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dvd - Page 17

  • Dark Water (US)

     

    2005, New York City. Dahlia Williams (Jennifer Connelly) a bien des soucis en tête actuellement et notamment la procédure de divorce avec Kyle (Dougray Scott). Au milieu de cet ancien couple, il y a l’adorable Cecilia Williams (Ariel Gade) dont la garde est pour le moment confiée à sa mère. Cette dernière a trouvé un appartement Roosevelt Island situé à quelques minutes de Manhattan en empruntant le Tram. Le quartier n’est pas très accueillant mais il y a une école à proximité ce qui arrange les affaires de Dahlia. Tout se passe plutôt bien jusqu’au moment où elle constate une fuite d’eau qui semble provenir de l’étage au-dessus.

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    L’imagination débordante des américains fait encore ses preuves avec Dark Water qui n’est autre que le remake du film japonais homonyme. Du coté du soleil levant, c’est le réalisateur Hideo Nakata qui avait concocté le film originel ; un nom pas complètement inconnu puisque déjà responsable de la saga Ring (qui fut aussi pompé par les américains). Pour en revenir à ce remake, je vous conseille plutôt de louer le film japonais où l’on entre davantage dans l’ambiance. La version américaine de Dark Water n’apporte strictement rien si ce n’est quelques dollars dans les poches des producteurs et un profond ennui.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !

  • Burn after reading

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    Il s’est fait crucifié ! Les mots sont peut-être un peu fort mais voilà ce que ressent notre pote Osborne Cox (John Malkovitch) après avoir été viré de la CIA. Après cette terrible nouvelle, il décide alors de se lancer dans l’écriture de ses mémoires car en tant qu’ancien analyste, il a vu passé pas mal de choses. Ce qu’il ne sait pas c’est que sa femme Katie (Tilda Swinton) a l’intention de le quitter et rassemble actuellement des informations confidentielles à son insu. Pendant ce temps, dans un club de gym, des employés tombent sur un CD qui semble être d’une grande importance et ils parviennent à identifier un nom, celui d’Osborne Cox !

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    Après l’énorme succès critique recueilli par No country for old men ; les frères Coen reviennent à la comédie. Pour l’occasion, ils se sont payés le luxe de réunir les 2 playboys d’Hollywood George Clooney & Brad Pitt dans des rôles complètement contre-natures.  Le premier est un playboy de bas étage adepte du jogging post-coït tandis que le second est un coach de gym qui a regardé un peu trop de films. Décalé, Burn after reading est une bonne petite comédie qui doit beaucoup également aux présences remarquées de Tilda Swinton & Frances McDormand.

     

    Il faut le voir pour : Se poser des questions sur les hommes qui font beaucoup de jogging.

  • Fast Track : Sans limite

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    Cette fois, c’est la dernière chance pour Katie (Erin Cahill) si elle veut sauver son garage. Elle va devoir trouver plus de 50 000 Dollars en seulement quelques jours pour payer ses dettes afin de conserver cette affaire familiale. Un lieu qu’elle chérit plus que tout depuis la mort de tous ses proches. Pour réunir une telle somme, elle n’a d’autres choix que de faire des paris sur des courses illégales grâce au pilote fantôme qui court pour elle. Ce pilote n’est autre qu’Eric (Joseph Beattie), un jeune flic.

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    Fast & Furious continue de faire des émules partout dans le monde et nos potes allemands voulaient eux aussi participer à la fête. Vitesse, belles bagnoles et une pincée de jolies nanas sont donc au programme de Fast Track : Sans limite que l’on peut qualifier de Fast & Furious version téléfilm. L’intérêt de ce genre de film est tout trouvé ; il ravira les amateurs de courses en caisses et autres engins customisés pour rendre les bagnoles aussi visibles qu’un gilet jaune (désormais obligatoires !) Bref, un film à voir si votre permis a été suspendu quant aux frissons, on repassera.

  • Une journée de merde !

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    Pour Marc Chanois (Richard Berry), ça devait être une journée mémorable ; celle où il pourrait enfin demander la main de sa bien-aimée Sabine (Moonha N’diaye). Il faudra être patient et attendre le diner avec ses parents, pour le moment direction le bureau où il doit finaliser un gros contrat avec M.Zucker (Philippe Magnan). Hélas tout ne va pas se passer comme il avait prévu avec tout d’abord la visite inopinée de Martine (Anne Brochet), une ex qu’il n’a pas revu depuis 5 ans. Les imprévus s’accumulent notamment à cause du voisinage et ça devient vraiment une journée de merde !

