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  • D-War - La guerre des dragons

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    Selon une légende coréenne, tous les 500 ans nait une femme capable d’éveiller le dragon le plus majestueux du monde appelé Imoogi. Retour au présent avec notre pote Ethan Kendrick (Jason Behr), journaliste qui enquête actuellement sur un drôle d’évènement où il se retrouve nez à nez avec quelque chose qui lui semble familier. Il se souvient du jour où on lui a raconté cette vieille légende et confié cette amulette avec une mission : chercher la jeune fille à la marque de dragon, le Yah Yi Joo. Cette fille c’est Sarah Daniels (Amanda Brooks) et il va devoir absolument la retrouver car c’est le destin du monde qui en dépend.

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    Un film qui aurait mérité une sortie dans les salles obscures ne serait-ce que pour mieux profiter des effets spéciaux qui parsèment l’histoire. Justement, au niveau du scénario, on s’est un peu compliqué la tache avec ses vieilles légendes et un peu plus de clarté aurait permis à D-War – La guerre des dragons d’être plus abordable aux spectateurs. On se retrouve donc avec un film d’action avec des scènes de combats bien impressionnants mais à coté de ça, c’est un peu le vide au niveau de l’intrigue. Le cinéma sud-coréen est en pleine expansion et veut rattraper les blockbusters d’Hollywood mais une farandole d’effets spéciaux ne suffisent pas à faire le succès d’un film.

  • Walk Hard : The Dewey Cox Story

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    L’enfance de notre pote Dewey Cox (Conner Rayburn/John C. Reilley) est un vrai drame. Tout a débuté lorsqu’il jouait avec son frère dans la grange et qu’il l’a accidentellement découpé en deux. Le médecin n’ayant pas réussi à recoller les morceaux, Dewey a du vivre avec cette mort sur la conscience et en plus de cela, son père le tient pour responsable. C’est alors qu’il a retrouvé du réconfort dans la musique d’abord simple homme de ménage, il monte bientôt sur la scène pour démontrer tout son talent. Alors que personne n’y croyait, Dewey Cox devient l’un des plus grands artistes avec la sortie de son tube Walk Hard qui bat tous les records.

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    Incroyable que ce film n’ait pas eu droit à une sortie au cinéma car voici une excellent comédie estampillée Judd Apatow (40 ans, toujours puceau/En cloque, mode d’emploi). Enfin, une parodie drôlement intelligente qui s’intéresse aux biopics et plus spécifiquement à celui de Johnny Cash dans Walk the line. C’est John C. Reilly qui se métamorphose en un Dewey Cox vraiment hilarant et si vous aviez aimé sa prestation dans Frangins malgré eux, vous allez l’adorer ici. Il faut absolument vous procurez ce film car une comédie bien barrée comme on les aime et on en redemande encore. Walk Hard : The Dewey Cox Story c'est le Coup de cœur Ciné2909 du moment !

  • May

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    Parce qu’elle avait des problèmes de vue durant son enfance, May (Angela Bettis) a toujours été tenue à l’écart par ses camarades. Pour la consoler de cette solitude, sa mère lui avait offert à l’époque une poupée qui deviendra sa confidente et sa pote d’enfance. Les années ont passé et May est aujourd’hui une jeune femme en proie aux premiers émois amoureux. Elle a jeté son dévolu sur Adam (Jeremy Sisto) dont elle ne se lasse pas de contempler les mains mais là où une belle histoire d’amour aurait pu commencer, c’est une toute autre histoire qui va se dérouler.

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    La perfection n’existe pas en ce bas monde tel est le message de ce film justement bien imparfait. C’est lent, c’est triste, c’est May et c’est pas vraiment le genre de film que je vous conseillerais de jeter un œil. Il faut s’accrocher pour suivre les aventures amoureuses de cette jeune femme renfermée et son ascension dans la folie. Seule chose un tant soit peu intéressante, la création de sa nouvelle pote d’enfance mais encore faut-il que vous soyez encore réveillée à ce moment là ! En tout cas, j’espère que cela dissuadera de nombreuses mères d’offrir des poupées à leurs filles de peur de les transformer de psychopathes.

