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L'avant-première impression - Page 12

  • Le flingueur

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    Notre pote Arthur Bishop (Jason Statham) est un tueur à gages d’un genre bien particulier. Il ne se contente pas d’exécuter ses cibles, les contrats qu’il reçoit exigent qu’il fasse passer les disparitions pour de simples accidents. C’est donc un plan minutieusement préparé qu’il doit mettre au point pour accomplir les missions que lui confient Harry McKenna (Donald Sutherland). Justement, il vient d’apprendre que ce dernier est en fait un traitre et qu’il est devenu à son tour une cible. Bishop se charge à contrecœur de ce nouveau contrat et quelques jours après, il croise Steve (Ben Foster), le fils d’Harry qu’il décide de former comme tueur.

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    Avec Jason Statham, on fait rarement dans la dentelle et une nouvelle fois on en a la preuve avec Le flingueur, un film d’action plutôt classique mais efficace. De la baston, de belles cascades et surtout des fusillades en cascade ; on ne s’ennuie pas mais on reste clairement sur notre faim en raison d’un scénario trop lisible. La participation de Ben Foster à cette petite fête aurait pu se transformer en atout au lieu de quoi sa prestation relève plus de l’anecdotique. Ce remake du film homonyme dont le héros était incarné par le légendaire Charles Bronson n’a donc rien de magique et seuls ceux qui ont une grande faim d’action sauront s’en contenter.

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre chaine hi-fi par un tourne-disque.

  • Morning Glory

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    Fraichement virée de l’émission Good Morning New Jersey, notre pote Becky Fuller (Rachel McAdams) s’est démené pour vite retrouver un job et c’est à New York qu’elle va trouver son bonheur. La chaine IBS lui propose en effet de devenir Productrice exécutive de Daybreak dont les scores d’audience sont pour le moins calamiteux. Dès son arrivée, Becky prend ses responsabilités en virant l’un des présentateurs et elle doit désormais lui trouver un remplaçant digne de ce nom. C’est là qu’elle a l’idée folle de faire appel à Mike Pomeroy (Harrison Ford), journaliste à la carrière impressionnante mais dont le caractère difficile promet quelques dissensions.

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    L’univers des médias et plus particulièrement de la télévision fait l’objet d’une certaine fascination auprès du grand public et Morning Glory est là pour remettre les choses à leur place. On est ainsi convié dans les coulisses d’une émission matinale à l’américaine présentée conjointement par Diane Keaton & Harrison Ford. On regrette d’ailleurs que ce duo n’ait pas donné plus d’éclat en matière de clash, ça se limite à quelques échanges verbaux ce qui fait qu’on est loin d’être plié de rire. Une comédie plutôt quelconque pas désagréable à regarder mais pas non plus une révolution dans le genre.

     

    Il faut le voir pour : Vous faire une Frittata pour le diner !

  • Fighter

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    Il est surnommé la Fierté de Lowell, son heure de gloire il l’a connu lorsqu’on lui a offert la chance de boxer contre Sugar Ray Leonard et qu’il a réussit à le mettre au tapis. Dès qu’il en a l’occasion, notre pote Dicky Ecklund (Christian Bale) ne manque pas de raconter à qui veut l’entendre son exploit et il est d’autant plus excité qu’actuellement la chaine HBO lui consacre un documentaire sur sa vie. A ses cotés, il y a Micky Ward (Marl Wahlberg), son frère qui est lui aussi boxeur mais qui a davantage la réputation de tremplin que de véritable compétiteur. Managé par sa mère et entrainé par Dicky ; il en a assez de ramasser les coups et aimerait lui aussi lancé sa carrière et cela passe par des décisions difficiles à prendre.

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    A part la saga Rocky et le biopic consacré à Mohamed Ali, l’incursion de la boxe au cinéma se fait plutôt rare et on reçoit donc Fighter tel un terrible uppercut. Coté casting, on a de nouveau un énorme Christian Bale décrochant pour l’occasion l’Oscar du meilleur second rôle masculin. Sa transformation physique est impressionnante et n’est pas sans nous rappeler celle qu’il avait opéré dans The machinist. La prestation de Wahlberg n’est pas en reste, on est captivé par les relations ambigües qu’entretiennent ces deux frères et par les combats de boxe de toute beauté. Un grand film assurément et donc un joli Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à faire de la boxe ; Corps, tête, corps, tête … C’est simple non ?

  • 127 heures

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    C’est une manie chez notre pote Aron Ralston (James Franco) ; lorsqu’il part faire de l’escalade, il n’y a plus rien qui compte pour lui. C’est toujours avec une grande excitation qu’il se rend au Blue John Canyon où il a l’occasion de grimper n’importe où et de découvrir de somptueux paysages. Sur la route, il fait la connaissance de Megan & Kristi (Amber Tamblyn & Kate Mara) et ce trio se met à s’aventurer dans les failles des rochers pour atterrir dans une crypte de toute beauté. Aron reprend ensuite sa route mais un mauvais pas va lui couter cher ; un rocher s’effondre et bloque sa main contre la paroi. Il tente vainement de se dégager mais va devoir se résoudre à accepter l’idée qu’il a rendez-vous avec la mort.

