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  • Diana

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    1995. Diana Spencer (Naomi Watts) vit désormais séparé du Prince Charles et les tabloïds ne manquent pas une occasion d’évoquer un divorce qui ferait mauvais effet à la cour d’Angleterre. En se rendant à l’hôpital elle rencontre Hasnat Khan (Naveen Andrews), un brillant chirurgien dont elle va tomber amoureuse mais leur relation est-elle seulement possible ? Pourchassée continuellement par les paparazzis, tout ce qui concerne la vie privée de Diana est immédiatement déballé au grand public et Hasnat ne peut concevoir une vie aussi médiatisée. La Princesse de Galles rêve d’une autre vie à l’étranger et fera son possible pour le réaliser mais le 31 Aout 1997, le monde pleurera sa disparition tragique.

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    Jouissant d’une incroyable popularité, il était inévitable de voir un jour la vie de la Princesse Diana déballée sur le grand écran. Le film d’Oliver Hirschbiegel n’est pas ce qu’on pourrait considérer comme un véritable biopic puisqu’il s’intéresse essentiellement à la vie amoureuse de la femme et plus particulièrement à sa rencontre avec Hasnat Khan. Un aspect de la vie de Diana qu’on ne cherchait pas forcément à découvrir là où on attendait plutôt l’incroyable destin qui l’a conduit à devenir la reine des cœurs des anglais. On a donc rien de plus qu’une vulgaire tragédie romantique qui se repose sur l’aura de la Princesse de Galles.

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les rues, il y a peut-être des princesses cachées sous une perruque !

  • Rollerball

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    Jonathan Cross (Chris Klein) aime les sensations fortes mais il ne peut pas éternellement jouer au chat et à la souris avec les flics. Son pote d’enfance Marcus Ridley (LL Cool J) vient d’ailleurs de lui sauver la mise et lui fait une proposition qui pourrait changer sa vie : intégrer l’équipe de Rollerball. Ce tout nouveau sport est en pleine expansion et des contrats juteux sont en jeu ; Jonathan devient en quelques mois la star. Néanmoins, les audiences déclinent sauf lorsque des "incidents" viennent perturber le cours du jeu ; quand le sang coule le public semble toujours en redemander plus. L’équipe de Jonathan commence à devenir méfiante surtout quand ils apprennent que le casque de leur coéquipier aurait été volontairement saboté.

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    Il y a certains films où il vaut mieux faire profil bas et Rollerball doit être dans le top 5 de la liste de notre cher John McTiernan. Il y avait de la bonne volonté en créant de toutes pièces ce jeu aux règles légèrement incompréhensibles mais capables de donner des images spectaculaires. Malheureusement, le réalisateur ne parvient pas à nous faire ressentir l’excitation du jeu pas aidé non plus par son casting. Chris Klein a davantage la prestance d’incarner un jeune premier de la classe qu’un sportif extrême sans compter notre Jean Reno national qui a piqué la moustache d’un des village people. Pour faire plaisir à McTiernan, il faut tout faire pour enterrer et oublier ce film.