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dvd - Page 20

  • Les chevaliers du ciel

    Antoine Marchelli (Benoit Magimel) a réalisé son rêve, celui de piloter un avion et il est vite devenu l’un des meilleurs dans sa catégorie. A ses cotés, on retrouve son équipier et pote d’enfance Sébastien Vallois (Clovis Cornillac) ; un pilote non moins talentueux mais au comportement parfois trop dissipé. A l’occasion d’une démonstration, un Mirage 2000 est dérobé sous leurs yeux et les 2 pilotes ont alors comme mission de neutraliser l’avion. En plein ciel, la moindre erreur se paie cash mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises car ce vol n’était en fait qu’un exercice.

     

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    Quand on sait que le réalisateur de ce film est un certain Gérard Pirès, on serait tenté d’avoir quelques craintes. Pour rappel aux moins cinéphiles d’entre vous, il nous a notamment proposé le premier volet de la saga Taxi et un autre film passé relativement inaperçu Riders. Les chevaliers du ciel c’est aussi et surtout une bande dessinée crée par Jean-Michel Charlier & Albert Uderzo dont les premières aventures remontent tout de même à 1959 ! On pouvait s’attendre à un Furtif à la française mais en fait le scénario est plus développé qu’il n’y parait. Un bon film qui ne se contente donc pas de loopings pour nous amener au 7ème ciel.

  • Bangkok Dangerous (TH)

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    Il a beau être sourd et muet, cela ne l’empêche pas d’être dangereux. Kong (Pawalit Mongkolpisit) est un tueur à gages et une fois qu’il a reçu son ordre de mission, il ne manque jamais sa cible. Repéré et formé par son pote d’enfance Jo (Pisek Intrakanchit), tous deux gagnent leur vie en éliminant leurs victimes désignées. C’est lui qui lui a tout appris du métier ; tirer au revolver, se battre et se sortir des situations les plus compliquées. Soudain, Kong tombe amoureux. Elle s’appelle Fon (Premsinee Ratanasopha), elle travaille dans une pharmacie et une belle relation débute jusqu’à ce qu’elle apprenne qu’il est un tueur.

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    Un film thaïlandais étonnant qui se permet pas mal de choses au niveau de la réalisation. Bangkok Dangerous fourmille de bonnes idées et surtout nous offre autre chose que les films d’action de Tony Jaa et devient un incontournable du cinéma Thaïlandais. On peut toutefois regretter que les personnages principaux manquent de charisme tant et si bien qu’on a parfois du mal à les imaginer en tueur professionnel. Hollywood n’a pas mis longtemps à reconnaitre les qualités de ce long-métrage en proposant aux réalisateurs Oxide & Danny Pang de réaliser eux-mêmes une version américaine avec comme vedette principale Nicolas Cage. Si les states commandent un remake vous pouvez être certain que c’est un bon film !

  • Control

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    Lee Ray (Ray Liotta) aurait pu être un homme comme un autre mais le destin en a décidé autrement et certains évènements ont fait de lui un meurtrier particulièrement violent. Il est sur le point d’être exécuté par injection pour les crimes qu’il a commis et la société ne le regrettera pas ! Pourtant, cette exécution n’est qu’une mascarade, il a été choisi pour être un sujet d’expérimentation du Docteur Michael Copland (Willem Dafoe) en compagnie de 19 autres condamnés. L’objectif est de faire disparaitre toute trace de violence de leurs esprits avec un simple cachet, rêve ou réalité ?

     

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    Control est un film intéressant à plus d’un titre car il permet d’une part de retrouver 2 grands acteurs de talent que sont Ray Liotta & Willem Dafoe et d’autre part parce qu’il traite d’un thème régulièrement d’actualité avec la réinsertion des anciens criminels. C’est un véritable plaisir de retrouver Ray Liotta qui nous étonne une fois de plus (et qui mériterait plus de reconnaissance) dans la peau de ce criminel repenti. Débarqué directement dans nos rayons DVD, c’est un film qui mérite largement le coup d’œil et que je vous invite vivement à découvrir.