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    Adapté de l’histoire vraie d’Aron Ralston ; 127 heures n’est pas sans nous rappeler le récent Buried. A l’inverse du film de Rodrigo Cortés, notre pote James Franco se retrouve certes en plein air mais non moins dans une situation inconfortable et le spectateur avec. Pendant plus d’une heure, Danny Boyle nous laisse ainsi en compagnie de cet aventurier hors du commun. Plus habitué aux seconds rôles, James Franco se plie en quatre de manière exceptionnelle pour nous garder en haleine pendant plus d’une heure et ça fonctionne ! Un film haletant et un magnifique hommage à cet homme miraculé, du bon divertissement en somme mais qui s’oublie rapidement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’offrir des produits fabriqués en Chine à vos potes qui font de l’escalade.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Yogi l’ours

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    Jellystone Park est sur le point d’être fermé afin que le Maire Brown (Andrew Daly) puisse rembourser la dette de la ville et avoir ainsi les faveurs de l’électorat pour devenir le prochain gouverneur. Cette nouvelle est un choc pour le Ranger Smith (Thomas Cavanagh) et surtout pour Yogi & Booboo, deux ours qui prenaient un malin plaisir à chasser les paniers de pique-nique des visiteurs. S’ils veulent sauver ce dernier coin de paradis, ils doivent absolument équilibrer leur budget et faire rentrer plus de 30 000 dollars. Ils ont alors l’idée d’organiser un fantastique feu d’artifice à l’occasion du centenaire de Jellystone Park mais Yogi va, sans le vouloir, gâcher la fête.

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    Après un 1er film sorti en 1964, le personnage crée par le légendaire duo Hanna-Barbera retrouve les honneurs d’une sortie dans les salles obscures. Trouver un ours qui parlent étant difficile de nos jours, Yogi l’ours se compose d’animation en images de synthèse et film live, un mélange plutôt réussi et qui passera comme une lettre à la poste auprès des enfants. Pour les nostalgiques du dessin-animé ou bien pour les amateurs d’ours portant une cravate, ce sont essentiellement les petits qui sauront passer du bon temps quant aux autres, vous pourrez toujours vous consoler en organisant un pique-nique après la séance !

     

    Il faut le voir pour : Faire attention aux ours qui veulent vous piquer votre repas.

  • Rien à déclarer

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    La construction de L’Europe ne fait pas que des heureux, la preuve avec Ruben Vandevoorde (Benoit Poelvoorde), fervent défenseur de sa magnifique Belgique. Ce douanier n’en revient toujours pas que les frontières vont prochainement disparaitre, ça va être la porte ouverte aux voleurs, aux trafiquants en tous genres bref aux français ! D’ailleurs, ses relations avec ses collègues français sont pour le moins tendues et ce n’est pas notre pote Mathias Ducatel (Dany Boon) qui vous dira le contraire. Ce dernier est dans une situation embarrassante ; il est fou amoureux de Louise (Julie Bernard) qui n’est autre que la sœur de Ruben.

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    Contre toute attente, Bienvenue chez les Ch’tis avait battu tous les records détenant désormais le plus grand nombre d’entrées pour un film français. A priori, Dany Boon ne rééditera pas l’exploit ; Rien à déclarer est une comédie proche de sa dernière réalisation, un film à l’humour assez potache n’hésitant pas à s’appuyer sur les préjugés touchant aussi bien les français que les belges. Quant à l’inspiration de son scénario, il n’est pas allé la chercher bien loin ; l’antagonisme Nord / Sud est transposé à l’Europe avec bien évidemment ce cher message de fraternité en guise de conclusion. Tout le monde ne sera pas sensible à cette comédie populaire mais la présence de Benoit Poelvoorde est un bel argument pour vous laisser tenter.

     

    Il faut le voir pour : Sortir votre 4L du garage et lui faire un bon lifting !  

  • Faites le mur !

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    Thierry Guetta était vendeur dans un magasin de vêtement de Los Angeles jusqu’au jour où on lui a offert un cadeau inestimable : une caméra ! Depuis ce jour, il ne l’a plus quitté et n’a cessé de filmer tous les moments de sa vie ; c’était devenu pour lui un besoin vital et il a ainsi accumulé des milliers de cassettes. Un jour, lors d’une réunion familiale en France, il s’intéresse à l’activité de son cousin un certain Space Invader ; une rencontre qui va faire tomber Thierry dans la spirale du Street Art. Au départ, il suit ces artistes des temps modernes dans leur processus de création n’hésitant pas à braver les interdits mais va également se mettre à devenir lui-même un artiste poussé par le célèbre Banksy.