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    Parce que chacun de nous a déjà vécu ce type d’expérience, on était en droit d’attendre d’Une journée de merde une comédie digne de ce nom. Malheureusement, ce ne sera qu’un coup dans l’eau car on ne peut pas dire que les mésaventures de Richard Berry nous étouffent de rire. Les situations cocasses s’enchainent durant cette journée qui parait être un long cauchemar mais la mayonnaise ne prend à aucun moment. On sent que tout est tiré par les cheveux et il vous faudra être bien magnanime si vous voulez voir ce film qui ne risque pas de sauver votre mauvaise journée !

  • Charm School

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    Cette fois Adela (Martha Higareda) a dépassé les bornes ! Son père, le sénateur Martin Leon (Rafael Sanchez Navarro) comptait sur cette rencontre primordiale avec Van Der Linde (Roberto D’amico) pour officialiser sa candidature au poste de Maire de Mexico. Mais Adela fait parler d’elle lorsqu’elle se fait arrêter par la police, une situation inacceptable qui finit par convaincre Martin d’envoyer sa fille dans une école spécialisée. Au terme de ce stage, elle sera une vraie dame encore faut-il qu’elle accepte de se métamorphoser en femme d’intérieur.

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    Une comédie made in Mexico qui met en lumière les difficiles relations entre un père subjugué par son travail et une jeune femme qui a besoin de se sentir aimé. Pas vraiment le scénario qui risque de déclencher des étincelles, c’est une comédie qui n’invente rien et pire que ça tout est beaucoup trop prévisible pour que l’on reste scotché devant l’écran. Charm School se contente donc du minimum syndical et malgré la présence de la pétillante Martha Higareda (entraperçue dans Au bout de la nuit), on sent vite l’ennui pointer son nez.

  • Je suis un cyborg

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    Tout a commencé lorsque sa grand-mère a été emportée par ce qu’elle appelle les blanchots,  c’est par ce terme personnel qu’elle désigne les médecins et les infirmières. A cet instant là, Cha Young-Goon (Lim Soo-Jung) a eu une révélation ; elle est un cyborg ! C’est à l’usine où elle travaille que les évènements ont dérapé, elle s’est ouvert le bras et a inséré des fils électriques dans son corps. Sa mère pensait qu’il s’agissait là d’une tentative de suicide et l’a alors placé dans un centre spécial pour la soigner. Entourée d’autres patients, Young-Goon passe ses journées à parler avec les néons et ne se nourrit qu’en se rechargeant avec des piles.

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    Il n’y a vraiment que le cinéma asiatique pour nous sortir des scénarios aussi excentrique ! Outre le personnage principal qui se prend pour un Terminator et qui rêve de massacrer tous les médecins qui l’entourent, c’est toute une galerie de phénomènes qui se présente dans Je suis un cyborg. Du mec qui vole des choses on ne peut plus subjectifs à celui qui culpabilise pour tout et n’importe quoi ; on en voit de belles. Plutôt curieux et sympathique, on regrettera un dénouement assez lent et pas très consistant qui plombe un peu le film.

  • Impact point

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    Joueuse de Beach-volley prometteuse, Kelly Reyes (Melissa Keller) voit ses rêves d’atteindre la finale du championnat s’effondrer après sa défaite. Mais un drame va bouleverser les choses, sa rivale meurt dans un accident de voiture et Kelly se voit proposer de prendre sa place pour disputer la finale. Elle devient ainsi la nouvelle coéquipière de Jen Crowe (Kayla Ewell) qui l’accueille froidement et la met en garde sur les menaces qu’avait reçue son ancienne partenaire. Pendant ce temps, Kelly fait la connaissance d’Holden Gregg (Brian Austin Green), célèbre journaliste sportif qui souhaiterait lui consacrerait un article.

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    Le beach-volley est un sport peu médiatisé et c’est bien dommage car voir de jeunes femmes en bikini taper le ballon ça a de quoi ravir de nombreux spectateurs. Alors qu’on s’attendait à un florilège de matchs de volley et de ralentis sur les phases de jeu des demoiselles, Impact Point se transforme vite en un thriller peu convaincant. L’intrigue est balancée au bout de 20 minutes et par la suite le pauvre Brian Austin Green (mais oui le David de Beverly Hills !) n’a pas vraiment l’envergure pour capter notre attention. Film de série B qui ne mérite même pas qu’on lui laisse une petite chance.

