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Film - Page 92

  • Belle et Sébastien

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    1943 dans un village situé dans les Alpes. C’est là que vivent Sébastien (Félix Bossuet) et celui qu’il considère comme son grand-père César (Tchéky Karyo) et tous deux traquent actuellement la "bête". Trois moutons sont morts en une semaine, il faut donc agir mais pas facile de lui mettre la main dessus. Le hasard va pourtant la placer sur le chemin du petit garçon et cette fameuse bête s’avère être en fait un chien qui fut chassé par un berger ; une merveilleuse amitié est sur le point de naitre. Pendant ce temps au village, des officiers allemands se sont présentés ; ils sont à la recherche d’une personne qui aiderait des gens à rejoindre la Suisse.

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    Petite précision personnelle mais qui doit quand même avoir son importance, l’histoire de Belle et Sébastien je la connais surtout en dessin animé or l’adaptation de Nicolas Vanier s’inspire elle de la série télévisée. Quand on connait la carrière du réalisateur, on sait qu’il est un amoureux invétéré de la nature et qu’il prend grand plaisir à filmer les animaux ce qui donne de splendides images. Avec ça vous avez un petit Félix Bossuet au visage de chenapan et une belle histoire ; ça a bien tout du divertissement idéal pour réunir la grande famille. Malgré tout, il faut bien reconnaitre que le scénario tout comme la réalisation n’est pas à la hauteur et la mièvrerie est aussi au rendez-vous.

     

    Il faut le voir pour : Faire prendre un bain à votre chien, si ça se trouve il a le poil blanc !

     

    Découvre le film Dans la peau de Sébastien !!

    En savoir plus sur Belle et Sébastien : L'aventure continue ?

  • Loulou, l’incroyable secret

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    C’était une journée bien calme pour Loulou et son frère Tom jusqu’au moment où ils ont rencontré Cornelia. Celle-ci a alors révélé à Loulou que dans la principauté de Wolfenberg vit la Princesse Olympe qui n’est autre que sa mère ! Il n’en faut pas plus à ce petit loup pour prendre la route en compagnie de Tom afin de retrouver ce parent qu’il n’a jamais connu. Un voyage qui n’est pas sans risques puisqu’à leur arrivée, ils apprennent que se déroule le prestigieux Festival de Carne à Wolfenberg et un lapin ferait un joli hors-d’œuvre ! Loulou lui ne pense qu’à retrouver sa mère mais au cours d’une petite ballade nocturne, il va atterrir avec Tom en prison.

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    A la recherche d’un bon petit film d’animation pour rassembler votre meute ?  Pas sur que Loulou, l’incroyable secret réponde à vos attentes. Déjà d’un point de vue technique, les dessins ne sont pas particulièrement attirants mais l’histoire fait intervenir une belle ménagerie d’animaux ce qui peut amuser. Il y a aussi quelques bons jeux de mots que les petits risques de manquer mais le plus gros souci c’est que la seconde partie est d’un terrible ennui ! A partir du moment où Loulou devient Loudovic, il ne se passe plus rien jusqu’à une partie de chasse expédiée. En sortant de la salle beaucoup tenteront à leur tour un jeu de mot facile en disant que c’est loupé !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’un loup et un bouc ce n’est pas incompatible.

  • Angélique

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    Son père en a décidé ainsi, Angélique (Nora Arnezeder) devra épouser le Comte Joffrey de Peyrac (Gérard Lanvin). Une décision que la jeune femme est loin d’accepter et elle cherchera par tous les moyens à y échapper sans succès. Toutefois, l’homme qu’elle va épouser n’est pas celui qu’elle imaginait et avec le temps c’est bien l’amour qui les unira. Il est vrai que Joffrey ne manque pas de caractère et que sa richesse lui donne aussi de grands pouvoirs que certains commencent à craindre. C’est d’ailleurs ce qui va convaincre le roi Louis XIV  (David Kross) de le mettre aux arrêts et de l’emprisonner à la Bastille. Angélique va alors se battre pour libérer son mari.

