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Film - Page 236

  • Libre échange

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    Le soir du 15ème anniversaire de son mariage, Jocelyne (Julie Depardieu) s’est vue mettre à la porte de la maison par son mari. Même si ce dernier la trompe ouvertement, elle est convaincue que leur couple peut retrouver sa passion d’antan mais pour ce soir elle va devoir se trouver un toit pour dormir. C’est ainsi qu’elle rencontre Marthe (Carole Bouquet), une prostituée qui aimerait bien tourner la page et pourquoi pas en empochant un joli pactole. C’est son frère Carl (Serge Gisquière) qui lui a soufflé une idée folle ; piéger Ménar (Philippe Magnan), Directeur du Conseil Européen. Leur plan est simple ; il faut mettre la main sur une femme capable de le charmer et de récupérer les preuves afin de le faire chanter. Cette femme ils l’on trouvé ce sera Jocelyne !

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    Même si j’apprécie énormément notre chère Carole Bouquet, il faut bien se rendre à l’évidence que ce Libre échange a tout le potentiel nécessaire pour concourir au titre de navet de l’année. Déjà le scénario a de quoi nous laisser quelque peu circonspect et malheureusement, les premiers ressentis s’avèrent exacts sur la durée, c’est bel et bien une comédie loupée ! L’interprétation est dans l’ensemble assez pauvre avec une mention toute particulière à Serge Gisquière (à l'image de sa réalisation); à partir de là, on ne peut plus que subir ce navet. Si vous êtes vraiment adepte de l’échange, commencez déjà par choisir un autre film si vous ne voulez pas gâcher votre journée.

     

    Il faut le voir pour : Inviter de jolies femmes dans votre chambre pour … qu’elles passent l’aspirateur !

  • Les chimpanzés de l’espace 2

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    Après leur exploit historique Ham, Luna, Titan & Houston sont devenus de véritables stars ; ils ont été les premiers chimpanzés à voyager dans l’espace. Ils ont découvert la planète Malgor et ont même ramené sur Terre le tyran Zartog emprisonné telle une statue. Cet exploit fait rêver Comet qui avait vécu l’aventure de sa base terrestre et son souhait est désormais d’aller dans l’espace. La déception est donc d’autant plus grande quand il apprend qu’il ne fera pas partie de la prochaine expédition pour Malgor. Cependant, il va sans le vouloir faire décoller la fusée qui l’amènera ainsi vers les étoiles où il pourra enfin rencontrer sa pote d’enfance Kilowatt.

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    Pfff… voilà exactement le genre de suite dont on se passerait aisément tant Les chimpanzés de l’espace 2 est affligeant ! Déjà au niveau graphique, on croirait revenir à l’âge préhistorique des images de synthèse bien loin de la splendeur qu’on a pu voir dernièrement. Quand on voit en plus qu’ils nous proposent une version 3D, le vide en relief ou non reste du vide. Surtout, on a l’impression d’être pris pour des pigeons du début jusqu’à la fin ; l’histoire tient en 2 lignes et certaines scènes ne sont là que pour combler cette énorme lacune qu’on appelle un film. Préserver vos enfants et tenez les loin de cette chose immonde !

     

    Il faut le voir pour : Lâcher votre Iphone, voici venir le Bananaberry !

  • Les émotifs anonymes

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    Angélique (Isabelle Carré) a une passion dans sa vie ; le chocolat. C’est ainsi qu’elle s’est lancée dans la cuisine et très vite son talent a été reconnu mais elle doit affronter un mal terrible, elle est émotive ! Le regard des autres la fait paniquer et afin de pouvoir continuer à travailler le chocolat ; elle en fabriquait en secret le magasin de Monsieur Mercier (Claude Aufaure) et le succès est vite arrivé. Hélas à la mort de Mercier, elle se retrouve démunie et répond à une annonce  d’une fabrique de chocolat en perdition. Le patron Jean-René (Benoit Poelvoorde) parait dur en apparence mais lui aussi est un émotif et l’arrivée d’Angélique pourrait bien lui changer la vie.

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    Voici une excellente surprise à déguster tout comme on dégusterait une belle boite de chocolat. Il faut bien l’avouer, notre gourmandise s’éveille devant la noblesse du chocolat ; comment résister en l’entendant craquer sous la dent ? Et puis, il y a Isabelle Carré et Benoit Poelvoorde (couple parfait à l’écran soit dit en passant) tous deux fondants dans leurs rôles d’émotifs, tendres et si attachants ce qui donne de drôles de situations. C’est par le rire que Jean-Pierre Améris choisit de nous faire vivre le quotidien des émotifs même si on prend bien conscience que leur vie est loin d’être rose. Les émotifs anonymes est la comédie idéale pour débuter cette nouvelle année sur une vague de douceur alors ne vous privez pas !