  • Dirty Love

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    Rebecca (Jenny McCarthy) était convaincue d’avoir trouvé le grand amour en rencontrant Richard (Victor Webster), l’homme qui partagerait sa vie jusqu’à la mort. Hélas, il en faut peu pour ce mec surpris au lit en plein ébat avec une autre femme brisant ainsi une relation que Rebecca croyait sincèrement sérieuse. Complètement désespérée et dégoutée des hommes, elle peut néanmoins compter sur le soutien de ses potes d’enfance Michelle, Carrie & John (Carmen Electra, Kam Heskin & Eddie Kaye Thomas). Le destin s’acharne sur elle, partout où elle va ; elle croise son ex et Rebecca se demande si un jour elle retrouvera le véritable amour qui n’est peut-être pas si loin.

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    Avec 2 anciennes naïades issues de la série Alerte à Malibu au générique, on devine aisément quel public vise ce film. Dirty Love compte davantage sur les atouts physiques de Jenny McCarthy & Carmen Electra que sur leurs performances de comédienne pour s’imposer. Cela explique donc un scénario ô combien superficiel où les situations consternantes s’enchainent transformant ce qui se veut être une comédie en un magnifique navet. Derrière la caméra, John Mallory Asher, un  nom qui ne nous est pas complètement inconnu puisqu’il s’agit d’un des deux héros de l’ancienne série Code Lisa. Ce qui est certain c’est que ce n’est pas avec ce genre de films qu’il va se construire une solide réputation. Un des films les plus navrants vus ces dernières années.

  • Serial Noceurs

    Leur saison préférée ? Celle des mariages ! John Beckwith & Jeremy Grey (Owen Wilson & Vince Vaughn) sont deux potes d’enfance qui profitent de chaque mariage pour faire une fiesta d’enfer. Buffet à volonté, alcool qui coule à flot ; rien ne leur échappe et pourtant ils ne sont meme pas invités ! C’est sans compter sur leur savoir-faire hérité du grand maitre Chazz Reynolds (Will Ferrel), l’initiateur de ce mouvement. Cela fait maintenant près de 12 ans qu’ils vagabondent dans les différents mariages mais la lassitude semble poindre le bout de son nez notamment chez John.

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    En voilà une comédie au scénario plutôt original, voir ces 2 playboys agrandir leur tableau de chasse dans les mariages et leurs différentes techniques vous réserve de sacrés fous rires. On notera également de bons seconds rôles qui permettent à Serial Noceurs se retrouver un nouveau souffle bienvenu. Comme toute bonne comédie, les règles d’usage sont respectées et on sait pertinemment qu'on aura droit à une bonne leçon de morale ainsi qu’à un magnifique Happy End mais c’est le prix à payer pour passer un bon moment de rigolade.

  • Le silence de Lorna

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    Le rêve de notre pote Lorna (Arta Debroshi) est à portée de mains. Cela fait des années qu’elle économise dans l’espoir d’ouvrir un jour avec son compagnon Sokol (Alban Ukaj) un snack. Prête à de nombreux sacrifices, elle n’a d’ailleurs pas hésité à épouser Claudy (Jérémie Rénier) ; un junkie qui tente de décrocher. Un mariage qui lui a permis d’obtenir la nationalité belge et de gagner une belle somme d’argent. De l’argent, il y en a encore à se faire, un russe est intéressé par cette combine mais avant tout pour Lorna, il va falloir se débarrasser de Claudy.

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    Ce film des Frères Dardenne a une nouvelle fois fait du bruit lors du Festival de Cannes en 2008 où il était en compétition. Auréolé du Prix du scénario, Le silence de Lorna décrit une réalité sociale difficile où il suffit de quelques billets pour acheter la dignité humaine. Si la prestation d’Arta Debroshi, jusqu'alors inconnue du grand public, est exemplaire ; il ne faut pas non plus oublier celle de Jérémie Rénier tout aussi bouleversant. Bon film dont le sujet délicat est traité avec beaucoup de pudeur et de justesse.

    Il faut le voir pour : Projeter d’ouvrir un snack.