  • See No Evil

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    Quand un groupe de jeunes délinquants se voit proposer une occasion de quitter la prison dans laquelle ils sont enfermés, ils n’hésitent pas une seconde. Ils prennent ainsi la direction d’un vieil hôtel délabré qu’il faut rénover en échange d’une réduction de peine sans savoir que c’est une aventure sanglante qui les attend. La nuit venue, ils explorent les différents étages de cet hôtel mais une menace inconnue fait alors son apparition arrachant les yeux de chacune de ses victimes. C’est un véritable monstre qui vit dans cet hôtel et il part à la recherche de nouvelles proies armé de son crochet.

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    Déjà que les films d’épouvante manquent cruellement d’originalité, voilà qu’en plus la fédération de catch WWE se lance elle aussi dans le cinéma. Mettant en vedette le monstre Kane (de son vrai nom Glen Jacobs), See No Evil n’apporte rien de plus que ses prédécesseurs et attirera avant tout les amateurs de ce sport si noble. Accompagné de son lot habituel de jeunes acteurs prêts à se faire trucider, les producteurs n’ont vraiment pris aucuns risques. On peut quand même relever quelques scènes susceptibles de heurter la sensibilité des plus jeunes mais face à certains films, cette violence parait presque dérisoire. A réserver aux amateurs de catch !

  • Starship Troopers 3 : Marauder

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    C’est un grand jour pour le Colonel Johnny Rico (Casper van Dien) et ses hommes car ils vont recevoir la visite du Sky Marshal Omar Anoke (Stephen Hogan) ; le légendaire héros de la Fédération. C’est accompagné du Général Dix Hauzer (Boris Kodjoe) et du Capitaine Lola Beck (Jolene Blalock) qu’il atterrit sur la planète Roku San, la ligne de front de la Seconde guerre contre les parasites. Or les choses se gâtent quand les boucliers électriques tombent en panne et une véritable boucherie commence. Le Sky Marshal a le temps de s’enfuir mais sera obligé d’emprunter une navette de secours qui échouera sur la planète OM-1.

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    S’il y a de la place pour un second épisode pourri, il y en a surement pour un 3ème tout aussi dénué de qualités. Les producteurs font quand même l’effort de faire revenir leur héros originel Casper Van Dien que l’on avait complètement perdu de vue depuis le premier épisode. Pour en revenir au film, on espère que Starship Troopers 3 : Marauder sera la dernière déclinaison de la saga car ça commence à virer franchement au ridicule. A certains moments, on se demande même si on n’est pas devant un épisode des Power rangers les costumes en collant en moins. Avec le second épisode, voici ce qui finira de vous achever et de vous dégouter de Starship Troopers.

     

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  • 2001 Maniacs

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    Enfin, les cours sont terminés ! Place maintenant aux vacances et direction Daytona Beach pour Anderson Lee (Jay Gillespie) et ses deux potes d’enfance. Le programme est simple ; la plage, le soleil et un maximum de nanas. Oui mais encore faut-il qu’ils arrivent à destination car sur la route ils tombent sur une déviation qui va les conduire dans un endroit bien particulier ; la Vallée des plaisirs. Sans trop comprendre pourquoi, ils sont accueillis par toute cette communauté pour le moins surprenante et notamment par leur maire Buckman (Robert Englund).

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    Voici venir un film d’horreur bien décalé par rapport à ce qu’on peut voir d’habitude. Ici, mieux vaut apprécier le 2nd degré pour apprécier à sa juste valeur 2001 Maniacs car d’une part l’histoire principale est très banale mais surtout ce sont les personnages qui sont volontairement dépeints comme des "attardés" de la lointaine campagne. Evidemment, malgré le coté un peu comique de la situation, ça reste un film d’horreur avec tout ce qu’il faut en matière d’hémoglobine et de scènes gores qui feront le bonheur des amateurs du genre.

  • Seth Gecko - Une nuit en enfer

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    Seth Gecko : Everybody be cool, you…be cool !

