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Emile Hirsch

  • Du sang et des larmes

    cinéma, film, action, drame, guerre, du sang et des larmes,  	Mark Wahlberg, Taylor Kitsch, Emile Hirsch, Ben Foster, Yousuf Azami, Ali Suliman, Eric Bana, Alexander Ludwig, Peter Berg

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    Base aérienne de Bagram, Afghanistan. L’opération Red wings vient de recevoir le feu vert ; une équipe va être envoyée pour capturer Ahmad Shah (Yousuf Azami), un dangereux Taliban. L’équipe Spartan 01 sera constituée de nos potes Mike, Marcus, Danny & Axe (Taylor Kitsch, Marc Wahlberg, Emile Hirsch & Ben Foster) choisis parmi les meilleurs des Navy seals. Les premières heures de l’opération se déroulent sans problèmes mais ils vont se faire surprendre par des villageois durant leur planque. La mission est désormais compromise et pour ne rien arranger, impossible de contacter la base. Mike prend alors la décision de relâcher les otages et de rebrousser chemin mais les Talibans se mettent vite à leur recherche.

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    Ce n’est pas un énième film sur la guerre en Afghanistan, Du sang  et des larmes est d’abord un hommage aux Navy seals et à l’équipe qui a mené l’opération Red wings. Le scénario s’inspire en effet de la réalité et retrace ainsi une mission particulièrement sanglante avec un dénouement qui donnera naissance à une belle histoire. Coté réalisation, à défaut de faire du raffiné Peter Berg fait dans l’efficacité et ça marche parfaitement. Les tirs et explosions résonnent au cœur des montagnes afghanes et surtout la violence est exposée de manière brute (les chutes me font d’ailleurs encore bien mal !). En dehors de quelques scènes où le patriotisme est un peu trop poussé voilà un film d’action qui vous fera passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de sauter des falaises, les chutes peuvent faire mal !

  • Du sang et des larmes

    L'année 2014 va commencer dans Du sang et des larmes ! On retrouvera Mark Wahlberg, Ben Foster, Emile Hirsch & Taylor Kitsch; des Navy Seals qui vont etre impliqué dans la mission Red Wing où leur cible n'est autre qu'un dangereux Taliban.

    Date de sortie : 01 Janvier 2014.


  • Prince of Texas

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    En 1987 le Texas a été frappé par un terrible incendie d’origine inconnue qui a laissé derrière lui de nombreux dégâts. Quelques mois plus tard, on retrouve Alvin (Paul Rudd), chargé de l’entretien des routes, un long travail pour lequel il pourra compter sur l’aide de Lance (Emile Hirsch), le frère de sa compagne Madison (Gina Grande). Les 2 hommes n’ont pas grand-chose en commun ; Alvin est concentré sur son travail et répète ses cours d’allemands tandis que notre pote Lance est abattu par la solitude. Heureusement, le week-end lui permet de regagner la ville et donc la civilisation mais à son retour il va sans le savoir rapporter une bien mauvaise nouvelle.

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    Loin des productions habituelles, ce Prince of Texas  - remake d’un film islandais - est un peu déconcertant puisqu’on pourrait le résumer en un huis-clos sur les routes texanes. Nous avons en effet comme seul décor que ce paysage ravagé par les flammes où seul le duo Rudd / Hirsch vient apporter un peu de vie. Ça parle d’amour, de la vie et de ses désillusions bref de tout et de rien à la fois mais les comédiens parviennent tout de même à rendre leurs conversations futiles assez prenantes. C’est même l’occasion de redécouvrir un peu Paul Rudd qu’on avait surtout vu dans les comédies et qui arbore ici un visage plus dramatique. Loin d’être incontournable, c’est tout simplement un film rafraichissant.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi le marquage au sol est plutôt bizarre sur certaines routes du Texas !

  • Savages

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    Question pour les botanistes : quelle est la meilleure herbe que vous ayez jamais fumé de votre vie ? L’afghan sans aucun doute mais cette hégémonie pourrait bien toucher à sa fin et c’est du coté de Laguna Beach en Californie qu’il faut se tourner. C’est là que nos 2 potes Ben & Chon (Taylor Kitsch & Aaron Taylor-Johnson) se sont associés pour développer une herbe extraordinaire qui va leur permettre de se faire un paquet d’argent et asseoir leur réputation. On entend même parler d’eux au Mexique puisque Elena (Salma Hayek) s’intéresse de près à leur business et souhaiterait conclure une collaboration de gré ou de force. N’ayant pas pu trouver un accord, elle va faire enlever O (Blake Lively), une jeune femme chère aux yeux de nos 2 amateurs d’herbe et commence alors un sanglant jeu du chat et de la souris.

