Doomsday
Imprévisible et dévastateur, le virus du faucheur a frappé de plein fouet et le nombre de victimes ne cessait d’augmenter. La catastrophe prit une telle ampleur que l’Angleterre, terre d’asile des rescapés, a du construire un mur laissant l’Ecosse à son propre destin. Malgré toutes les précautions, le virus continue sa propagation et ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ne ravage le cœur de l’Angleterre. Un infime espoir existe ; de l’autre coté du mur des images montrent qu’il existerait un remède et pour en avoir le cœur net, une opération spéciale est mise en place avec à sa tête Eden Sinclair (Rhona Mitra).
Un virus qui transforme et décime la population ; à première vue on se dit que Doomsday promet d’être un énième film de zombies. Pourtant, très vite on se rend compte que c’est encore pire que ça puisque le réalisateur Neil Marshall (The descent) a voulu jouer sur tous les tableaux. Jeux de guerre entre militaires suréquipés et punks cannibales, combat à mort à la sauce médiévale et enfin une course poursuite façon Mad Max. Le mélange est vraiment étrange sans compter une extrême violence (même les lapins ne sont pas épargnés) et vous voilà devant un beau navet. A ne voir que si le monde est effectivement sur le point d’être anéanti