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Les séances de 2009-2010 - Page 5

  • Hyper Tension 2

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    Après sa chute vertigineuse d'un hélicoptère, tout le monde pensait que Chev Chelios (Jason Statham) était mort et pourtant il a survécu. Evidemment, il est dans un sale état d'autant plus qu'on lui a volé son cœur et mis à la place une pompe mécanique qui ne lui laisse que peu de temps à vivre. Il part donc illico à la recherche de son cœur et apprend qu'un certain Johnny Vang (Art Hsu) s'en est emparé mais aussi qu'un mafieux se faisant appelé Le Furet (Clifton Collins Jr) est impliqué dans l'histoire. Pour que Chev puisse tenir le coup, il a besoin d'avoir une décharge électrique pour relancer ce cœur artificiel et une fois encore il va avoir une journée chargée !

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    Excellente surprise de l'année 2005, c'est avec un plaisir non dissimulé qu'on voit débarquer une suite même si on a du mal à comprendre pourquoi on n'a pas eu l'occasion de le voir au cinéma. Hyper Tension 2 c'est deux fois barjot, deux fois plus d'adrénaline et toujours autant de fun à suivre les incroyables aventures de notre pote Chev Chelios. Réalisation nerveuse, scènes d'action aussi explosives que surréalistes ; on reste donc dans le même ton que le prédécesseur peut-être même trop ! Ceux qui ont aimé le premier épisode retomberont vite sous le charme quand aux autres, c'est l'occasion de découvrir un film complètement fou.

     

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  • Soumission

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    Avec un cadavre planqué dans le coffre de leur voiture, Dale & Ron (Teresa Palmer & Travis Fimmel) sont en cavale et plus le temps passe, plus l’étau se resserre autour d’eux. Les poches vides, ils ont absolument besoin d’argent avant de continuer leur route et ils s’arrêtent donc dans la première maison qu’ils croisent, celle-ci appartenant à Andrew (Stephen Moyer). Cet homme vit seul depuis que sa petite-amie l’a quitté et il a la particularité de souffrir d’agoraphobie. Soumis aux menaces du couple, il leur propose 40 000 dollars australiens mais pour cela Dale va devoir se faire passer pour sa petite-amie.

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    Un jeune couple façon Bonnie & Clyde, un mec un peu louche et une belle somme d’argent ; voici lancée l’histoire de Soumission. Thriller psychologique reposant sur une relation des plus ambigües entre ses 3 personnages, le film n’est pas désagréable. On se laisse prendre par le scénario bien que l’on devine assez vite qu’Andrew ne sera pas une victime ordinaire et qu’il va nous réserver quelques surprises. Bref, il ne faut pas s’attendre à un grand film mais ça reste tout à fait raisonnable et puis ça vous permettra de découvrir un peu plus le cinéma australien.

  • Shottas

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    En grandissant à Kingston en Jamaïque, Biggs & Wayne (Ky-Mani Marley & Spragga Benz) ont vite appris que pour mener la belle vie, il fallait parfois savoir forcer le destin. Ils n'étaient pas encore adolescents lorsqu'ils ont commis leur premier braquage à main armée et depuis ce sont devenus de grands gangsters. Alors que Wayne est resté au pays, Biggs lui s'était envolé pour Miami où il est devenu un caïd d'envergure respecté par tous. 30 ans plus tard, le voilà de retour au pays qui l'a vu naitre et il est accueilli avec joie par Wayne et sa bande. Maintenant qu'il est de retour, ils vont de nouveau faire régner la loi dans la ville !

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    Présenté par certains comme La cité de Dieu version Jamaïcaine, Shottas avait une lourde réputation à défendre. La déception est donc d'autant plus grande quand on se retrouve devant un film de gangsters de seconde zone avec ambiance reggae et parfois des effets sonores qui finissent par taper sur le système. Pour le reste, on retrouve un scénario pour ainsi dire assez classique fait de fusillades, trafic de drogue, sexe et règlements de comptes mais à force de s'appuyer sur ces codes tellement usités, on se demande presque si on est pas devant une parodie. Il ne suffit pas de coller des flingues à des gens fringués en figurants de clips de rap pour faire un film de gangsta-reggae !

