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Ciné2909 - Page 304

  • Miss Campus

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    C’est une page qui se tourne pour notre pote Sydney White (Amanda Bynes) qui va faire ses premiers pas à l’université. Un moment qu’elle aurait voulu partager avec sa mère disparue il y a maintenant 9 ans et dans un sens elle va l’accompagner. Celle-ci était autrefois membre de la confrérie des Kappa Phi Nu faisant de Sydney une héritière à part entière. La jeune femme n’a pas de réelles affinités avec ce genre de tradition mais tient à rendre hommage à sa mère. Très vite elle se met à dos Rachel (Sara Paxton), la présidente de la confrérie qui voit en cette nouvelle venue une rivale inattendue.

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    Si vous êtes friands de la culture américaine et notamment du fonctionnement de leur système scolaire, voilà un film fait pour vous ! Plongée au cœur de l’univers si particulier des confréries, Miss Campus est une gentille petite comédie qu’on prend presque plaisir à regarder. Evidemment, les clichés pullulent avec la gentille brune un peu naïve qui va séduire le beau gosse du coin et la méchante blonde à l’ego surdimensionné. Bref, ce n’est pas un film indispensable mais cela suffira pour ceux qui veulent se détendre un peu et se changer les idées.

  • Des places de ciné à gagner !

    Bonjour !!

     

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    Grande première pour le blog Ciné2909 car je vous propose le tout premier concours avec comme lots des places de cinéma ! Pour participer, il vous suffit de répondre aux questions suivantes.

    A l'heure où vous lisez ces lignes, il n'y a qu'un seul participant pour le moment et donc si personne d'autre tente sa chance, il remportera les 3 lots de 2 places; avis aux amateurs !

     

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  • Anges et démons

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    Aujourd’hui les yeux du monde sont dressés vers le Vatican où les fidèles affluent pour rendre un dernier hommage au Pape qui vient de s’éteindre. Sous le poids de la tristesse, l’Eglise est encore sous le choc de cette disparition qu’un autre drame surgit. Les 4 Preferetti, les cardinaux parmi lesquels sera désigné le nouveau Pape ont été enlevé, un acte revendiqué par un symbole associé aux Illuminati. Cette organisation secrète intéresse d’ailleurs au plus haut point le Professeur Robert Langdon (Tom Hanks) qui va être chargé de retrouver la trace des cardinaux.

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    Au vu du succès plus que mitigé de Da Vinci Code, on se demandait ce qu’il allait en être avec Anges et démons. Rappelons pour les Inuits qu’il s’agit de l’adaptation du célèbre roman de Dan Brown toujours confié aux bons soins de Ron Howard et avec l’interprétation de Tom Hanks dans la peau du désormais célèbre Pr Langdon. Mêlé d’un soupçon de science-fiction, on nous convie cette fois en plein cœur de l’Italie où l’on court dans tous les sens pour finalement arriver toujours en retard. Pas très prenant au niveau de l’intrigue, on a l’impression de voir un long et mauvais épisode de 24 se déroulant dans les ordres religieux. Un film qui ne vous marquera pas … au fer rouge !

     

    Il faut le voir pour : Arracher les pages des ouvrages historiques, ça vous économisera du temps !


    En savoir plus sur Da Vinci Code ?

  • Le secret de Moonacre

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    Alors qu’elle vient d’assister aux funérailles de son père, la pauvre Maria Merryweather (Dakota Blue Richards) doit quitter sa maison pour s’installer dans la demeure de son oncle Sir Benjamin (Ioan Gruffudd). Une pénible épreuve qu’elle traverse avec le soutien de sa nounou Miss Heliotrope (Juliet Stevenson) qui est venue l’accompagner dans cette nouvelle vie. L’ambiance est assez froide entre l’oncle et la nièce aussi cette dernière se plonge dans l’ouvrage que lui a légué son père, le seul souvenir qu’il lui a laissé. Elle y découvre la légende d’une princesse, une histoire beaucoup plus proche de la réalité qu’elle ne le pense !

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    Malgré les apparitions furtives d’une licorne, d’un lion noir ou la présence d’une princesse possédant un collier aux pouvoirs magiques ; Le secret de Moonacre ne fait pas longtemps illusion. Il faut dire qu’on s’attendait à plonger dans un univers façon Le monde de Narnia et qu’on se retrouve plutôt devant un mauvais téléfilm de Walt Disney. Les enfants pourront au moins se consoler avec les personnages de Miss Heliotrope & Marmaduke Scarlet qui viennent apporter un peu d’humour potache, maigre lot de consolation. Le roman d’Elizabeth Goudge aurait du mieux fait de ne rester qu’une œuvre littéraire car au cinéma il ne fait pas le poids face aux films du même genre.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas inviter de femmes si vous voulez profiter du silence.

