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drame historique

  • Les Anarchistes

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    Paris en 1899. Parce qu’il a un certain don pour l’écriture, Jean (Tahar Rahim) a tapé dans l’œil de Gaspard (Cédric Kahn) qui lui propose une mission particulière : infiltrer les Anarchistes. Il commence ainsi à se faire embaucher dans une clouterie avant de se rapprocher de Biscuit (Karim Leklou). C’est à son contact qu’il va par la suite entrer en relation avec Elysée (Swann Arlaud) et sa bande d’anarchistes. Régulièrement, Jean doit ainsi faire remonter toutes les informations qu’il aura récolté, une mission qu’il doit mener avec délicatesse s’il ne veut pas être démasqué par ses désormais nouveaux potes d’enfance.

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    Le premier aspect intéressant avec Les Anarchistes c’est qu’on a droit à un casting plutôt étoffé composé de vrais talents. Outre le couple Adèle Exarchopoulos / Tahar Rahim, on apprécie en effet les présences de Swann Arlaud, Guillaume Gouix ou encore Karim Leklou (remarqué dans Coup de chaud) malheureusement les réjouissances semblent presque s’arrêter là. Les personnages sont quasi fantomatiques car peu mis en valeur dans leurs actions ; en dehors de quelques discours et cambriolages, on ne peut pas dire que le film d'Elie Wajeman se montre très éclatant. Un film décevant qui n'arrive à aucun moment à captiver le spectateur.

     

     
    Il faut le voir pour : Offrir un livre lorsque vous voulez rompre avec quelqu’un, ça lui fera peut-être plaisir !

  • La princesse de Montpensier

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    1562, une guerre soudaine éclate de nouveau entre Catholiques & Huguenots. Pour le Comte de Chabannes (Lambert Wilson), ces atrocités n’ont que trop durer et après avoir fait verser le sang d’une femme enceinte, il décide de se retirer. En cours de route, il croise le prince Philippe de Montpensier (Grégoire Leprince Ringuet), son ancien disciple. Philippe est sur le point d’épouser Marie de Mézières (Mélanie Thierry) qui était jusqu’ici promise à la famille de Guise, une nouvelle qui rend fou de colère Henri (Gaspard Ulliel). Bien que Marie ait été promise à son frère Mayenne (César Domboy), Henri éprouvait pour elle de l’amour, un sentiment qui était partagé. Forcée d’épouser Philippe, la princesse de Montpensier ne cessera d’aimer Henri.

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    Le piège des films d’époque c’est de plonger parfois le spectateur dans un profond ennui, ceci est d’autant plus vrai quand c’est le cinéma français qui s’y attelle. Bertrand Tavernier réussit toutefois à sauver les meubles grâce à un très beau casting dans l’ensemble que ce soit Lambert Wilson, Mélanie Thierry ou encore le toujours précieux Michel Vuillermoz et la découverte de Raphaël Personnaz. Un bémol sur la prestation de Grégoire Leprince-Ringuet, un tantinet trop docile pour véritablement être convainquant en Prince tyrannique (mais amoureux). Drôle d’histoire en tout cas que celle de La princesse de Montpensier, une belle leçon d’histoire mais qui ne nous épargne pas de quelques longueurs.

     

    Il faut le voir pour : Etre bien heureux que les nuits de noces ne se passent plus comme à l’époque !