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    Héroïne crée par Anne & Serge Golon, Angélique a eu droit à toute une série d’aventures aussi bien en romans qu’au cinéma à travers les 5 films de Bernard Borderie. Ariel Zeitoun entend donc lui redonner une seconde jeunesse à travers le visage de Nora Arnezeder, charmante certes mais qui ne trouve pas toujours le ton juste. Il y a également quelques passages dans la mise en scène qui ont de quoi nous laisser dubitatifs et parfois on croirait avoir devant nous un film des années 1980. Il semblerait que le retour d’Angélique se fasse sur la durée mais encore faut-il que ce reboot trouve le succès auprès du public et c’est pas gagné ! Peut-être avec un autre reboot ?

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à fabriquer de l’or !

  • 16 ans ou presque

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    Avec un baccalauréat obtenu avec 3 ans d’avance, il était écrit que notre pote Arnaud Mustier (Laurent Lafitte) aurait un brillant avenir. On ne n’y est pas trompé puisqu’à 34 ans, c’est un homme accompli à la fois avocat pénaliste mais également philosophe et écrivain à ses heures perdues. Pour beaucoup c’est un modèle à suivre mais certainement pas au gout de son petit frère Jules (Victor George), un adolescent plus intéressé par les filles et les jeux vidéos que par la perspective de structurer son point de vue. Deux frères qui n’ont donc rien en commun cependant quand Arnaud apprend qu’il est atteint de LTCD et qu’il va vivre l’adolescence qu’il n’a pas vécue ça change tout !

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    Le retour à l’adolescence n’est pas un thème nouveau au cinéma si bien que Tristan Séguéla pour son premier n’a pas forcément choisi la facilité. Pas la peine d’aller plus loin pour révéler que le succès de 16 ans ou presque repose totalement sur les épaules de l’éclaboussant Laurent Lafitte. Que ce soit en philosophe tiré à 4 épingles ou en ado dévorant un Radical au grec, il est juste irrésistible. Beaucoup de rythme (et aussi de clichés) avec quelques barres de rire (oui moi aussi je suis resté jeune) notamment avec le ménage supervisé par Mouni. Voilà une bonne petite comédie convenue à souhait mais qui fait quand même du bien aux zygomatiques !

     

    Il faut le voir pour : Surveiller les femmes qui portent des doudounes !!

  • Tonnerre

    Vincent Macaigne avait besoin de se ressourcer, c'est pour cela qu'il est retourné dans la ville de Tonnerre où il a pu retrouver son père Bernard Menez. C'est là qu'il y rencontre Solène Rigot pour qui il a un vrai coup de foudre mais pour la jeune femme leur relation est-elle une histoire sérieuse ?

    Date de sortie : 29 Janvier 2014.


  • The lunchbox

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    Ce matin-là, Ila (Nimrat Kaur) a pris un soin tout particulier à préparer le déjeuner de son mari (Nakul Vaid) et lorsqu’elle a vu ce lunchbox revenir totalement vide, elle était heureuse. Une joie hélas de courte durée puisqu’elle comprendre que le repas a été livré par erreur à une autre personne et c’est Saajan (Irrfan Khan) qui a eu la chance de se régaler. Ce déjeuner est bien le dernier rayon de soleil qu’il lui reste puisqu’il approche de la retraite et que son successeur Shaikh (Nawazuddin Siddiqui) est déjà sur ses talons. Entre Ila & Saajan va alors commencer une correspondance par l’intermédiaire de petits messages glissés dans le lunchbox qui vont leur permettre de se confier l’un à l’autre.

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    Il n’y a pas de secrets, pour séduire un homme il faut déjà satisfaire son estomac et on en a encore la preuve avec The lunchbox. Les gourmands ne manqueront pas d’avoir l’eau à la bouche avec ce film de Ritesh Batra qui nous plonge en plein cœur de l’Inde et de sa riche gastronomie. D’apparence, on pourrait résumer le film en une banale comédie romantique mais ce serait vraiment le sous-estimer. Outre la relation entre Nimrat Kaur & Irrfan Khan (tous deux excellents dans leurs rôles), leurs histoires respectives soulignent surtout ce sentiment de solitude dans une société indienne paradoxalement grandissante. Un joli film mais attention, il risque de vous ouvrir l’appétit !

