus séduisants ; l’influence du character designer Shingo Araki est là au top. Tant qu’on est dans le générique, n’oublions pas les compositions toujours aussi merveilleuses de Seiji Yokoyama pour compléter le tableau. Coté scénario ce n’est par contre pas très divin ; Saori se retrouve encore dans la panade et ses chevaliers viennent à la rescousse même si on constate des combats plus intéressants. Saint Seiya – Les guerriers d’Abel, j’ai beau le revoir je ne m’en lasse pas !

En savoir plus sur Saint Seiya - La légende de la pomme d'or ?

En savoir plus sur Saint Seiya - La guerre des Dieux ?

En savoir plus sur Saint Seiya - Lucifer : Le Dieu des enfers ?

En savoir plus sur Les chevaliers du zodiaque - La légende du Sanctuaire ?

Alors qu’il était revenu en Sibérie, notre pote Hyoga a été averti du danger qui courait au Royaume d’Asgard. Il décide alors de s’y rendre mais depuis Saori n’a plus eu aucunes nouvelles de la part du chevalier de bronze du cygne. La réincarnation d’Athéna part à son tour à Asgard auprès du grand prêtre Dorbal qui ne semble pas en savoir plus qu’elle à ce sujet. Seiya, Shun & Shiryu se doutent que quelque chose d’étrange se trame notamment lorsqu’ils sont pris à parti par les guerriers divins protégeant ce royaume. Une nouvelle bataille est sur le point de commencer pour les chevaliers de bronze !

Il s’agit là d’un film assez particulier puisque l’aventure Asgard sera également adaptée dans la série animée à travers 26 épisodes. A la base, Asgard est évoqué brièvement dans le manga de Masami Kurumada et c’est  à partir de là que se construit Saint Seiya - La guerre des Dieux. Face à nos chevaliers de bronze, on retrouve 4 guerriers divins qui serviront d’inspirations pour créer certains de la série. A part ça ; l’histoire est on ne peut plus banale, les combats sont loin d’être excitants et l’issue est aussi prévisible que l’arrivée d’Ikki pour sauver son frère. Un film encore une fois loin de se montrer à la hauteur, on préférera s’intéresser à la version développée dans la série animée !

En savoir plus sur Saint Seiya - La légende de la pomme d'or ?

En savoir plus sur Saint Seiya - Les guerriers d'Abel ?

En savoir plus sur Saint Seiya - Lucifer : Le Dieu des enfers ?

En savoir plus sur Les chevaliers du zodiaque - La légende du Sanctuaire ?

Un drame a été évité de justesse grâce à l’intervention de notre pote Hyoga. Accompagné de Seiya, Shun & Saori ; ils sont venus rendre visite à l’orphelinat où travaille Miho et c’est à cette occasion qu’ils font la connaissance de sa collègue Ellie. Cette dernière va tenir un rôle important puisque alors qu’elle observait le ciel, elle voit tomber une pomme en or. En allant à sa recherche, elle va réveiller l’esprit d’Éris, la déesse de la discorde qui va s’emparer de son corps et redonner vie à 5 chevaliers fantômes. La résurrection d’Éris n’est pas totalement achevée, elle le sera quand elle aura récupéré l’énergie d’Athéna absorbée par la pomme d’or.

Petit évènement pour les fans du manga de Masami Kurumada puisqu’on tient avec Saint Seiya - La légende de la pomme d’or le tout premier film d’animation dérivé de la série. On peut situer l’histoire juste après la grande bataille du Sanctuaire ; Seiya et ses potes d’enfance vont ainsi devoir de nouveau passer à l’action pour sauver Athéna. Hormis l’enthousiasme de retrouver nos héros, il n’y a rien de très brillant avec une intrigue loin de nous emballer, des adversaires transparents (hormis peut-être Jaegar d’Orion et son Megaton meteor crash) et une issue tellement prévisible. Un prolongement presque anecdotique de la série si bien qu’il sera avant tout à réserver aux fans purs et durs !

En savoir plus sur Saint Seiya - Les guerriers d'Abel ?

En savoir plus sur Saint Seiya - La guerre des Dieux ?

En savoir plus sur Saint Seiya - Lucifer : Le Dieu des enfers ?

En savoir plus sur Les chevaliers du zodiaque - La légende du Sanctuaire ?