     

    Il faut le voir pour : Allez vous acheter une boite de chocolats.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Mon beau-père et nous

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    Les tensions se sont apaisées entre John Byrnes (Robert De Niro) et son gendre Greg Furniker (Ben Stiller) au point qu’il lui fait aujourd’hui une proposition qu’il ne peut pas refuser. Le cœur fragile, John a conscience qu’il ne pourra pas être éternellement présent pour sa famille aussi est-il temps de confier les rênes à Greg. Mais ce dernier est-il vraiment à la hauteur ? Pas si sur quand on voit cette splendide Andi Garcia (Jessica Alba) lui tourner autour et puis il n’est pas trop tard pour que Pam (Teri Polo) trouve un mari digne de ce nom. Le Don Furniker va devoir batailler dur pour prouver qu’il est l’homme de la situation.

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    Le duo Ben Stiller / Robert De Niro continue de faire des émules jusqu’à prolonger la saga des Beau-père en une trilogie. L’ombre du Parrain règne sur ce 3ème volet puisqu’il y est question de succession, de protection de la famille et c’est ainsi que le Don Furniker est né ! A défaut d’être une excellente comédie, Mon beau-père et nous parvient à honorer la promesse qu’il s’était fixé ; nous faire partager un bon moment en retrouvant une famille que l’on connait que trop bien. La bonne humeur sera donc une fois au rendez-vous si vous vous étiez déjà régalé avec les deux premiers épisodes.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de forcer vos enfants à manger ce qu’ils ne veulent pas, ça pourrait vous retomber dessus.

  • Le voyage du Directeur des Ressources Humaines

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    2002. Une certaine Yulia Petracké a commis un attentat suicide près d’un marché de Jérusalem. Son corps est resté à la morgue sans que personne ne s’intéresse à son sort jusqu’à ce qu’un journaliste se met à enquêter sur le sujet. Les seuls effets personnels qu’on ait trouvés sur elle était un bulletin de salaire d’une boulangerie où elle ne travaillait pourtant plus. Malgré les efforts du Directeur des Ressources Humaines (Mark Ivanir), l’affaire est déballée dans la presse mais pour éviter d’envenimer les choses ; la boulangerie décide de rapatrier le corps de Yulia en Roumanie, son pays d’origine. C’est le DRH, en tant que représentant de la boulangerie, qui est désigné pour accompagner le cercueil.

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    Le voyage du Directeur des Ressources Humaines est une invitation pour un road-trip pour le moins atypique. A commencer par son contexte particulier ; une employée s’est fait sauter durant un attentat suicide. Difficile après ça d’oublier la teneur dramaturgique du scénario pourtant petit à petit, on sent que le tout se décrispe laissant entrevoir la facette jusqu’alors immergée du DRH. L’histoire est aussi celle de Yulia Petracké, seule personne véritablement nommée par ailleurs, une femme à la double identité au centre de cette expédition. C’est la séance découverte du moment peut-être pas à faire sur le grand écran mais dans quelques mois ça ne vous fera pas de mal !

     

    Il faut le voir pour : Si vous n’avez pas de pneus neige alors adopter le tank c’est tout aussi pratique !

  • Rollerball

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    Jonathan Cross (Chris Klein) aime les sensations fortes mais il ne peut pas éternellement jouer au chat et à la souris avec les flics. Son pote d’enfance Marcus Ridley (LL Cool J) vient d’ailleurs de lui sauver la mise et lui fait une proposition qui pourrait changer sa vie : intégrer l’équipe de Rollerball. Ce tout nouveau sport est en pleine expansion et des contrats juteux sont en jeu ; Jonathan devient en quelques mois la star. Néanmoins, les audiences déclinent sauf lorsque des "incidents" viennent perturber le cours du jeu ; quand le sang coule le public semble toujours en redemander plus. L’équipe de Jonathan commence à devenir méfiante surtout quand ils apprennent que le casque de leur coéquipier aurait été volontairement saboté.

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    Il y a certains films où il vaut mieux faire profil bas et Rollerball doit être dans le top 5 de la liste de notre cher John McTiernan. Il y avait de la bonne volonté en créant de toutes pièces ce jeu aux règles légèrement incompréhensibles mais capables de donner des images spectaculaires. Malheureusement, le réalisateur ne parvient pas à nous faire ressentir l’excitation du jeu pas aidé non plus par son casting. Chris Klein a davantage la prestance d’incarner un jeune premier de la classe qu’un sportif extrême sans compter notre Jean Reno national qui a piqué la moustache d’un des village people. Pour faire plaisir à McTiernan, il faut tout faire pour enterrer et oublier ce film.

  • Bonne année 2011 !!

    Hello my friends !

     

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    Tout d’abord Ciné2909 vous présente ses meilleurs vœux pour cette année 2011. Qu’elle soit pleine de joie, de prospérité et surtout que le cinéma nous gâte une fois encore de magnifiques films ! Allez pour bien commencer l’année, j’ai décidé d’être généreux et de vous offrir quelques places de cinéma et pour cela rien de plus simple. 5 questions, 5 réponses à m’envoyer par mail avant le 1er Février, un tirage au sort et peut-être repartirez-vous avec des places de ciné alors n’hésitez pas, c’est totalement gratuit !