  • 10 bonnes raisons de te larguer

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    Cameron James (Joseph Gordon-Levitt) est un nouveau venu au lycée de Padua et il est vite pris en main par son nouveau pote d'enfance Michael Eckman (David Krumoltz). Il lui présente ainsi le fonctionnement de l'école avec tous les clans qui se côtoient, le beau gosse de service qui se croit tout permis et puis il y a  la belle Bianca Stratford (Larisa Oleynik). Cameron est immédiatement subjugué mais inutile de rêver car un énorme obstacle va se dresser devant lui ; le père de Bianca ! En effet, ce dernier est très clair à ce sujet ; Bianca ne pourra sortir qu'à la seule condition que sa sœur Katarina (Julia Stiles) accepte également de sortir et ça c'est pas gagné !

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    Un teen-movie tout ce qu'il y a de plus classique serait-on tenté de dire avec une histoire franchement peu inspirée. Ce qui attirera un peu plus notre attention, c'est la présence du regretté Heath Ledger dans un des rôles principaux ; une expérience qui précède sa fulgurante ascension à Hollywood. A noter toutefois un humour très second degré avec la principale qui écrit des romans pour adulte ou encore le prof sarcastique qui n'hésite pas à casser ses élèves. Dommage qu'à ce niveau là 10 bonnes raisons de te larguer ne soit pas allé un peu plus loin pour se démarquer un tant soit peu des autres films du même genre.

     

  • Playboy à saisir

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    Lorsque notre pote Tripp (Matthew McConaughey) ramène une femme à la maison, ce n’est jamais bon signe pour cette dernière. En effet si ce playboy a tout pour plaire, il habite encore chez ses parents Sue & Al (Kathy Bates & Terry Bradshaw) qui aimeraient bien qu’il se décide à prendre son envol. C’est dans ce but qu’ils font appel à Paula (Sarah Jessica Parker) ; pour le séduire et le convaincre de quitter le nid familial. Tout se passe exactement comme prévu sauf qu’avec le temps Paula tombe inexorablement sous le charme de Tripp qui ne se doute de rien jusqu’à ce que la vérité lui vienne aux oreilles.

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    Une comédie américaine tout ce qu’il y a de plus basique c'est-à-dire un scénario recyclé et un humour qui sent un peu le moisi. Pourtant le thème de l’adulescence est porteur comme l’a si bien prouvé l’excellent Frangins malgré eux mais Playboy à saisir préfère se focaliser sur l’histoire d’amour de Matthew McConaughey et Sarah Jessica Parker. Et là pas de surprises, ça forme un beau couple et puis ça casse pour finalement se remettre ensemble pour couler des jours heureux ; les scénaristes n’ont pas fait beaucoup d’efforts. A peine divertissant, à voir seulement si vous êtes seul chez vous enfin chez vos parents.

  • Les copains des neiges

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    Les petits bouts de choux ont encore frappé ! Tout ça c’est de la faute de Patapouf qui n’a pas pu résister à l’appel irrésistible de son estomac et qui s’est engouffré dans ce camion de glaces. Evidemment ; ses frères et sœurs Rosabelle, Bouboue, Bouddha & Bandit se sont laissés entrainer et voici nos 5 chiots qui sont embarqués dans un avion et atterrir de façon mouvementé en Alaska. C’est là qu’ils font la connaissance de Shasta, le chien d’Adam (Dominic Scott May) qui n’a qu’une envie ; constituer une équipe pour participer à la fameuse course annuelle de chiens de traineaux de Ferntiuktuk.

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    Nos chiots préférés sont de retour et cette fois, ils prennent des vacances d’hiver ! Suite directe du film 5 toutous prêts à tout ; on retrouve donc nos héros embarqués dans une histoire invraisemblable mais les enfants n’en tiendront pas rigueur. Pas de surprises avec Les copains des neiges, cette production Disney ne prend pas de risques et nous sert une nouvelle fois du réchauffé. On se laissera tenter avant tout pour faire plaisir aux plus petits ou alors parce que vous êtes un amoureux des petits chiens qui parlent !

    En savoir plus sur 5 toutous prêts à tout ?


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Arrête ou ma mère va tirer

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    Joe Bomowski (Sylvester Stallone) est un grand flic. Il a affronté les pires dangers, il est sorti indemne de nombreuses fusillades mais s’apprête aujourd’hui à affronter sa plus grand épreuve de sa vie : recevoir sa mère à la maison ! Dès son arrivée, Tutti (Estelle Getty) met son fils dans l’embarras n’hésitant pas à montrer toutes les photos de son enfance ou en se mêlant de sa vie sentimentale. Alors qu’elle ne devait passer que quelques jours avec lui, elle se retrouve témoin d’un meurtre alors qu’elle venait d’acheter un super flingue pour son fils. Il s’agit en fait d’une affaire bien plus compliquée et Joe ne va pas avoir d’autres choix que d’avoir pour partenaire sa mère !