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    Avec Savages, Oliver Stone signe l’adaptation du roman de Don Winslow et nous pond un thriller plutôt efficace. Evidemment, le casting composé de Salma Hayek, Benicio Del Toro, John Travolta ou encore Emile Hirsch a quoi séduire mais on appréciera surtout que les caméras s’attardent plus particulièrement sur le trio Lively/Johnson/ Kitsch. Ils apportent une vraie touche de fraicheur même leurs personnages paraissent un peu trop apprivoisés dans un scénario qui n’a lui rien de très moderne mais qui a, heureusement pour nous, l’avantage de toujours fonctionner. Fun et quand même assez sanglant (voire même gore sur certaines scènes), on retrouve avec grand plaisir une facette plus sauvage du réalisateur qu’on avait presque fini par oublier.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que si fumer tue, vendre de l’herbe à fumer tue encore plus !

  • Killer Joe

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    S’il ne trouve pas rapidement 6000 Dollars, notre pote Chris Smith (Emile Hirsch) est mort ! La seule solution qu’il ait pu trouver c’est d’assassiner sa mère dont l’assurance-vie pourrait rapporter 50 000 Dollars et dont le bénéficiaire serait Dottie (Juno Temple), la petite sœur de Chris. Après tout à qui manquerait cette femme ? Certainement pas à son ex-mari Ansel (Thomas Haden Church) qui finit par accepter le plan machiavélique de son fils. Reste maintenant à trouver quelqu’un pour faire le travail et ils vont faire appel à un certain Joe Cooper (Matthew McConaughey), un flic qui arrondit ses fins de mois en exécutant quelques contrats. Le seul souci c’est qu’ils ne peuvent pas payer d’avance mais Joe est prêt à faire une exception si on lui verse une caution qui n’est autre que Dottie !

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    Bienvenue chez les Smith, une famille vraiment pas comme les autres et qui va certainement vous marquer ! Qu’il est bon d’avoir de charitables enfants qui se mettent à fomenter l’assassinat de leur mère et le réalisateur de L’exorciste William Friedkin vous réserve bien d’autres surprises dont 1 scène entre Gina Gershon & Matthew McConaughey que vous n’oublierez pas de si tôt. Au cœur d’une Amérique profonde, les personnages introduits sont tous très caricaturaux mais chacun des comédiens donnant le meilleur de lui-même ; on ne s’ennuie donc jamais. Killer Joe est une belle réussite, un thriller étonnant d’où jaillit de belles idées mais à la conclusion tout de même bien frustrante.

     

    Il faut le voir pour : Stopper le KFC quelques semaines …

  • The darkest hour

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    Avec leur idée de réseau social conçu spécialement pour les globe-trotters du monde entier, nos potes Sean & Ben (Emile Hirsch & Max Minghella) sont certains que la gloire leur tend les bras. C’est d’ailleurs pour présenter leur projet qu’ils se rendent à Moscou mais une fois arrivés, ils ont la mauvaise surprise de constater que leur idée leur a été dérobée. C’est donc dans un bar qu’ils vont noyer leur chagrin et leur moral remonte légèrement lorsqu’ils croisent Natalie & Anne (Olivia Thirlby & Rachael Taylor). Alors que la soirée suivait tranquillement son cours, une panne d’électricité générale vient perturber les fêtards et lorsqu’ils sortent, ils aperçoivent de nombreux points de lumières descendant du ciel. Ils n’en n’ont pas encore conscience mais l’humanité vit peut-être ses dernières heures !

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    L’histoire d’aliens qui débarquent sur notre planète pour nous massacrer et nous piquer nos ressources naturelles, on y a droit quasiment chaque année et The darkest hour ne risque pas de marquer sa différence. Le scénario est vite expédié, tout l’intérêt reposant sur les combats entre les survivants et ces espèces de pieuvres aussi lumineuses qu’une guirlande de noël. C’est donc du rabâché et il n’y a hélas rien pour nous satisfaire pas même une version 3D inexistante ; que ce soit du déjà-vu ok mais au moins mettez-y un peu de fun que diable ! Même en le considérant au 2nd degré, on a du mal à rester attentif devant ce film qui aurait bien mérité d’atterrir directement en DVD et encore !



    Il faut le voir pour : Attacher une ampoule autour de votre cou quand vous sortez le soir.

  • Hotel Woodstock

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    Endettés jusqu’au cou, le motel El Monaco qui appartient à SonIa & Jake Teichberg (Imelda Staunton & Henry Goodman) pourrait bien être saisi s’ils ne parviennent pas rapidement à trouver de l’argent pour rembourser leur hypothèque. Leur fils Elliot (Demetri Martin) tente bien de les aider comme il le peut mais jusqu’à présent la chance ne semble pas vouloir leur sourire. Le jeune homme entend alors parler d’un festival hippie qui devait s’organiser dans la ville voisine mais qui a été annulé au dernier moment. Il prend ainsi la décision de les contacter afin qu’ils viennent organiser cet évènement à White Lake, ainsi commence l’aventure du festival de Woodstock.