  • Mutants

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    L’épidémie s’est propagée en un clin d’œil, chaque victime se voit transformé en un monstre affamé de chair humaine. En tant que médecin urgentiste, Sonia (Hélène De Fougerolles) a été appelée à intervenir pour soigner les personnes blessés mais comme tout le monde elle est dépassée par les évènements. Alors qu’elle faisait route avec son compagnon Marco (Francis Renaud) vers Noé, une base militaire où ils seraient à l’abri ; ils sont forcés de se réfugier dans une bâtisse laissée à l’abandon. Marco lui est mal en point car il a été infecté et ce n’est plus qu’une question de temps avant qu’il ne se transforme à son tour.

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    Parce que c’est un genre sous-exploité dans le paysage cinématographique français, Mutants dispose de bons arguments pour attiser notre curiosité. On retiendra surtout des zombies-mutants sacrément bien fichu mais qu’on n’a malheureusement pas le temps d’apprécier. Sous couvert de vouloir rendre le film vivant, David Morley agite trop sa caméra et finit par nous donner le mal de mer. Le gros point faible reste toutefois le casting peu convaincant avec une Hélène De Fougerolles pas top dans son rôle de survivante et le ponpon revenant à Nicolas Briançon qui réunit tous les stéréotypes du bad guy à deux francs six sous. Décevant et rarement effrayant, ce n’est pas encore aujourd’hui qu’on fera de bons films de zombies.

     

    Il faut le voir pour : Garder un œil sur ceux qui perdent leurs cheveux, ils ont peut-être été infectés !

  • Toute l’histoire de mes échecs sexuels

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    Notre pote Chris Waitt vient de se faire larguer, encore une fois ! Après ce nouvel échec sentimental, il s’est posé une question essentielle : pourquoi diable toutes les filles ont, à un moment donné, voulu rompre avec lui ? C’est le point de départ de son documentaire et pour qu’à l’avenir il ne connaisse plus pareille mésaventure, Chris se met en tête de renouer contact avec ses ex et de les interviewer histoire d’en savoir plus. A croire qu’il n’a pas laissé que de bons souvenirs, aucune n’a accepté sa proposition jusqu’à ce qu’il obtienne l’aide imprévue d’une précieuse alliée ; sa maman.

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    Vrai ou faux documentaire c’est la question que l’on se pose tout au long du film car le portrait de Chris est tellement saisissant que certains mecs risquent de se reconnaitre ! Fainéant, toujours en retard et peu soigneux, le héros de Toute l’histoire de mes échecs sexuels fait souvent rire mais on finit quand même par tourner en rond. Pour combler le vide, notre sujet d’expérimentation s’essaie alors à des défis façon Jackass et on le voit ainsi expérimenter le sadomasochisme puis se muer en prédateur sexuel après avoir ingurgité trop de viagra. Sur la durée, on finit par se lasser de ces pitreries et on n’a qu’une seule envie…de le larguer !

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’embrasser la mère de votre copine, ça peut nuire à votre relation !

  • Surf Ninjas

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    Johnny & Adam (Ernie Reyes Jr. & Nicolas Cowan) sont 2 frères qui ne pensent qu’à une chose : passer leurs journées sur leurs planches de surf. Un soir, alors qu’ils sont réunis dans le restaurant de Mac (John Karlen), leur père adoptif ils reçoivent la visite de Zatch (Ernie Reyes Sr.) avant d’être victime d’une attaque de ninjas. Alors que Mac est fait prisonnier, le mystérieux Zatch leur apprend la vérité sur leurs véritables origines ; ils sont issus d’une longue lignée royale et sont les souverains d’une ile nommée Patu San.

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    Si vous avez moins de 09 ans et/ou que votre quotient intellectuel plafonne à 29, alors oui vous pouvez vous réjouir à l’idée de découvrir Surf Ninjas. Titre on ne peut plus évocateur sur la qualité du film, on vise clairement un public enfantin avec de jeunes héros ; une histoire à l’emporte-pièce et quelques scènes d’action qui ressemblent davantage à de belles chorégraphies qu’à autre chose. Ajoutez à cela un méchant légèrement gaffeur incarné par Leslie Nielsen et vous avez là un beau navet idéal pour se marrer entre potes d’enfance.

