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john goodman - Page 2

  • L’étrange pouvoir de Norman

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    Si vous le croisez dans la rue, vous seriez peut-être surpris en apercevant Norman qui a tendance à parler tout seul. En fait, ce que beaucoup ont du mal à croire c’est que ce jeune garçon a un pouvoir très particulier ; celui de voir les morts. Que ce soit à l’école ou au sein de sa propre famille, personne ne le prend au sérieux mis à part son nouveau pote d’enfance Neil. Depuis peu, Norman a des visions inquiétantes et il n’est pas plus rassuré par ce que lui raconte son oncle Mr. Prenderghast, un marginal qui connait les capacités de son neveu. Surtout il vient l’avertir de la malédiction de la sorcière dont le fantôme va réveiller les morts et il n’y a que Norman qui pourra empêcher cela.

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    Même s’il s’agit d’un film d’animation, L’étrange pouvoir de Norman n’est pas vraiment à conseiller aux plus jeunes qui risquent d’être trop impressionnés par cet univers morbide. A se demander si les studios Laïka Entertainment ne vont pas en faire leur carte de visite puisqu’ils nous avaient déjà proposé cela avec Coraline. Esprits, zombies et sorcellerie sont ainsi de la partie avec également quelques références au cinéma d’horreur-épouvante ; tout cela est bien amusant même si cela met un peu de temps à démarrer. Heureusement, la suite s’avère plus animée et confirme que l’animation en stop-motion a encore de l’avenir devant lui !

     

    Il faut le voir pour : Demander à la maison s’il y a des DVD de gymnastique !

  • Extrêmement fort et incroyablement près

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    La complicité entre Thomas Schell (Tom Hanks) et son fils Oskar (Thomas Horn) est une évidence pour tous ceux qui les ont côtoyés. La peine en a été que plus douloureuse pour le jeune garçon lorsque son père est mort ; celui-ci était en effet présent dans les tours du World Trade Center lors des dramatiques évènements du 11 Septembre 2001. Un an après, Oskar n’arrive toujours pas à accepter cette perte et jusqu’à présent il n’osait même pas pénétrer dans la chambre de ses parents. Lorsqu’il réussit enfin à passer ce cap, il trouve une mystérieuse clé caché au fond d’un vase bleu ; s’agirait-il d’une ultime énigme laissée par Thomas ?

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    A l’image de son titre, Extrêmement fort et incroyablement près n’est pas vraiment un film comme les autres ! C’est une grande aventure qui attend le jeune et formidable Thomas Horn, véritable révélation de ce film mais qui manque sur certains passages de justesse. Reste ensuite une histoire touchante d’un fils qui refuse de d’accepter la disparition de son père et qui se rattache à une dernière étincelle pour le garder à ses cotés avec en toile de fond le drame du 11 Septembre. L’émotion et le rire sont au rendez-vous malgré une intrigue qui finit par tourner en rond, cette adaptation du roman de Jonathan Safran Foer s’avère finalement moins extraordinaire que promis.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de filtrer vos appels et décrocher votre téléphone quand il sonne !

  • The artist

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    1927. George Valentine (Jean Dujardin) est la star du cinéma actuel, chacune de ses apparitions fait le bonheur de milliers de spectateurs et bien entendu, les femmes ne sont pas insensibles à son charme. Parmi celles-ci se trouve Peppy Miller (Bérénice Bejo) qui va particulièrement être remarquée au point de faire la une des journaux en compagnie de son idole. Elle va par la suite tenter sa chance pour réaliser un rêve : faire du cinéma et c’est d’abord grâce à ses talents de danseuse qu’elle se fait engager et qu’elle retrouve George sur les plateaux de tournage. Alors que le 7ème art aurait pu réunir un nouveau couple, l’arrivée du cinéma parlant va totalement redéfinir leurs carrières respectives.

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    C’était sans contestations possibles l’évènement cinématographique français de cette rentrée avec un Jean Dujardin récompensé par la Palme du meilleur interprète masculin lors du Festival de Cannes 2011. On ne peut que saluer les risques pris par Michel Hazanavicius d’avoir osé s’atteler à un tel projet à notre époque mais je dois dire que The artist n’a pas su me convaincre totalement. Oui, la performance de Dujardin est de haut vol et il forme avec Bérénice Bejo un couple séduisant mais l’histoire de George Valentine n’a pas su m’émouvoir complètement. Original et unique par sa forme, on aurait bien aimé que ce soit également le cas sur le fonds.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de parler quand vous entrez dans une salle de ciné car là ça va s’entendre !