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    Evènement ô combien historique, Woodstock fête cette année son 40ème anniversaire l’occasion pour Ang Lee de rendre un hommage particulier à ce festival. Il faut tout de suite savoir qu’Hotel Woodstock n’est pas là pour vous faire revivre le méga-concert et c’est aussi frustrant que de se retrouver à la porte d’une belle fiesta sans pouvoir y entrer. Adaptation des mémoires d’Elliot Tiber, c’est de sa seule perspective qu’on va vivre cette manifestation et c’est bien là le plus gênant. Le réalisateur taïwanais a réussit à restituer à merveille l’esprit du festival mais dans le même temps où il nous prive de tout ce qui fait son intérêt ; énorme déception donc !



    Il faut le voir pour : Interdire les brownies à vos parents.

  • Harvey Milk

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    Au soir de son 40ème anniversaire, Harvey Milk (Sean Penn) fait une heureuse rencontre, celle de Scott Smith (James Franco). Il n’est alors que simple employé dans une compagnie d’assurances à New York où il prend toutes les précautions nécessaires pour cacher son homosexualité. Pour vivre pleinement leur relation, le couple part alors s’installer à San Francisco où ils ouvrent une boutique spécialisée dans la photo mais l’accueil est plutôt glacial. A partir de ce moment-là, le quartier de Castro devient le rendez-vous des homosexuels considérés alors comme des pestiférés et Harvey va alors s’engager jusqu’à devenir conseiller municipal.

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    Personnage emblématique de la communauté gay ; Harvey Milk était jusqu’à maintenant une figure peu connue chez nous mais l’Oscar du meilleur acteur remis à Sean Penn a changé la donne. Il fut le premier homosexuel à occuper une fonction officielle à San Francisco mais surtout il a permis la reconnaissance des siens en défendant leurs droits. Gus Van Sant retrace avec talent la vie extraordinaire de Milk et s’entoure d’une belle brochette de comédiens avec évidemment Sean Penn mais aussi James Franco & Emile Hirsch. Un film indispensable pour enrichir sa culture personnelle.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi crottes de chien et politique sont indissociables.

  • Speed Racer

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    C’est plus fort que lui, notre pote Speed Racer (Nicholas Elia / Emile Hirsch) pense constamment aux courses automobiles où qu’il soit. Cette passion coule dans le sang de la famille et ce n’est pas un hasard si Rex (Scott Porter), le grand frère de Speed, est devenu l’un des plus grands champions au monde. Pourtant, Rex a soudainement quitté sa famille et changé radicalement de style pour devenir un pilote aux méthodes douteuses jusqu’au jour où il perd la vie lors d’un terrible accident. Les années ont passé et Speed a surmonté cette immense douleur, il a repris le flambeau en devenant lui aussi un champion émérite.

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    Mesdames et messieurs, mettez vos ceintures et attachez-vous bien car vous allez être pris dans un tourbillon de vitesse et de couleurs ! Après l’univers virtuel de Matrix, Les frères Wachowski signent un retour remarqué avec l’adaptation de Speed Racer, un dessin animé japonais qui date de la fin des années 1970. Là encore, on est projeté dans un autre monde avec ces courses futuristes, des voitures au design improbable et un panel de couleurs criardes. Le film est trop ambitieux, on rentre difficilement dedans mais réussit en tout cas à se singulariser par rapport à ce que l’on a l’habitude de voir au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus avoir honte de porter des chaussettes rouges.
  • Les seigneurs de Dogtown

    Nous sommes en 1975 sur les cotes californiennes où nous retrouvons 3 jeunes garçons dont les noms resteront dans les mémoires : Jay Adams, Tony Alva & Stacy (Emile Hirsch, Victor Rasuk & John Robinson). Leur passion c’est le skate-board et à force de faire chauffer la gomme, ils sont devenus de véritables petits champions dans cette bonne vieille ville de Dogtown. Quand ils ne roulent pas, ils se réunissent dans le magasin Zephyr géré par Skip Engblom (Heath Ledger) qui se rend bien compte qu’il a en sa présence des talents à l’état pur. Skip va donc les inscrire à un concours défendant ainsi les couleurs de Zéphyr ce qui va lui permettre de lancer un véritable business.

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    Bien loin d’un simple film sur des champions de skate-board, Les seigneurs de Dogtown c’est avant tout le portrait de 3 grands champions mais dont les destins ont divergé. Ceux que l’on appelait les Z-boys ont apporté une véritable révolution à leur passion en important certaines figures issues du surf à leurs simples skates. A la réalisation on retrouvé Catherine Hardwicke, un nom qui ne vous dit certainement rien mais à qui l’on doit déjà l’excellent Thirteen. Pour les amateurs de skate-board, voilà donc un film très intéressant sur la vie de ces champions qui avaient également fait l’objet du documentaire Dogtown & Z-Boys.

     

     Découvre le film Dans la peau du héros !