     

     

     

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  • 40 ans, toujours puceau

    Andy Stitzer (Steve Carell) a 40 ans et est toujours puceau ! Il faut dire qu’il n’a pas une vie très palpitante passant ses week-ends à lire des comics ou à s’éclater devant les jeux vidéos. La roue va tourner puisqu’il est invité par ses collègues de travail David, Jay & Cal (Paul Rudd, Romany Malco & Seth Rogen) à une partie de poker. Au fil des discussions, ses nouveaux potes d’enfance apprennent qu’il est toujours puceau et se voient alors investis d’une mission d’une importance capitale : lui faire abandonner sa vie de puceau !

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    Pour ceux qui ne l’auraient pas deviné, le thème du film est évidemment le sexe ! Compilation de vannes douteuses, de grossièretés (tout ceci étant à prendre au moins au second degré) ; 40 ans, toujours puceau finit par être assez lassant sur la longueur. Pourtant, le portrait d’Andy est criant d’authenticité car il faut dire que le réalisateur Judd Apatow est lui aussi un sacré geek. Une scène toutefois à découvrir d’urgence, la véritable épilation du torse de Steve Carrell, un moment d’anthologie du cinéma !

  • Starship Troopers 2 : Héros de la fédération

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    La guerre contre les arachnides fait rage ! Le Général Jack Shepherd (Ed Lauter) et ses soldats sont actuellement en train de défendre chèrement leur peau face à des milliers d’insectes. Attaqués de toute part, une première unité parvient à atteindre une base laissée à l’abandon où il tombe nez à nez sur un prisonnier ; Dax (Richard Burgi) ancien soldat. Ils sont rejoints par le Général quelques instants plus tard qui est accompagné du Caporal Joe Griff (Ed Quinn) & le Sergent ingénieur Ary Peck (J.P. Manoux). Alors qu’ils attendent un rapatriement, tout le monde ignore que l’ennemi est en fait au sein même du camp.

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    Pas étonnant après le succès du film de Paul Verhoeven de voir débarquer une suite. Pas étonnant non plus qu’on ait eu droit à un épisode aussi peu inspiré où le seul intérêt reste encore de voir des arachnides se faire dégommer. Histoire de faire évoluer un peu la saga, les bestioles ont muté de sorte à pouvoir désormais s’infiltrer dans l’organisme des humains ce qui nous réserve des rebondissements loin d’être surprenants. Starship Troopers 2 : Héros de la fédération a tout de la suite purement commercial d’où cette exploitation direct en DVD ce qui vous donne une idée de sa valeur.

     

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  • Pathfinder

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    Il n’était encore qu’un enfant lorsqu’on l’a retrouvé tremblant de peur par le massacre dont il venait d’être témoin. Parce qu’il a refusé de donner le coup de grâce à une des victimes, Ghost (Karl Urban) fut rejeté par les siens et a ainsi été adopté par la tribu des Wampanoag. Des années plus tard, alors que son village vivait en pleine prospérité, des barbares viennent répandre la terreur en tuant tous ceux qui ont le malheur de croiser leur regard. Notre pote Ghost échappe in extremis à la mort mais dans sa fuite, il va conduire ses ennemis auprès du village voisin. Pour éviter un nouveau massacre, il va tenter de stopper leur avancée mais a-t-il réellement une chance seul contre toute une armée ?

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    Dans la nuée des films d’aventures et d’action qui sortent chaque année, il est difficile de se faire une place surtout avec le peu d’arguments proposés par Pathfinder. Si l’ambiance sombre et violent et les quelques gerbes de sang nous projettent dans la brutalité de leur environnement, on regrette vite le manque d’initiatives du réalisateur. Une chose d’autant plus regrettable quand on sait qu’il s’agit d’un remake du film norvégien de la fin des années 1980, Le passeur. Il manque également un comédien de plus grande envergure pour interpréter le héros et espérer nous intéresser un tant soit peu. Le film est malheureusement trop linéaire, manquant de panache et sans éclats pour briller à nos yeux !