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    Pour les uns ce ne sont que des dégradations sur des biens publics pour d’autres c’est une véritable forme d’art, le Street Art ne nous laisse en tout cas pas indifférent tout comme ce documentaire. On se passionne rapidement pour Faites le mur où l’on suit les parcours de Space Invader, Shepard Fairey aka Obey et le célèbre Banksy qui s’était notamment illustré en œuvrant sur le mur de Gaza. La suite s’intéresse à un tout autre personnage : Thierry Guetta qui jusqu’alors avait suivi tous ces artistes avec sa caméra se lance soudainement dans le Street Art. Le portrait tourne alors au règlement de comptes ; le succès fulgurant rencontré par Mr. Brainwash fascine autant qu’il laisse perplexe. Faites le mur ! est un excellent documentaire pour peu que le sujet vous intéresse.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de faire des conneries à Disneyland !

  • Scott Pilgrim

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    Scott Pilgrim (Michael Cera) en est convaincu, cette fille est faite pour lui ! Elle s’appelle Ramona Flowers (Mary Elizabeth Winstead) et il a déjà eu l’occasion de la voir dans ses rêves, un signe qui ne trompe pas. Si entre les deux, le courant a l’air de bien passé, sortir avec elle ne sera pas une sinécure. Après avoir plaqué une copine légèrement collante, Scott apprend en effet qu’il va devoir faire face aux anciens petits-amis de Ramona connus également sous le nom de la Ligue des 7 ex sadiques ! Notre pote va devoir se retrousser les manches pour se débarrasser de mecs comme la star Lucas Lee (Chris Evans) ou encore les frères Katayanagi.

     

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    Au départ, il y a le comic de Bryan Lee O’Malley adapté pour le grand écran par Edward Wright à qui l’on doit déjà les délirants Shaun of the dead & Hot fuzz. Pour sa 3ème réalisation, il signe sans nul doute son film le plus abouti avec une mise en scène démente et originale arrosée de rock, une histoire aussi hallucinante qu’elle est imprévisible et un délicieux Michael Cera. Scott Pilgrim est tout simplement un petit bonheur pour les geeks ; un mélange détonnant entre jeux vidéo, bande dessinée & cinéma si bien qu’il n’y a aucunes limites c’est donc normal qu’il devienne un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Devenir végétalien, vous deviendrez plus fort !

  • Arthur 3 La guerre des Deux mondes

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    Le monde court un grand danger ; Maltazard possède maintenant une taille humaine et il compte bien imposer sa loi ! Pendant ce temps, Arthur (Freddie Highmore) transformé en Minimoy, accompagné de Séliéna & Bétamèche, cherche une solution pour l'empêcher de nuire. Ils ont finalement l'idée de retourner dans la maison d'Arthur pour récupérer une potion capable de lui redonner sa taille normale. C'est parti pour une nouvelle aventure au cours de laquelle ils vont croiser le chemin du terrible Darkos bien décidé à se venger. Le temps presse car Maltazard est en train de lever son armée et lui aussi convoite cette précieuse potion.

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    Conclusion pour la saga de Luc Besson, Arthur et ses potes d'enfance n'en ont pas encore fini avec Maltazard et cet épisode était particulièrement attendu compte tenu de la frustration provoquée par le précédent volet. Pas de grandes surprises, les fans de la première heure seront satisfaits du spectacle proposé et ne tiendront pas rigueur des incohérences et de la niaiserie ambiante imposée par le réalisateur français. Arthur 3 La guerre des Deux mondes fera avant tout plaisir aux enfants et devrait donc s'imposer comme l'un des choix incontournables pour une bonne sortie familiale.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les véritables origines de Dark Vador

     

    En savoir plus sur Arthur et les Minimoys ?


    En savoir plus sur Arthur et la vengeance de Maltazard ?

  • Moi, moche et méchant

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    Gru est méchant et il y a une chose qu'il ne supporte pas ; c'est qu'on soit encore plus méchant que lui ! Vector a fait parler de lui car il a réussi l'incroyable exploit de voler une pyramide ce qui fait de lui le plus cruel de tous les méchants. Déterminé à reprendre ce titre, Gru se lance dans l'incroyable projet de voler la lune et sa première mission est de récupérer le pisto-réducteur qui permettra de rétrécir l'astre. Alors qu'il a réussit à s'en emparer, il se le fait à son tour voler par Vector et il doit franchir une véritable forteresse pour le récupérer. C'est alors qu'il a l'idée d'adopter 3 petites filles Margaux, Edith & Agnès qui pourront pénétrer sans mal la propriété de Vector.

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    Mais pourquoi est-il aussi méchant ? Voici la nouvelle production de Chris Meledandri, à qui l'on doit déjà la trilogie de L'âge de glace et Moi, moche et méchant devrait connaitre le même succès. Pas de héros à l'horizon place à un personnage peu sympathique aux premiers abords mais qui va dévoiler ses véritables sentiments au contact de ses 3 filles adoptives. Impossible de rester impassible au minois de la petite Agnès, aux bêtises des Minions et à Gru anti-héros par excellence, c'est un film d'animation qui plaira aux spectateurs de tout âge avec beaucoup de rires garantis. La version 3D n'est franchement pas indispensable en tout cas, voici un nouveau Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier le bisou du soir !

     

    Découvrez le film Dans la peau du héros !

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