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    Chercher une pure comédie dans la filmographie de Sylvester Stallone, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin et quand on tombe dessus ça ne fait pas forcément du bien ! Arnold Schwarzenegger s’était lui essayé à jouer les instits dans Un flic à la maternelle et son pote Sly a donc voulu suivre le même chemin du moins le temps d’un film. Arrête ou ma mère va tirer n’a vraiment rien de la grande comédie mais on ne peut s’empêcher de sourire devant un Stallone en couche-culotte. Forcément culte quand on connait le reste de la filmographie de l’acteur bien plus à l’aise dans les films d’action.

  • Doomsday

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    Imprévisible et dévastateur, le virus du faucheur a frappé de plein fouet et le nombre de victimes ne cessait d’augmenter. La catastrophe prit une telle ampleur que l’Angleterre, terre d’asile des rescapés, a du construire un mur laissant l’Ecosse à son propre destin. Malgré toutes les précautions, le virus continue sa propagation et ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ne ravage le cœur de l’Angleterre. Un infime espoir existe ; de l’autre coté du mur des images montrent qu’il existerait un remède et pour en avoir le cœur net, une opération spéciale est mise en place avec à sa tête Eden Sinclair (Rhona Mitra).

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    Un virus qui transforme et décime la population ; à première vue on se dit que Doomsday promet d’être un énième film de zombies. Pourtant, très vite on se rend compte que c’est encore pire que ça puisque le réalisateur Neil Marshall (The descent) a voulu jouer sur tous les tableaux. Jeux de guerre entre militaires suréquipés et punks cannibales, combat à mort à la sauce médiévale et enfin une course poursuite façon Mad Max. Le mélange est vraiment étrange sans compter une extrême violence (même les lapins ne sont pas épargnés) et vous voilà devant un beau navet. A ne voir que si le monde est effectivement sur le point d’être anéanti

  • The broken

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    Après son accident de voiture, tout le monde s’accorde à dire que Gina (Lena Headey) a eu de la chance d’être toujours vivante. La jeune femme est encore marquée par cet évènement car le choc lui a fait perdre une partie de sa mémoire et bientôt d’autres troubles se révèlent. Elle a beaucoup de mal à reconnaitre son petit ami Stefan (Melvil Poupaud) ; physiquement il lui ressemble mais elle en est certaine ce n’est pas lui. De plus, elle se souvient d’une chose qui l’avait interpellé avant son accident, elle avait croisé et suivi une femme qui était son sosie parfait. En pénétrant chez elle, Gina est alors tombée sur une photo où apparait son père.

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    Objet du quotidien devenu complètement banal, le miroir continue pourtant d’intriguer les réalisateurs qui y voient la frontière vers un monde parallèle. Si le remake d’Alexandre Aja Mirrors lorgnait beaucoup plus vers le film d’épouvante, Sean Ellis (Cashback) préfère lui jouer la carte du mystère avec ce thriller fantastique. Pourquoi pas sauf qu’au final en tant que spectateur on se sent abandonné et on se contente de se tourner les doigts en attendant que The broken se finisse au plus vite. Aussi excitant que de se voir pendant 1h30 dans le miroir (enfin peut-être que vous vous y prendrez du plaisir) !

  • Les condamnés

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    Ian Breckel (Robert Mammone) est un milliardaire qui s’ennuie et qui a décidé de s’amuser un peu. A travers le monde, il est allé chercher 10 prisonniers condamnés à mort pour les faire participer à un jeu révolutionnaire qui sera retransmis en direct sur Internet. Le but est simple, largués sur une île ; ces 10 détenus vont devoir s’affronter jusqu’au dernier souffle car il n’y aura qu’un survivant qui obtiendra la liberté. Ils ont 30 heures avant que l’appareil qu’ils portent à la jambe n’explose et pour Ian, il s’agit de battre tous les records d’audience et pourquoi pas atteindre les chiffres du Superbowl.

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    What ? La WWE frappe de nouveau avec ce film d’action mêlé de télé-réalité avec à l’affiche Stone Cold Steve Austin. A l’instar de The Marine, l’ex catcheur campe un véritable héros made in USA et rien que pour ça on a déjà envie d’envoyer paître le film. Si l’on fait abstraction de cet excès de patriotisme ; le reste se résume en bastons, du sang qui coule et la construction d’un semblant d’histoire pour combler les 2 heures. Encore une fois, ce n’est pas aussi mauvais que l’on pouvait s’attendre mais il faudrait penser à écrire un vrai scénario un de ces jours.