Yona, la légende de l'oiseau-sans-aile
Son amour des pingouins, Yona le doit à son père aujourd’hui disparu. Tous les jours, la jeune fille s’amuse dans son déguisement jusqu’au jour où elle reçoit un drôle de jouet comme tombé du ciel. Elle trouve en effet des pièces détachées et une fois assemblées, c’est un chat mécanique qui prend soudainement vie et l’invite à se rendre dans le Palais des pingouins. Alors que Yona s’émerveille dans ce paradis, le chat prend une nouvelle apparence et tous deux se retrouvent propulsés dans le village des gobelins. Le chat dévoile alors ses véritables intentions ; la jeune fille n’a pas été choisie au hasard elle est celle qui pourra vaincre le terrible Boukkha-Boo !
Parce que l’animation en images de synthèse n’est pas l’apanage des studios Pixar ou Dreamworks, nos potes japonais tentent eux aussi leur percée. Une copie à revoir car si Yona, la légende de l'oiseau-sans-aile pourra divertir nos chères têtes blondes, les graphismes et l’animation sont bien loin de la perfection. On sent bien que ce film d’animation n’a pas été réalisé avec une grande finesse de même que le scénario peu emballant font qu’on se retrouve devant un produit assez banal qui pourrait tout aussi bien faire figure de simple dessin animé destiné à la télévision.