     

    Il faut le voir pour : Gagner du temps ; couper vos légumes dans le train en rentrant du boulot (mais mieux vaut protéger vos dossiers).

  • Tarzan

    Ho Hi Ho Hi Ho Hi Hoooo !!! Bon vous n'avez peut-être pas reconnu ce célèbre cri qui appartient au héros crée par Edgar Rice Burroughs, vous avez deviné c'est bien Tarzan ! Il revient au cinéma dans un film d'animation réalisée en performance-capture s'il vous plait !

    Date de sortie : 19 Février 2014.


  • Les sorties du 18 Décembre

     

    La semaine dernière, le monde entier disait dieu à un grand homme ; Nelson Mandela est en effet parti et malheureuse coïncidence, le film de Justin Chadwick sort aujourd’hui. C’est Idris Elba qui a été choisi pour incarner ce personnage qui aura marqué l’histoire de l’Afrique du Sud, avec Mandela : Un long chemin vers la liberté, voilà un biopic bien parti pour rendre un dernier hommage à Madiba !

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  • All is lost

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    Lorsqu’il (Robert Redford) se réveille, il découvre l’étendue des dégâts. Alors qu’il était en pleine mer, à bord de son voilier le Virginia Jean, celui-ci a violemment heurté un container qui dérivait ce qui n’a pas manqué d’occasionner une brèche. Dans un premier temps, il va tenter de réparer les dommages avec ce qu’il a sous la main mais la malchance s’acharne sur lui puisqu’une terrible tempête approche. Il ne pouvait en être autrement, il a fini par mettre à l’eau le canot de survie et tentera de récupérer tout ce qui pourrait lui être utile avant de voir le bateau couler au fond des mers. Le voilà désormais seul face à lui-même à 700 milles au large du Sumatra.

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    Décidément en cette fin d’année 2013, les marins ont le vent en poupe puisqu’après François Cluzet qui se la jouait En solitaire c’est maintenant Robert Redford d’affronter les mers. Avec All is lost, on assiste donc au combat d’un homme perdu en plein milieu des eaux, un combat pour la survie. Evidemment étant le seul et unique protagoniste ajouté à des lignes de dialogues quasi inexistantes, il fallait un acteur qui ait les épaules suffisamment larges pour tenir le film et Redford répond présent de manière brillante. Grace à lui, le spectateur est tenu en haleine jusqu’au bout même si la conclusion n’est pas loin de tout gâcher !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à faire de l’eau potable, ça peut toujours servir.

  • Bad grandpa

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    Parce que sa mère doit de nouveau retourner en prison, notre pote Billy (Jackson Nicoll) a été confié à son grand-père Irving (Johnny Knoxville). Ce dernier vient de perdre sa femme et c’est un soulagement, il est enfin libre du moins jusqu’à ce qu’il se voit confier la responsabilité de ce petit-fils qu’il connait peu. En fait, il a été convenu qu’Irving le conduirait auprès de son père Chuck (Greg Harris) qui vit à Raleigh en Caroline du Nord et qui a accepté de prendre la garde de Billy, surtout que cela lui rapportera 600 $ d’allocations ! Voici donc le début d’un road-trip au cours duquel il va se passer beaucoup de choses car partout où il passe, ce grand-père ne laisse pas indifférent.

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    Disons-le tout de suite, malgré son semblant de scénario, Bad grandpa n’a rien d’un film. En fait si vous connaissez un peu la bande de Jackass, vous savez certainement qu’ils se sont fait connaitre à travers de défis aussi improbables que stupides. La seule différence ici c’est que Knoxville s’est déguisé en grand-père et s’amuse à piéger toux ceux qu’il croise à la manière d’une caméra cachée. Bien entendu, connaissant le personnage, parfois ça ne vole pas très haut mais ce serait aussi mentir que de dire qu’on ne se marre pas avec certaines situations incongrues ou en voyant les visages souvent effarés notamment dans ce concours de mini-miss.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de trainer avec votre grand-père !