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Renée Zellweger

  • Bridget Jones : L’âge de raison

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    Elle n’y croyait plus et pourtant c’est bien réel ; notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger) a un petit-ami ! Elle ne peut s’empêcher de regarder Mark (Colin Firth) dormir et puis vous saviez qu’il était avocat ? Le couple semblait donc filer le parfait amour mais c’est souvent quand tout est trop beau qu’une ombre au tableau apparait. Bridget garde un œil très attentif sur Rebecca (Jacinda Barrett), la secrétaire de Mark qu’elle trouve beaucoup trop proche et il n’en faut pas plus pour la rendre jalouse. Leur relation pourra-t-elle surmonter cette épreuve tout en sachant que le Dom Juan Daniel Cleaver (Hugh Grant) n’est pas bien loin et qu’il n’hésiterait pas à profiter de la situation.

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    Il aurait été dommage qu’on ne profite pas à fond du succès de Bridget Jones ; on rempile donc pour les nouvelles mésaventures de celle qui fut la plus célèbre des célibataires. Zellweger, Firth & Grant sont toujours présents et si auparavant la belle blonde se posait des questions sur son célibat, c’est désormais sa vie de couple qui la tracasse. Pas certain que le sujet passionne davantage la gente masculine. Si les fans les plus assidus pourront se satisfaire de la revoir, il faut quand même avouer que ce Bridget Jones : L’âge de raison est bien poussif ; l’illustration parfaite étant cette séquence de la prison thaïlandaise. On dit qu’une suite déçoit souvent et là on ne pourra pas dire le contraire !

     

    En savoir plus sur Le journal de Bridget Jones ?

  • Le journal de Bridget Jones

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    La trentaine passée, quelques kilos en trop et toujours célibataire ; elle n’est pas loin de la dépression notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger). Comme si ça ne suffisait pas, sa mère tente bien maladroitement de la caser avec Mark Darcy (Colin Firth), avocat fraichement divorcé. Entre les deux, le coup de foudre a plutôt des allures de coup de froid et la jeune femme trouvera son bonheur dans les bras de Daniel Cleaver (Hugh Grant), son boss. Si Bridget semble s’épanouir sentimentalement parlant, on ne peut pas dire que son nouveau compagnon soit un modèle de vertu et elle va l’apprendre de façon plutôt brutale. Et si finalement Mark n’était pas le goujat qu’elle croyait ?

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    Grand succès littéraire, on doit Le journal de Bridget Jones à l’auteure Helen Fielding et les fans du roman attendaient de pied ferme cette adaptation sur le grand écran. Evidemment, tout le monde ne sera pas d’accord mais un spectateur lambda qui n’a jamais lu le bouquin (disons par exemple moi !) trouvera que Renée Zellweger s’en tire avec les honneurs en incarnant cette "héroïne" des temps modernes. Entourée du gendre idéal Colin Firth et du playboy Hugh Grant, ce trio sympathique fait mieux passer la pilule d’un scénario sans génie. Destiné avant tout à un public féminin, les mecs pourront toujours apprendre quelques trucs sur la gente féminine comme la fonctionnalité de la culotte de grand-mère.

  • Jeux de dupes

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    Lorsqu’on évoque le circuit professionnel du football américain en 1925, on est bien loin du spectaculaire business qu’il suscite aujourd’hui. Les joueurs sont des travailleurs, des pères de famille qui s’adonnent avant tout à leur passion mais qui sont loin de rouler sur l’or et encore moins d’attirer les foules. Dodge Connolly (George Clooney) fait parti des Bulldogs et son équipe est sur le point de disparaitre car les finances fondent comme neige au soleil. C’est alors qu’il a une idée de génie ; recruter Carter Rutherford (John Krasinski), le plus grand espoir du football universitaire et qui plus est véritable héros national.

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    C’est qu’il commence à y prendre gout le bougre, pour la troisième fois George Clooney endosse la caméra avec Jeux de dupes. Il s’intéresse ici à l’âge d’or du football américain, une période qui n’a rien à voir avec la machine ultra-médiatisée d’aujourd’hui. Pas sur d’ailleurs que le scénario puisse passionner les foule aussi on fera avec une comédie menée avec virtuosité par le duo George Clooney / Renée Zellweger. Le ton est léger et on s’attache vite au personnage de Dodge Connolly mais encore faut-il entrer dans l’ambiance particulière du film.

     

    Il faut le voir pour : Mieux comprendre pourquoi les joueurs de football américain portent des casques.

  • Le célibataire

     

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    S’il devait être comparé à un animal, ce serait à un jaguar ! Notre pote Jimmie (Chris O’Donnell) est un célibataire épris de liberté et il entend bien la conserver. Pourtant, quand il rencontre la belle Anne (Renée Zellweger), il ne voit rien venir mais c’est un véritable coup de foudre et très vite 3 années passent et leur amour est intact. Pendant ce temps, dans l’entourage de Jimmie, les mariages se multiplient et à force il se retrouve être le seul à ne pas avoir encore sauté le pas mais cela ne saurait tarder puisque Anne vient d’attraper le bouquet de la mariée. Convaincu qu’il est temps pour son couple de passer à autre chose, il s’apprête à la demander en mariage au Starlight Room mais est-il vraiment prêt ?

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    Une comédie qui date maintenant et qui n’est franchement pas incontournable car il n’a rien de transcendant et encore moins de marrant. Mettant en vedette Chris O’Donnell & Renée Zellweger, les blagues se font très très rares et à peine sourit-on face à la déferlante de mariées pour un dénouement dans la veine des belles histoires d’amour. Pour les fans de la chanteuse Mariah Carey (comme ma pote Samia), vous pourrez découvrir sa première apparition au cinéma aussi anecdotique que sa place dans le cinéma aujourd’hui. Le célibataire n’est donc pas un film indispensable sauf si vous êtes justement seul et que vous avez du temps à perdre.

     

    Découvre le film Dans la peau du personnage

  • Jerry Maguire - Jerry Maguire

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    Jerry Maguire : Show me the money ! (Montre-moi le blé!)

  • Renée Zellweger

     
    Renée Kathleen Zellweger a vu le jour le 25 Avril 1969 (une année érotique d’après des sources bien informées) dans la ville américaine de Katy, au Texas.  

     

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