  • Star Trek

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    Sans le sacrifice de son père, James T. Kirk (Chris Pine) et sa mère ainsi que plus de 800 autres personnes ne seraient plus de ce monde aujourd’hui. Le capitaine Christopher Pike (Bruce Greenwood) a décelé chez ce jeune homme un potentiel qui ne demande qu’à être exploité et c’est pourquoi il l’a convaincu de rejoindre la flotte de Starfleet. En quelques années, James devient un élément important mais son arrogance n’est pas du gout de tout le monde comme lorsqu’il se permet de pirater le programme mis en place par Spock (Zachary Quinto). Alors que le conseil se réunit pour décider de son sort, une alerte provenant de la planète Vulcain demande l’aide de la Fédération.

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    Star Trek c’est bien sur avant tout la série crée par Gene Roddenberry et apparue dans les années 1960 et qui a marqué l’esprit de millions de spectateurs. Les aventures de l’Enterprise se sont perpétués avec plusieurs films mais réservés avant tout aux grands fans de la série. J.J. Abrams reprend tout à zéro et permet ainsi aux néophytes de se projeter pleinement dans cette aventure avec quelques notes d’humour bien placés. De l’action, du spectacle et un sacré lifting des personnages qui redonne de l’éclat à la série ; une réussite totale et on n’attend plus qu’une chose : l’annonce d’un nouvel épisode. En attendant, c’est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Réutiliser le bon vieux salut Vulcain !

  • Je l’aimais

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    Elle se sent complètement dévastée, Chloé (Florence Loiret-Caille) ne s’attendait pas à voir sa famille se désagréger de la sorte après 7 ans de mariage. La faute à un mari infidèle qui entretient une liaison depuis 1 an et c’est encore sous le choc de cette nouvelle qu’elle est prise en main par son beau-père Pierre (Daniel Auteuil). Paradoxalement, entre eux deux il n’y a jamais vraiment eu de rapports ; Chloé s’est toujours considérée comme une étrangère mais c’est cette séparation qui va la rapprocher de Pierre. Le soir venu, au coin du feu, celui-ci se confie et livre un lourd secret ; une histoire d’amour, une passion pour la femme de sa vie alors qu’il était déjà marié.

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    Au départ de ce film, il y a le roman d’Anna Gavalda qui fut également l’auteure d’Ensemble c’est tout lui adapté également au cinéma. Je l’aimais fait preuve d’un ton plus dramatique et cette romance est d’autant plus belle que Zabou Breitman nous gratifie d’une réalisation intéressante. Magnifique idée que cette histoire présentée à partir des souvenirs de Pierre et où le passé s’entremêle parfois au présent. Quelques fausses notes dans l’interprétation et le peu d’alchimie entre les 2 acteurs font qu’on est pas totalement immergé dans cet amour impossible.

     

    Il faut le voir pour : Bien réfléchir avant de quitter votre femme car il faut prendre en compte la voiture, la maison au bord de la mer ...

  • Halloween

     

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    Un père bon à rien, une mère obligée de jouer les strip-teaseuses pour nourrir sa famille et une sœur en pleine crise ; l’enfance de Michael Myers (Daeg Faerch/Tyler Mane) n’a pas été de tout repos. Perturbé, il a commencé à exprimer sa haine en tuant des animaux avant de complètement perdre la tête en faisant de sa maison une véritable boucherie le soir d’Halloween. Pris en main par le Dr Loomis (Malcolm McDowell) ; Michael est alors interné en hôpital psychiatrique où il restera enfermé de longues années. Lorsqu’il a commencé à perdre la tete, il vouait déjà une obsession pour les masques et avec les années cela ne s’est pas arrangé !

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    Avec Halloween, ce sont des souvenirs d’enfance qui rejaillissent et comme on dit que ce sont encore dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes ; le mythe de Michael Myers renait de ses cendres sous la houlette de Rob Zombie. Modeste dans sa réalisation comme dans son casting, l’auteur de La maison des 1000 morts n’en offre pas moins un prequel réussi. Non pas que ce volet révolutionne la saga mais il redore un peu le blason du légendaire tueur au masque après cette période slash-movie post Scream qu’il avait connu. Les initiés apprécieront, pour les autres c’est l’occasion de découvrir une saga historique du cinéma.