Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ciné2909 - Page 367

  • Nouvelle chance

    f5af8bbe1ccef13e2513c7a8fa2c941e.jpg

    Augustin (Jean-Chrétien Sibertin-Blanc) est un homme passionné, passionné par le monde enchanteur du théâtre. Loin de la médiatisation, les pièces qu’il monte ne suffisent pas à subvenir à ses obligations familiales et il doit donc travailler à temps partiel dans un grand hôtel parisien. Il est sur un nouveau projet, une adaptation de la correspondance de Madame du Deffand & Julie de Lespinasse. L’idée lui est venue après sa rencontre avec Odette (Danielle Darrieux) autrefois grande artiste à qui il va offrir une nouvelle chance de monter sur scène. Reste encore à trouver les autres comédiens à commencer par l’héroïne Julie de Lespinasse. Opportuniste, il saisit sa chance auprès de la célèbre Bettina Fleischer (Arielle Dombasle) qui fréquente la piscine de son hôtel.

    647d62ceccfcbce3ec4d64f03176e00a.jpg

    Voilà ce que l’on pourrait appeler un film à la française avec le coté péjoratif que cela connote. Sans faire dans la méchanceté gratuite, il faut dire que Nouvelle chance a un coté vieillot qui fait qu’on pourrait se demander s’il ne s’agit pas plutôt d’un téléfilm. Il n’apporte rien au patrimoine cinématographique français si ce n’est une ligne de plus sur le CV de chaque comédien. On retiendra quand même le coté candide et sympathique d’Augustin, un personnage récurrent utilisé pour la troisième fois par la réalisatrice Anne Fontaine mais ce qui est certain c’est que je ne donnerais pas une nouvelle chance à ce film !

  • Le prix à payer

    Richard (Gérard Lanvin) ?

     

    04d7526fa2a4e447b80f612da8d37a63.jpg

    d3d53744cc4bb1179648c9cf176aef6c.jpgQu’est ce que vous faites ? Venez donc déjeuner avec moi et s’il vous plait appelez-moi Jean-Pierre (Christian Clavier). Tenez, vous fumez ? Je vous offre un cigare. Ah vous avez remarqué tous ces vieux couples qui s’assoient à coté, comme s’ils ne pouvaient plus se voir !

     

    D’ailleurs, je dois vous confier quelque chose, moi-même avec Odile (Nathalie Baye), on traverse … comment dire une inexistence sexuelle. C’est simple, depuis qu’elle fait chambre à part, je ne la vois plus !

     

    c0d82dae532d4cf88595752c46334e5d.jpgEn tant qu’homme, vous savez que j’ai des envies. Je ne sais pas trop comment aborder ce problème, que me conseillez-vous ? Oui, je crois que vous avez raison, aux grands maux les grands remèdes ; désormais à la maison ce sera pas de cul, pas de fric !!

     

    En Résumé : Le pitch tient en quelques lignes mais Le prix à payer se révèle plus intéressant que prévu grâce notamment à la bonne entente des interprètes. Clavier perd de son accent de Jacquouille pour enfin nous faire profiter de son potentiel comique tandis que Nathalie Baye est délicieuse de charme. Le couple Lanvin/Pailhas est moins attachant mais l’ensemble fonctionne plutôt bien ce qui rend le film plutôt sympa. C’est sur que ce n’est pas la comédie du siècle mais j’ai passé un bon moment et c’est bien tout ce qui compte.

  • My Blueberry nights

    f475544006b360668953306cbf7088bc.jpg

    Derrière son comptoir, notre pote Jeremy (Jude Law) en a vu défiler des gens et aussi vu de nombreuses histoires de cœur se terminer (il n’y a qu’à voir sa collection de clés !). Quand Elizabeth (Norah Jones) vient chercher son petit ami, il se dit qu’il va encore être le témoin d’une nouvelle rupture mais ce sera aussi le commencement d’une belle histoire d’amour. Les soirées passent et Elizabeth vient chaque soir dévorer une part de tarte aux myrtilles, une habitude agréable s’installe entre eux mais tout bascule. Du jour au lendemain, elle décide de prendre la route et tout laisser derrière elle au plus grand désespoir de Jeremy tout en gardant le contact.