    Lire la suite

  • Un balcon sur la mer

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    Sud de la France. Marc Palestro (Jean Dujardin) mène la belle vie, il vient de s’installer dans une splendide maison en compagnie de sa femme Clotilde (Sandrine Kiberlain) et de leur petite fille Emmanuelle (Pauline Belier). Il travaille comme agent immobilier en association avec son beau-père et au cours d’une visite, son passé va soudainement ressurgir. Une cliente veut se porter acquéreur d’une propriété et dès qu’il l’a vue, les souvenirs de son enfance sont remontés à la surface. Cette femme n’est autre que Cathy (Marie-Josée Croze), la fille avec qui il passait son temps lorsque sa famille vivait encore en Algérie.

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    Il faut déjà dire qu’il vaut mieux éviter de voir la bande-annonce si l’on veut conserver tout effet de surprise. En effet, on comprend assez vite de quoi sera fait Un balcon sur la mer si ce n’est ce coté thriller initié dans la dernière partie et pas très convaincante par ailleurs. On s’intéressera donc davantage à la distribution avec Jean Dujardin qui démontre à ceux qui voulaient encore s’en convaincre qu’il possède la panoplie complète du comédien. A ses cotés, Marie-Josée Croze est plus belle que jamais et n’a pas de mal à nous faire tourner la tête. Un film au ton juste mais dont l’intrigue s’épuise trop rapidement pour nous garder en haleine.

     

    Il faut le voir pour : Utiliser Facebook, ce sera plus facile de retrouver des potes d’enfance.

  • Une vie de chat

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    Dino n’est pas un chat comme les autres. Lorsque vient la nuit, il va rejoindre Nico, un voleur qui parcourt les toits de Paris. Lorsque ce périple s’achève, Dino rejoint son foyer en se glissant dans les bras de maitresse, la petite Zoé. Cette dernière a vécu un drame terrible ; son père est mort alors qu’il faisait son travail de policier et depuis ce jour, elle est devenue muette. Sa mère Jeanne elle aussi policier cherche à mettre la main sur le criminel Victor Costa qui est également responsable de la mort de son mari. Le prochain transfert du Colosse de Nairobi, une œuvre d’art que Costa convoite depuis des années devrait le faire sortir de sa cachette.

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    Après une petite série animée assez séduisante en guise d’introduction, on se retrouve devant un film d’animation aux dessins assez sommaires. Visuellement, il est certain qu’Une vie de chat ne révolutionnera pas le monde de l’animation et ce n’est clairement pas son but. Au-delà de l’aspect graphique, on est davantage intrigué par le scénario qui rassemble tous les ingrédients d’un petit polar. Il faut dire qu’à l’origine le projet était destiné aux adultes ce qui explique une histoire aussi peu commune pour le jeune public. Il ne faut pas se laisser rebuter par les dessins afin de mieux cerner les qualités de ce très sympathique film d’animation.

     

    Il faut le voir pour : Dresser votre chat pour qu’il vous rapporte des bijoux.

  • Le Monde de Narnia : L'odyssée du passeur d'aurore

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    C’est chez leur oncle et tante à Cambridge que vivent Lucy & Edmund (Georgie Henley & Skandar Keynes) et la cohabitation avec leur petit cousin Eustache (Will Poulter) n’est pas de tout repos ! Ce dernier se moque ouvertement d’eux lorsqu’il entend parler de Narnia, un monde imaginaire croyait-il jusqu’à ce qu’il se retrouve propulsé dedans. Nos 3 héros atterrissent ainsi sur le Passeur d’aurore, un bateau appartenant à quelqu’un qu’ils connaissent bien ; Caspian (Ben Barnes). Devenu roi de Narnia, il règne sur un royaume en paix aussi est-il étonné de revoir Lucy et son frère dans ce monde. Ils vont alors apprendre qu’une nouvelle menace est apparue sous la forme d’une brume verte faisant disparaitre hommes et femmes offerts en sacrifices.

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    Beaucoup moins populaire qu’Harry Potter, la saga de C.S. Lewis n’en continue pas moins son petit bonhomme de chemin (malgré la défection des studios Disney de la saga cinématographique). Au programme, une petite refonte du casting laissant sur la touche 2 personnages pour faire apparaitre le petit comique de service. Les enfants en quête d’aventure ont de quoi faire avec Le Monde de Narnia : L'odyssée du passeur d'aurore avec un voyage sur les mers, un grand combat contre un monstre marin et la transformation d’un des héros en puissant dragon. Dommage que la quête des épées d’Aslan soit aussi vite expédiée pour laisser la magie opérée un peu plus, du bon divertissement mais moins passionnant que les épisodes précédents.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir à quoi ressemble le bout du monde.

     

    En savoir plus sur Le Monde de Narnia : chapitre 1 - le lion, la sorcière blanche et l'armoire magique ?

     

    En savoir plus sur Le monde de Narnia : chapitre 2 - Le prince Caspian ?