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cinema - Page 17

  • John Rambo - Rambo 2

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    John Rambo : Pour survivre à la guerre, il faut devenir la guerre

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    C'est dans la ville de Port Arthur au Texas que notre pote Janis Joplin voit le jour. Les années passées au lycée ne lui laissent pas de souvenirs impérissables ; il n'était pas facile de s'intégrer aux autres et de surcroît elle se sentait complexée par son physique. Sa voie, elle le trouvera dans la Musique et son entourage va ainsi découvrir le grand potentiel de cette chanteuse attirée par la folk et le blues. Son talent va lui permettre d'intégrer le groupe Big Brother and the Holding Company livrant notamment une prestation mémorable lors du festival de Monterey. Malheureusement son succès s'est aussi accompagné de moments plus difficiles où Janis s'est perdue dans les drogues et l'alcool.

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    Au risque de passer pour un inculte, je ne connaissais pas vraiment l’œuvre de Janis Joplin et c'est une lacune en partie comblée grâce à ce documentaire. La réalisatrice Amy Berg a ainsi réuni images d'archives, lettres personnelles et témoignages des proches de l'artiste pour nous dresser un portrait certes classique mais néanmoins captivant. Sa voix extraordinaire tout comme l'énergie déployée sur scène ont fait le tour du monde, on découvre aussi une femme de caractère qui dans le même temps souffrait d'une grande fragilité. Un bel hommage à une artiste considérée par beaucoup comme une icône de la Musique qui a malheureusement rejoint le fameux Club des 27.

     


    Il faut le voir pour : Vivre les concerts et ne pas rester assis !

  • Disaster movie

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    Il l’a vu dans ses rêves, la fin du monde est proche ! C’est d’autant plus vrai que c’est Amy Winehouse (Nicole Parker) elle-même qui lui est apparu pour le prévenir. Un bon prétexte pour notre pote Will (Matt Lanter) de se défiler quand il s’agit de parler d’engagement avec sa petite-amie Amy (Vanessa Minnillo). Mais oublions tout ça pour le moment car Will célèbre ses 16 ans et la fête bat son plein jusqu’à ce que la terre se mette à trembler et ce n’est que le début des problèmes. Des astéroïdes menacent la planète et c’est là que Will se remet à penser à ses rêves désormais  prémonitoires; c’est la fin du monde qui se profile à l’horizon.

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    Argent facile, économies au niveau du scénario et comédiens au rabais (on a quand même la présence de Kim Kardashian si ça ne vous rassure pas ça!) ; il ne semble y avoir que des avantages à réaliser une parodie. Comme ses prédécesseurs en la matière, l’humour pipi-caca est de mise repoussant chaque fois un peu plus les limites de l’affliction. Au menu cette fois 10 000, High School Musical 3, Kung-Fu Panda et bien d’autre pour un résultat réellement désastreux. A moins de vouloir rédiger une thèse sur ces parodies à deux balles et leurs effets néfastes sur la mentalité de l’être humain, je vois mal ce qui pourrait vous motiver de jeter un œil à ce Disaster movie.

  • Beijing Stories

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    A Pékin, de nombreuses habitations sont voués à la destruction et c'est au milieu de ces ruines que se trouve notre pote Yong Le (Luo Wenjie). Pour gagner sa vie, il récupère des meubles abandonnés afin de les revendre mais il souhaiterait trouver un travail stable. Un jour, il est victime d'un accident et perd temporairement la vue ce qui est loin d’être évident lorsqu'on vit dans des sous-sols. Il pourra toutefois compter sur l'aide que va lui apporter Xiao Yun (Ying Ze), une jeune femme qui vient de s'installer. Elle aussi aspire à une autre vie ; plus que tout elle souhaiterait quitter son travail de danseuse dans un bar mais pour quel avenir ?

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    D'histoires il n'en est pas vraiment question enfin si il y a une amorce de relation entre Xiao Yun & Yong Le mais tout l’intérêt du premier long-métrage de Pengfei Song réside en fait ailleurs. Beijing Stories c'est surtout l'observation d'une Chine étranglée par sa surpopulation avec notamment la découverte de ces logements aménagés dans les sous-sols. Entrent aussi en compte les enjeux économiques qu'engendrent cette urbanisation à outrance à travers l'expérience de Jin et de sa femme. Un film contemplatif où on s'intéresse moins aux personnages qu'à l'environnement où ils évoluent et ça risque de ne pas plaire à tout le monde.

     

    Il faut le voir pour : Constater qu'il n'est vraiment pas facile de se débarrasser d'un hibou !