    6e04f37f34434dd32113009273f182fa.jpg

    Le génie de Wong Kar Wai a traversé les frontières et a séduit notamment les américains lui permettant de nous offrir son premier film en terre américaine. Toujours aussi soigneux dans sa réalisation, l’histoire est davantage centrée sur le personnage d’Elizabeth que sur le couple qu’elle forme avec Jude Law. My Blueberry nights s’apparente plus à une sorte de road-movie aux accents romantiques qu’à une véritable romance entre les 2 protagonistes. Première participation sur le grand écran pour la chanteuse Norah Jones qui s’en tire avec les honneurs en nous offrant une scène de baiser des plus romantiques. Un bon petit film mais ce n’est pas non plus le chef d’œuvre que l’on nous avait promis.

     

    Il faut le voir pour : Prendre de la tarte aux myrtilles en dessert.

  • Le fils de Chucky

     

    45cc79a07fe2a75c7946b61c4d3ef184.jpg

    Tout débute en Grande Bretagne, à Londres où nous retrouvons Glen, une poupée animée devenue une véritable attraction. Malheureusement, elle est exploitée par un homme mal intentionné qui fait croire à son public qu’il manie la ventriloquie. Enfermé dans sa cage, notre ami n’a guère l’occasion de se changer les esprits alors qu’il pense avoir été abandonné par ses parents à sa naissance. Alors qu’il regarde la télé, il tombe sur le reportage d’un film en préparation du coté d’Hollywood reprenant les aventures de Chucky, la poupée maléfique. Dès lors, il comprend que les héros de ce film que sont Chucky & sa compagne Tiffany ne sont autres que les parents qu’ils croyaient disparus !

    298bf6121ae8a8c9927347d956930774.jpg

    Bien plus qu’un film, Chucky c’est avant tout une saga cinématographique qui a débuté en 1989 avec Jeu d’enfant et qui a connu de nombreuses séquelles. A la base, le personnage était donc un véritable psychopathe aux intentions peu catholiques ressuscité dans le corps d’une poupée qui ferait frémir n’importe quel enfant. 5ème épisode de la licence, Le fils de Chucky déborde de situations ridicules et c’est bien ça qui nous fait tant rire car si vous vous attendez à avoir des frissons, vous pouvez passer votre chemin. Bien entendu, le réalisateur a gardé quelques scènes trashs où le sang coule à flot mais l’on sent tellement les trucages que ça n’a guère d’emprise sur le spectateur mais alimentant la dérision du film (Il n’y a qu’à voir l’affiche qui fait référence à Shinning).

     

    Découvre le film Dans la peau du héros ! 

  • Il était une fois

    096943703f22036ee014b6c4e7ca14fe.jpg

    Il était une fois dans le magnifique royaume d’Andalasia vivait Giselle (Amy Adams), une jeune femme qui rêvait de trouver son prince charmant. L’heureux élu se nomme Edouard (James Marsden) et lorsque leurs yeux se sont croisés, ce fut le coup de foudre et comme dans tous les contes de fée ils allaient vivre heureux et avoir beaucoup d’enfants. Mais cette rencontre n’est pas du gout de la méchante reine Narissa (Susan Sarandon), belle-mère du prince qui craint qu’on ne lui dérobe son royaume. Pour se débarrasser de cette jeune prétendante, elle décide ainsi de l’envoyer dans un monde où ils ne pourront jamais être heureux, un monde cruel : notre réalité.