  • L’école paternelle 2

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    Personne ne croyait en son projet et pourtant Charlie (Cuba Gooding Jr) peut être fier de lui et de la création de son école paternelle qui est une indéniable réussite. Quel plaisir pour ce père de famille de pouvoir concilier travail et vie de famille, mais les vacances approchent et son fils Ben (Spencir Bridges) veut se rendre au camp d’été. De douloureux souvenirs se réveillent dans l’esprit de Charlie et notamment l’humiliation qu’il avait subi face au camp rival, ceux de Canola. Pour le bonheur de son garçon, il accepte de le laisser partir mais seulement au camp de Driftwood là où il avait passé ses vacances hélas ce dernier n’est plus qu’un champ de ruines

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    Le premier épisode n’était déjà pas une perle, cette suite est du même acabit. Notons tout d’abord qu’il y a eu un changement de casting pour le personnage de Charlie puisque Eddie Murphy cède sa place à Cuba Gooding Jr. Un jeu de chaises musicales qui n’est pas vraiment son importance étant donné que L’école paternelle 2 est avant tout destinée aux enfants qui apprécieront à juste titre ce film. Si vous n’avez plus l’âge de rire devant des situations aussi abracadabrantesques qu’improbables alors vous pouvez définitivement passer votre chemin. Ce qui est sur en tout cas c’est qu’il vaut encore mieux envoyer vos enfants en camps de vacances que de les laisser devant ce film.

  • What a wonderful world

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    Si vous avez besoin de passer un coup de fil, pensez à aller voir Kenza (Nezha Rahil) elle est la seule à posséder un téléphone portable dans les environs. En dehors de cette particularité, Kenza est policière, c’est elle qui se charge de réguler la circulation dans la ville de Casablanca ; une fonction qu’elle remplit avec une certaine élégance. Sa journée se termine et comme tous les soirs elle s’apprête à rentrer chez elle mais en descendant du bus, son cœur s’emballe. Lui monte dans le bus sans vraiment la remarquer pourtant leurs mains se frôlent, un seul contact et leur destin sera lié à jamais. Elle est policière, lui s’appelle Kamel (Faouzi Bensaïdi) et est un tueur à gages.

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    Passé complètement inaperçu lors de sa sortie en salles, il risque d’en être de même pour sa carrière en DVD car What a wonderful world est un film très atypique. Si on comprend vite la trame de l’histoire, on reste un peu circonspect devant le manque de conviction de certaines scènes. Cette faute atténue les rares bonnes idées qui agrémentent le film mais qui ne le sauvent pas pour autant puisqu’on est rapidement plongé dans un profond ennui. Voguant entre le policier, le drame et la romance ; ce n’est pas vraiment un film indispensable ou seulement pour enrichir un peu plus votre culture cinématographique.

  • Jean-Claude Dusse - Les bronzés font du ski

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    Jean-Claude Dusse : On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher

  • The Island

    La contamination. Cet évènement a marqué l’histoire de l’homme décimant la majeure partie de la population mondiale et seule une poignée de survivants ont réussi à échapper à ce terrible fléau. 19 Juillet 2019, une journée commence pour Lincoln Six-Echo (Ewan McGregor) qui fait partie des rescapés réunis dans un institut dirigé par le Docteur Merrick (Sean Bean). Aujourd’hui a lieu la loterie où le grand prix est un voyage sur l’Ile, le seul endroit libre en agents pathogènes où chaque homme peut vivre en totale liberté. C’est Jordan Deux-Delta (Scarlett Johansson) qui décroche le gros lot mais la vérité risque de lui réserver des surprises !

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    Michael Bay à la réalisation, un duo composé de Scarlett Johansson & Ewan Mcgregor accompagnés par Michael Clarke Duncan, Steve Buscemi ou encore Sean Bean ; ça a de quoi nous mettre l’eau à la bouche. Pourtant The island finit par n’être qu’un blockbuster parmi tant d’autres avec son univers futuriste aseptisé et son lot de scènes d’action ahurissantes à défaut d’être originales. Ça reste évidemment un bon film qui parviendra sans mal à vous faire passer le temps mais qui ne s’impose pas vraiment dans un genre dans lequel la concurrence ne manque pas.

     Découvre le film Dans la peau du héros !