  • Je vous souhaite d’être follement aimée

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    Notre pote Elisa (Céline Sallette) vient de s'installer à Dunkerque avec son fils Noé (Elyes Aguis). Elle avait besoin de faire le point dans sa relation avec Alex (Louis-Do De Lencquesaing) mais si elle a choisi cette ville ce n'est pas non plus par hasard. Cette kinésithérapeute a en effet été adoptée et cherche maintenant à retrouver la trace de sa mère naturelle, une demande avait été faite en ce sens mais est restée sans suite. Du moins la femme que l'on a identifié comme étant sa mère a nié avoir eu un enfant. Elisa est donc venue à Dunkerque où elle a vu le jour en espérant que ses recherches porteront leurs fruits et qu'elle trouvera des réponses à ses questions.

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    Après avoir évoqué l'adoption dans l'excellent Une vie toute neuve, la réalisatrice Ounie Lecomte s'intéresse maintenant au parcours d'une femme née sous X pour retrouver sa mère naturelle. La quête de l'identité est au cœur de l'histoire d'abord vis-à-vis du personnage d'Elisa mais elle se prolonge aussi avec Noé cherchant à s'intégrer. Je vous souhaite d’être follement aimée, un titre juste magnifique mais le film peut aussi compter sur un duo d'actrices pleines de talent avec la réunion de Céline Sallette & Anne Benoit. Un film délicat où les émotions ne se dévoilent qu'à de rares occasions et qui pourrait tout de même en laisser certains indifférents.

     


    Il faut le voir pour : Éviter de laver la casquette de vos enfants si vous ne voulez pas qu'ils fassent une crise !

  • Phantom of the paradise

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    Lorsque notre pote Winslow Leach (William Finley) a appris que M. Swan (Paul Williams) en personne avait particulièrement apprécié sa cantate dédié à Faust, il en était tout bouleversé. Un mois plus tard ce n’est plus la même chanson puisque Winslow découvre que non seulement on lui a volé son œuvre mais celle-ci va faire l’ouverture du Paradise avec la participation de ces satanés Juicy fruit. Il tente bien de faire réparer cette injustice mais cela se retourne contre lui et il finira derrière les barreaux. Du temps passe avant qu’il ne parvienne à s’échapper de Sing Sing et en voulant se venger, c’est une nouvelle sentence qui s’abat sur lui puisqu’il aura le visage totalement défiguré.

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    Retour au milieu des années 1970 avec le réalisateur Brian De Palma et n’ayons pas peur de dire que son Phantom of the paradise est et reste toujours aussi psychédélique ! Comédie musicale, romance, drame, ou encore fantastique ; ce sont autant de genres embrassés par ce film porté également par une magnifique bande originale. Si le personnage du Fantôme est là pour apporter sa folie, le spectateur est aussi subjugué par la performance de Paul Williams (réputé surtout pour ses activités de compositeur). Un film qui restera indéniablement Pour l'éternité et qui aura également eu une certaine influence auprès d'un certain George Lucas qui planchait alors sur Star Wars.

     


    La scène à ne pas louper : Swan "fabriquant" la voix de Winslow !

  • La fille du patron

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    C’est une nouvelle victoire pour le RC Tricot et voilà que l’équipe se retrouve propulsée en demi-finale du tournoi inter-entreprises. En attendant cette rencontre, retour au travail pour Vital (Olivier Loustau) et tous ses potes d’enfance d’autant plus que leur patron, M. Baretti (Patrick Descamps) a une annonce à leur faire. Une étude sur l’ergonomie au travail va être réalisée au sein de l’entreprise et elle sera conduite par Alix (Christa Theret) et ce que tout le monde ignore encore c’est qu’il s’agit de la fille du patron. Lorsqu’elle doit choisir ses deux référents, Alix portera son choix sur Vital et le temps passé ensemble va faire naitre des sentiments chez l’un comme chez l’autre.

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    Mariage d’une comédie sentimentale avec les exploits d’une équipe amateur de rugby, La fille du patron pourrait bien s’imposer comme le compromis idéal pour de nombreux couples. Qui dit ballon ovale dit aussi esprit d’équipe irréprochable ce qui définit parfaitement cette bande de potes / collègues et il ne faudrait pas non plus oublier la sacro-sainte 3ème mi-temps ! Entre 2 plaquages, se dévoile la romance tant attendue (on pourrait même dire convenue) entre les charmants Christa Theret & Olivier Loustau qui réalise également son premier long-métrage. Loin d’être un film exceptionnel, on passe néanmoins un bon moment grâce à la bonne ambiance qui s’en dégage.

     

    Il faut le voir pour : Jeter un œil sur les ongles de votre femme avant qu'elle parte travailler !

