Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Daniel Cohen

  • Comme un chef

    star 02.jpg

    01.jpg

    Parce que peu de gens comprennent la conception de la cuisine qu’a notre pote Jacky Bonnot (Michael Youn), celui-ci n’arrive pas à garder un job sur le long-terme. Pourtant, il va devoir faire preuve de plus de responsabilités puisqu’il va bientôt être père et qu’il a promis à sa compagne Béatrice (Raphaëlle Agogué) de ramener de l’argent à la maison. Seulement quand Alexandre Lagarde (Jean Reno), chef réputé du 3 étoiles le Cargo Lagarde, lui demande de devenir son second de cuisine, Jacky ne peut pas laisser une telle opportunité lui échapper. Sa venue va être une délivrance pour Alexandre car il est sur le point de recevoir la visite de critiques et une de ses étoiles est gravement menacée, s’il la perd il perd aussi la tête du restaurant.

    aff.jpg

    Avec toutes ces émissions de cuisine qui émulsionnent actuellement le petit écran, il n’est pas vraiment surprenant que le cinéma veuille profiter de ce phénomène pour le mettre à sa sauce. Au menu ; une comédie à base d’un duo Reno / Youn hélas l’appétit des spectateurs ne risque pas d’être rassasié au vu des maigres portions de rires proposées. Comme un chef ne semble pas avoir trouvé la recette du succès puisque l’ensemble est assez plat et on n’a même pas la consolation d’offrir du plaisir à nos yeux ! Que ceux qui espéraient saliver devant de somptueux plats s’essuient la bouche car il n’y a rien de tout ça. Un film plus proche du plateau repas insipide que de la création gastronomique.

     

    Il faut le voir pour : Parler aux légumes que vous cuisinez !

  • Les deux mondes

    Bonjour…euh où sommes-nous ?

    fab7d44cae855a5957f28e69b81b0db3.jpg
     

    f3d506d383d07aec9bdee71f0d3ba829.jpgJe sais que vous allez me prendre pour un fou mais il y a encore quelques secondes, j’étais dans un autre monde où j’étais traité comme un héros. Au début je ne comprenais rien à ce qu’il me disait et ils m’ont fait avaler une pilule et d’un coup j’ai tout compris.


    Ah excusez-moi, je me présente Rémy Bassano (Benoit Poelvoorde), je suis restaurateur d’arts et ça fait quelques temps qu’il m’arrive des choses bizarres. C’est comme si j’étais aspiré par le sol et sans comprendre comment je me retrouve propulsé dans leur monde.

     

    50c6a173066d63e4da60d644ec6a8a9d.jpgDit comme ça, je peux vous paraitre insensé mais je vous jure que c’est la stricte vérité ! Une fois là-bas, ils m’ont appris que j’étais le héros qu’ils attendaient et que je devais combattre un certain Zotan (Augustin Legrand), je sais pas trop dans quoi je viens de m’embarquer.

     

     

    En savoir plus sur Les deux mondes

  • Les deux mondes

    276ae9096dd3826781866f26f00dfaf6.jpg

    S’il n’a pas une vie très excitante, notre pote Rémy Bassano (Benoit Poelvoorde) a de quoi être heureux puisqu’il a une femme magnifique et 2 enfants non moins merveilleux. Ce petit restaurateur d’œuvres d’art est à priori quelqu’un d’ordinaire mais c’est un tout autre destin qui l’attend ! Dans un monde parallèle, le tyran Zotan (Augustin Legrand) martyrise les peuples et prend un malin plaisir à dévorer les villageois espérant ainsi retrouver sa vue. La prophétie dit qu’un héros se dressera sur son chemin et les sauvera de ce maléfice et ce sauveur n’est autre que …Rémy ! Pour ce dernier, les ennuis ne font que commencer car il va devoir rejoindre bien malgré lui ce monde parallèle.

    b106a887a25ff94c1f21d8a7ea5183e2.jpg

    Depuis le grand succès de C’est arrivé près de chez vous, le belge Benoit Poelvoorde s’est imposé comme l’une des grandes figures comiques du cinéma français. Une pléthore de comédies légères ont fleuri et Les deux mondes vient s’ajouter à une liste déjà bien longue. Effectivement, la dernière réalisation de Daniel Cohen manque de souffle et surtout d’idées mais se voit sauvé par le talent de Poelvoorde qui réussit à nous arracher quelques sourires à défaut de nous faire vraiment marrer. Un film à voir entre potes mais plutôt dans le cadre d’une soirée DVD que cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais faire de blagues avec ceux qui n’ont pas leur bac.