  • The eye

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    Depuis l’âge de 5 ans, notre pote Sydney Wells (Jessica Alba) a du apprendre à vivre sans ses yeux. Au fil des années, elle a développé ses autres sens pour évoluer au quotidien mais aujourd’hui un espoir se profile à l’horizon. Après une opération, on lui a greffé de nouvelles cornées lui permettant de retrouver peu à peu la vue. Après toutes ces années dans l’obscurité, la jeune femme va pouvoir voir de ses propres yeux tout ce qui l’entoure et cela pour la plus grande joie de sa sœur Helen (Parker Posey). Tout irait dans le meilleur des mondes si Sydney n’était pas victime d’étranges visions ; à de nombreuses reprises elle semble percevoir une ombre noire.

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    Encore un remake de la part de nos amis américains qui reprennent donc le film des frères Danny & Oxide Pang (Bangkok Dangerous) qui donnera naissance à une trilogie. Le gros du travail étant déjà fait, on a confié le projet aux mains de frenchies en la personne de Xavier Palud & David Moreau qui avaient réalisé Ils en 2006. Malheureusement, The eye entre vite dans le moule des autres remakes du même genre et ce n’est pas la présence de la belle Jessica Alba qui va changer les choses. Quelques sursauts par ci, un peu de surnaturel par là et une ombre numérique en guise de vision cauchemardesque en bref pas un film qui nous en mettra plein les yeux !

  • Undead or alive

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    Une bagarre dans un saloon, il n’y a rien de plus normal dans le Far-West et pourtant nos potes d’enfance Elmer Winslow & Luke Budd (James Denton & Chris Kattan) vont se retrouver derrière les barreaux. Non seulement, les voilà prisonniers mais en plus de ça, leur voisin de cellule est un certain Ben (Brian Posehn) arrêté pour avoir dévoré les cervelles de sa femme et de sa fille. Profitant de l’inattention de leur gardien, ils parviennent à prendre la poudre d’escampette laissant derrière eux Ben livré à son pauvre sort. C’est la pendaison qui l’attend demain mais rien ne sert de pendre quelqu’un qui est déjà mort car c’est un zombie !

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    Des zombies au milieu d’un western, voilà une idée géniale qui aurait pu donner naissance à un excellent film. J’utilise le conditionnel car comme vous pouvez vous en douter, Undead or alive est un bon vieux nanar tourné en vitesse et qui ne tient en aucun cas ses promesses. On retrouve James Denton (le Mike Delfino de la série Desperate Housewives) en déserteur de l’armée américaine affublé d’un cowboy pas très habile de ses mains. Avec tout ça, mettez des pseudo-zombies puisqu’ici le mort-vivant est encore très expressif & des effets spéciaux dignes du standing du film. Bref à moins de se doper aux films de série B, on va vite l’oublier.

  • Grégoire Moulin contre l’humanité

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    C’est une nouvelle vie qui commence pour notre pote d’enfance Grégoire Moulin (Artus de Penquern) qui est venu s’installer à Paris. C’est à la suite de la disparition de sa grand-mère terrassée en pleine chasse aux mouches qu’il a sauté le pas et a trouvé ce travail au sein de l’Urbaine d’assurance vendéenne. Un boulot pas très passionnant mais qui lui permet de voir et revoir la belle Odile Bonheur (Pascale Arbillot), une prof de danse qui travaille juste en face. A midi, il la retrouve à la brasserie mais n’ose pas l’aborder et il a alors l’idée de lui voler son portefeuille afin de lui rendre plus tard. C’est là que débutent les ennuis !

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    On n’est jamais mieux servi que par soi-même et c’est pourquoi  on retrouve Artus de Penquern aussi bien derrière que devant la caméra. Pour sa première réalisation, il nous offre ainsi une comédie complètement loufoque avec Grégoire Moulin contre l’humanité et un héros assez simplet qui va vivre de drôles d’aventures. Il ne faut pas s’attendre à des crises de rire mais on se laisse vite entrainer par les improbables péripéties de Grégoire. Film léger et sans prétention, ça vous fera passer du temps.

     

    Découvrez le film Dans la peau du héros !