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Les poings contre les murs

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Jusqu’à présent il n’avait fréquenté que les centres de détention pour mineurs mais à désormais 19 ans, notre pote Eric Love (Jack O'Connell) vient d’intégrer une prison. Il ne tarde pas à se fondre dans son nouvel environnement et agresse très rapidement un de ses codétenus ce qui lui vaut un petit séjour à l’isolement. Loin de se montrer docile, son comportement va attirer l’attention d’Oliver (Rupert Friend) qui aimerait l’intégrer dans son programme afin que le jeune homme apprenne à canaliser sa colère. Surtout si Eric se trouve dans cette prison, c’est qu’il souhaite revoir quelqu’un en particulier qui est enfermé depuis déjà de nombreuses années.

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Comme beaucoup de longs-métrages sur l’univers carcéral, tout commence avec l’arrivée d’un nouveau détenu et en l’occurrence on découvre Jack O'Connell (dont le visage me fait penser au catcheur John Cena mais c’est le geek en moi qui parle). Totalement imprégné par son personnage, l’acteur livre une grande performance qu’il faut également coupler à celle de Ben Mendelsohn. C’est d’ailleurs le lien particulier entre ces deux personnages qui donne une certaine singularité à Les poings contre les murs redonnant un peu d’intérêt à une histoire dans l’ensemble classique. Un film certes réussi mais qui manque tout de même d’un petit quelque chose pour provoquer un véritable impact dans nos esprits.

 

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