    5293382162d70c837e3e9d2d1367e256.jpg

    A l’approche du mois de décembre, c’est désormais traditionnel une production Disney vient toujours accompagner les fêtes de fin d’année. S’il est réservé avant tout aux enfants, Il était une fois séduit grâce à un ingénieux scénario agrémenté de très bonnes idées qui feront également rire les petits comme les plus grands. Patrick Dempsey lui revient après avoir conquis les cœurs des jeunes femmes grâce au succès de la série Grey’s anatomy dans un rôle assez quelconque mais qui ajoute une ligne sur son joli CV. Voilà donc le film indispensable pour sortir au cinéma avec vos enfants.

     

    Il faut le voir pour : Recycler vos rideaux pour en faire de jolis robes.

  • Saw IV

    20e42f6adc506e6412e7951ffaaa5445.jpg

    C’est désormais une certitude, John Kramer (Tobin Bell) est mort ! Voilà une nouvelle qui devrait pouvoir nous rassurer mais c’est bien mal connaitre ce génie du meurtre car avec sa disparition le jeu ne fait que commencer ! C’est l’inspecteur Rigg (Lyrig Bent) qui va ainsi devenir sa nouvelle marionnette et devoir surmonter bon nombre d’épreuves en laissant derrière lui des victimes pas si innocentes que ça. Il a donc 90 minutes pour sauver l’inspecteur Eric Matthews (Donnie Wahlberg) que tout le monde croyait mort mais arrivera t-il à temps et surtout n’est ce pas là un nouveau piège concocté par le plus machiavélique des tueurs ?

    e5ba3efb4817d137574d1db3df02497b.jpg

    Je n’ai jamais été un grand fan de cette saga mais là je dois dire que ce nouvel épisode s’en sort mieux que je ne l’aurais pensé avec enfin un semblant de scénario. En fait, si dans le déroulement des choses on est loin de l’innovation, Saw IV puise dans la mythologie de la saga pour se construire et s’imposer comme un volet indispensable pour tout fan. On lève notamment le voile sur les origines de Kramer et surtout on a su éviter la surenchère des scènes gores qui avait plongé le dernier volet dans les abysses de la médiocrité. Les fans vont se jeter dessus et seront également ravis d’apprendre qu’on annonce déjà d’autres suites.

     

    Il faut le voir pour : Assister à une autopsie plus vraie que nature.

     

    En savoir plus sur Saw ?

    En savoir plus sur Saw II ?

    En savoir plus sur Saw III ?

    En savoir plus sur Saw V ?

  • Les deux mondes

    276ae9096dd3826781866f26f00dfaf6.jpg

    S’il n’a pas une vie très excitante, notre pote Rémy Bassano (Benoit Poelvoorde) a de quoi être heureux puisqu’il a une femme magnifique et 2 enfants non moins merveilleux. Ce petit restaurateur d’œuvres d’art est à priori quelqu’un d’ordinaire mais c’est un tout autre destin qui l’attend ! Dans un monde parallèle, le tyran Zotan (Augustin Legrand) martyrise les peuples et prend un malin plaisir à dévorer les villageois espérant ainsi retrouver sa vue. La prophétie dit qu’un héros se dressera sur son chemin et les sauvera de ce maléfice et ce sauveur n’est autre que …Rémy ! Pour ce dernier, les ennuis ne font que commencer car il va devoir rejoindre bien malgré lui ce monde parallèle.

    b106a887a25ff94c1f21d8a7ea5183e2.jpg

    Depuis le grand succès de C’est arrivé près de chez vous, le belge Benoit Poelvoorde s’est imposé comme l’une des grandes figures comiques du cinéma français. Une pléthore de comédies légères ont fleuri et Les deux mondes vient s’ajouter à une liste déjà bien longue. Effectivement, la dernière réalisation de Daniel Cohen manque de souffle et surtout d’idées mais se voit sauvé par le talent de Poelvoorde qui réussit à nous arracher quelques sourires à défaut de nous faire vraiment marrer. Un film à voir entre potes mais plutôt dans le cadre d’une soirée DVD que cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais faire de blagues avec ceux qui n’ont pas leur bac.