  • La famille Pierrafeu

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    Lui qui pensait avoir raté le test, ça a été une véritable surprise lorsque Fred Pierrafeu (John Goodman) a été nommé nouveau dirigeant de la société Ardoise et Cie. Ce qu'il ignorait c'est que son pote d'enfance Barney (Rick Moranis) avait échangé leurs tests pour remercier Fred de lui avoir permis d'adopter le petit Bamm-Bamm (Hlynur & Marino Sigurdsson) mais surtout que ce poste est un piège ! En effet, Cliff (Kyle MacLachlan) cherchait en fait quelqu'un qu'il pourrait manipuler à loisir afin de détourner les fonds de la société et il semble bien qu'il ait trouvé la perle rare en la personne de Fred. Ce dernier est un peu dépassé par les responsabilités qu'il doit endosser et va finir par perdre le sens des réalités.

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    C'est toujours un pari risqué que d'adapter un dessin animé en film live et en règle générale ça donne de jolis navets. La famille Pierrafeu échappe de justesse à cette catégorie car l'atmosphère du dessin animé crée par Hannah & Barbera est plutôt bien retranscrit avec notamment un duo Goodman / Moranis convaincant. Par contre, il est évident que ce film s'adresse essentiellement aux enfants ce qui expliquera un scénario simpliste et surtout des gags parfois très lourds. Il ne restera certainement pas dans nos mémoires mais son aspect kitsch le rend plutôt attachant et ça permettra de faire découvrir à vos enfants un dessin animé préhistorique !

  • Gigantic

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    Tout a débuté lorsqu'il (John Goodman) a voulu s'acheter un matelas et c'est ainsi qu'il a rencontré Brian Weathersby (Paul Dano), le vendeur. L'affaire est vite conclue pour 14 000 dollars, il va pouvoir soulager son dos qui souffre le martyr et c'est sa fille qui viendra effectuer le paiement. Quand Happy (Zooey Deschanel) se présente, elle ne laisse pas Brian complètement indifférent mais ce n'est que plus tard qu'ils passeront à l'action. Un nouveau couple est né pourtant tout oppose ces deux-là ; Brian est un garçon dont le rêve est d'adopter une petite fille chinoise tandis que Happy éprouve de nombreuses difficultés à s'engager aussi bien dans sa vie privée que professionnelle.

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    Alors soit il me manque des neurones (pas de commentaires sur ce sujet s'il vous plait) soit il manque vraiment quelque chose à ce film. Pendant toute la durée du film, on pense avoir à faire à une comédie sentimentale puis un évènement sorti presque de nulle part nous bouscule sans que cela ait vraiment une incidence sur le reste de l'histoire. C'est sur que Gigantic a quelque chose de particulier ne serait-ce d'abord avec son héroïne Zooey Deschanel parfaite dans la peau de cette femme délurée un peu dans l'esprit de (500) jours ensemble. Un film vraiment étrange et qui laisse un vague gout d'inachevé.

     

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre matelas par un modèle suédois.

     

  • Confessions d’une accro du shopping

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    C’est une pulsion qu’elle ne peut pas réfréner, à la vue d’un magasin le cœur de notre pote Rebecca Bloomwood (Isla Fisher) s’emballe et elle perd tous ses moyens. Avec 12 cartes de crédit en poche, elle achète tout ce qui lui plait sans compter mais lorsque les factures arrivent, il faut bien une bouteille de tequila pour tenir le choc. Une situation d’autant plus délicate quand elle perd son job et que son entretien au prestigieux magazine de mode Alette fut un échec total. Par un concours de circonstances, Rebecca décroche un job de journaliste chez qui appartient au même groupe de presse qu’Alette mais spécialisé dans la finance, un domaine dont elle ignore tout !

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    Les femmes et le shopping, c’est une grande histoire d’amour qui méritait bien un film sur le sujet. Confessions d’une accro du shopping est la comédie que l’on s’attend à voir avec cette jeune femme qui dégaine ses cartes de crédit plus vite que son ombre. Il faudra pas mal d’indulgence pour laisser passer une histoire qui, à l’image de l’héroïne, fait preuve de beaucoup de naïveté mais capable quand toutefois quelques sourires (merci à Kristin Scott Thomas). Messieurs, ça reste tout de même le film à voir avec votre partenaire car un rapide calcul s’impose ; 1H40 de cinéma vous coutera beaucoup moins cher qu’1H40 de shopping !

     

    Il faut le voir pour : Rajouter sur votre CV que vous maitrisez le finnois.