     

  • Les 8 salopards

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    Une diligence se fraie un chemin dans les paysages enneigés du Wyoming. Conduite par O.B. (James Parks), il y a à son bord un chasseur de primes et pas n’importe lequel le fameux John Ruth dit Le bourreau (Kurt Russel) accompagné de sa prisonnière Daisy Domergue (Jennifer Jason Leigh) dont la tête est mise à prix à 10 000 $. Sur leur route, ils vont accueillir le Commandant Warren (Samuel L. Jackson) et un peu plus tard c’est le futur shérif de Red Rock, Chris Mannix (Walton Goggins), qui complète le tableau. Tout ce beau monde se dirige vers la mercerie de Minnie (Dana Gourrier) afin d’échapper au terrible blizzard. C’est là que les choses sérieuses vont commencer !

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    Pour sa 8ème réalisation, Quentin Tarantino a tout simplement réuni Les 8 salopards pour un western sanglant. Il retrouve quelques potes d’enfance qu’il a déjà côtoyé au cours de sa carrière avec d’abord l’incontournable Samuel L. Jackson, Tim Roth ou encore Michael Madsen. Avec une durée de 2H48, le film démarre doucement même si on se régale des échanges verbaux toujours aussi cinglants. Quand l’action pointe enfin le bout de son nez, autant vous dire que la mercerie a droit à une nouvelle décoration avec une prédominance de rouge écarlate option cervelle sur les murs. Le réalisateur déjanté continue de nous régaler et ça vaut bien un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le goût d’un ragout est unique !

     

  • Flashdance

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    Le jour elle travaille sur un chantier de Pittsburgh et il faut attendre la nuit tombée pour découvrir la véritable Alexandra Owens (Jennifer Beals) ! En effet, c'est au Mawby's bar qu'elle peut s'exprimer librement à travers sa seule et unique passion : la danse ! Du talent elle en a indéniablement, il n'y a qu'à voir tous ces regards scotchés durant chacune de ses prestations, la seule chose qui lui manque c'est de la confiance. Alexandra n'a jamais eu l'occasion de fréquenter les écoles de danse et a tout appris seule. Lorsqu'elle se présente dans des concours, elle se sent dévalorisé face aux autres mais grâce à son entourage, ses rêves pourraient un jour se réaliser.

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    Classique des années 1980, c'est toutefois en 2015 que je découvre pour la première fois ce film d'Adrian Lyne (et produit par Don Johnson & Jerry Bruckheimer !) ; une précision qui a son importance quand a défilé devant mes yeux les Sexy Dance ou Street Dance. Flashdance a été l'un des précurseurs du genre puisqu'on retrouve le schéma maintenant bien connu de la jeune femme sympa, pas avare d'efforts, qui va tomber amoureuse bref tout ce qu'il faut pour s'attirer la compassion des spectateurs. Le plus décevant reste toutefois que visuellement c'est pauvre, on a que peu l'occasion de voir Jennifer Beals - ou du moins sa doublure - en action. Cela ne compense pas ses faiblesses mais le film a tout de même eu droit à une belle bande originale.

  • Arrêtez-moi là

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    Cela fait 2 ans que notre pote Samson (Reda Kateb) travaille comme chauffeur de taxi et c’est un métier qui lui plait. Il a ainsi l’occasion de faire des rencontres, de réfléchir à d’autres projets à venir mais aussi de rester auprès de son chat Gershwin. C’est une journée ordinaire qui commence pour lui ; il prend notamment comme cliente Louise (Léa Drucker) à l’aéroport de Nice et va la déposer chez elle à Grasse. Samson aura d’autres petites courses par la suite et, en bon samaritain qu’il est, va même terminer sa journée en reconduisant gracieusement des étudiantes. Il est loin de s’imaginer que la police va venir sonner à sa porte et l’inculper pour l’enlèvement d’une petite fille !

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    C’est la vie d’un citoyen ordinaire qui va soudainement basculer ; un fait-divers qui se dévoile et une erreur judicaire qui se dessine. Le réalisateur Gilles Bannier signe son tout premier long-métrage inspiré par une histoire vraie; Arrêtez-moi là met notamment en lumière l'engrenage judicaire  dans lequel le malheureux Samson va tomber. Néanmoins en voulant dénoncer certaines aberrations, quelques personnages frisent ou carrément plongent dans la caricature. Ce qui n'est pas le cas de notre pote Reda Kateb qui nous prouve rôle après rôle qu'il est l’un des plus talentueux comédiens français et il représente sans aucun doute l'atout principal de ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas toucher aux fenêtres quand vous êtes chez un étranger !