  • Katie Holmes

    57b7d001d056ba5a9d01c7b0505125bb.jpg
     

    La belle Katherine Noelle Holmes est née quelques jours avant les fêtes de Noël de l’année 1978, le 18 Décembre dans la ville de Toledo, dans l’Ohio (aux Etats-Unis bien entendu, inutile de vous le préciser ah ba si c’est fait !). Son père, Marty exerce le métier d’avocat et sa mère Kathleen est décoratrice d’intérieur.

    Lire la suite

  • La légende de Beowulf

    dd6b0aedb80bc03145851ddd5a8a87ed.jpg

    En des temps légendaires, au Danemark. Le roi Hrothgar (Anthony Hopkins) festoyait gaiement avec tous ses hommes, l’hydromel coulait à flot et la nourriture ne manquait pas lorsque la catastrophe est arrivée. Le monstre nommé Grendel (Crispin Glover) a fait irruption dans cette salle perturbé par le bruit incessant et tua tous ceux qui se sont mis en travers de son chemin jusqu’à ce qu’il se retrouve devant le roi. Sans que l’on sache pourquoi, il fut épargné mais cette menace doit être neutralisée et c’est pourquoi le monarque fit appel au guerrier Beowulf (Ray Winstone) dont les exploits traversent les frontières.

    3003c251c21a61df9209df1de7e0b508.jpg

    La performance capture est un procédé d’animation qui permet de capter tous les faits et gestes, notamment les expressions du visage pour les modéliser en images numériques. Si vous avez déjà vu Le pôle express, vous savez de quoi je parle et c’est d’ailleurs le même réalisateur que l’on retrouve en la personne de Robert Zemeckis. A part cette particularité technique qui permet des plans uniques et donc des scènes d’action plus impressionnantes, La légende de Beowulf n’a pas vraiment de quoi nous laisser un grand souvenir. L’histoire puise dans la mythologie anglo-saxonne mais on s’en lasse rapidement tout comme des exploits technologiques qui ne justifient pas de payer 9 euros pour voir le film.

     

    Il faut le voir pour : Toujours se mettre à poil pour combattre les monstres.
  • Le célibataire

     

    b951f157761bcf4719a78511aa9f129f.jpg

    S’il devait être comparé à un animal, ce serait à un jaguar ! Notre pote Jimmie (Chris O’Donnell) est un célibataire épris de liberté et il entend bien la conserver. Pourtant, quand il rencontre la belle Anne (Renée Zellweger), il ne voit rien venir mais c’est un véritable coup de foudre et très vite 3 années passent et leur amour est intact. Pendant ce temps, dans l’entourage de Jimmie, les mariages se multiplient et à force il se retrouve être le seul à ne pas avoir encore sauté le pas mais cela ne saurait tarder puisque Anne vient d’attraper le bouquet de la mariée. Convaincu qu’il est temps pour son couple de passer à autre chose, il s’apprête à la demander en mariage au Starlight Room mais est-il vraiment prêt ?

    f0e5a01a33ef06bc7c04b527ac9c312e.jpg

    Une comédie qui date maintenant et qui n’est franchement pas incontournable car il n’a rien de transcendant et encore moins de marrant. Mettant en vedette Chris O’Donnell & Renée Zellweger, les blagues se font très très rares et à peine sourit-on face à la déferlante de mariées pour un dénouement dans la veine des belles histoires d’amour. Pour les fans de la chanteuse Mariah Carey (comme ma pote Samia), vous pourrez découvrir sa première apparition au cinéma aussi anecdotique que sa place dans le cinéma aujourd’hui. Le célibataire n’est donc pas un film indispensable sauf si vous êtes justement seul et que vous avez du temps à perdre.

     

    Découvre le film Dans la peau du personnage