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  • Impact point

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    Joueuse de Beach-volley prometteuse, Kelly Reyes (Melissa Keller) voit ses rêves d’atteindre la finale du championnat s’effondrer après sa défaite. Mais un drame va bouleverser les choses, sa rivale meurt dans un accident de voiture et Kelly se voit proposer de prendre sa place pour disputer la finale. Elle devient ainsi la nouvelle coéquipière de Jen Crowe (Kayla Ewell) qui l’accueille froidement et la met en garde sur les menaces qu’avait reçue son ancienne partenaire. Pendant ce temps, Kelly fait la connaissance d’Holden Gregg (Brian Austin Green), célèbre journaliste sportif qui souhaiterait lui consacrerait un article.

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    Le beach-volley est un sport peu médiatisé et c’est bien dommage car voir de jeunes femmes en bikini taper le ballon ça a de quoi ravir de nombreux spectateurs. Alors qu’on s’attendait à un florilège de matchs de volley et de ralentis sur les phases de jeu des demoiselles, Impact Point se transforme vite en un thriller peu convaincant. L’intrigue est balancée au bout de 20 minutes et par la suite le pauvre Brian Austin Green (mais oui le David de Beverly Hills !) n’a pas vraiment l’envergure pour capter notre attention. Film de série B qui ne mérite même pas qu’on lui laisse une petite chance.

  • Hunger

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    Irlande du Nord, 1981. C’est dans la prison de Maze que sont retenus les membres de l’IRA qui entament actuellement le Blanket & No Wash Protest afin d’obtenir le statut de prisonniers politiques. Les cellules sont dans un état déplorable, les murs sont recouverts d’excréments et les asticots grouillent au milieu des restes des repas. Malgré tout cela, ils n’obtiennent pas satisfaction et pire encire, ils sont traités avec mépris par les gardiens qui ne sont pas à l’abri d’une "vengeance". Pour se faire entendre, un certain Bobby Sands (Michael Fassbender) a décidé d’entamer une grève de la faim.

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    Steve McQueen est de retour au cinéma ! Evidemment, il ne s’agit pas du mythique acteur mais du réalisateur homonyme qui entre dans le 7ème art par la grande porte. Hunger est sans aucun doute un des grands films de cette fin d’année aussi bien par le sujet passionnant qu’il aborde -la détention des membres de l’IRA- que par la mise en scène. Entre l’introduction du film, le dialogue entre Bobby Sands et le pasteur et j’en passe ; ce n’est pas étonnant que le film ait obtenu la Caméra d’or à Cannes. Du grand cinéma qu’on voit rarement et ce qui explique mon Coup de cœur Ciné2909 !

     

     

    Il faut le voir pour : La déchéance de Bobby Sands.

  • The eye

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    Depuis l’âge de 5 ans, notre pote Sydney Wells (Jessica Alba) a du apprendre à vivre sans ses yeux. Au fil des années, elle a développé ses autres sens pour évoluer au quotidien mais aujourd’hui un espoir se profile à l’horizon. Après une opération, on lui a greffé de nouvelles cornées lui permettant de retrouver peu à peu la vue. Après toutes ces années dans l’obscurité, la jeune femme va pouvoir voir de ses propres yeux tout ce qui l’entoure et cela pour la plus grande joie de sa sœur Helen (Parker Posey). Tout irait dans le meilleur des mondes si Sydney n’était pas victime d’étranges visions ; à de nombreuses reprises elle semble percevoir une ombre noire.

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    Encore un remake de la part de nos amis américains qui reprennent donc le film des frères Danny & Oxide Pang (Bangkok Dangerous) qui donnera naissance à une trilogie. Le gros du travail étant déjà fait, on a confié le projet aux mains de frenchies en la personne de Xavier Palud & David Moreau qui avaient réalisé Ils en 2006. Malheureusement, The eye entre vite dans le moule des autres remakes du même genre et ce n’est pas la présence de la belle Jessica Alba qui va changer les choses. Quelques sursauts par ci, un peu de surnaturel par là et une ombre numérique en guise de vision cauchemardesque en bref pas un film qui nous en mettra plein les yeux !

  • Le plaisir de chanter

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    Si vous les croisez dans la rue, vous auriez beaucoup de mal à croire que Muriel & Philippe (Marina Foïs & Lorànt Deutsch) sont des agents secrets. Pour leur dernière mission, ils doivent mettre la main sur une clé USB contenant de précieuses informations et pour cela ils vont devoir s’inscrire à un cours de chant lyrique. En effet, c’est là que se trouve leur cible : Constance (Jeanne Balbar), la veuve d’un trafiquant d’uranium. En intégrant ce cours, ils espèrent donc mettre rapidement la main sur ces précieux documents mais ils ne sont pas les seuls à vouloir s’en emparer.

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    Ce qui est sur c’est que ce film ne ressemble à rien de ce que l’on a pu voir jusqu’à présent et par conséquent il ne va pas plaire à tout le monde. Difficile de définir Le plaisir de chanter tant il joue sur différents tableaux et c’est d’ailleurs le coté espionnage complètement décalé qui donne au film tout son potentiel comique. Pour l’apprécier comme il se doit, il faut entrer dans l’univers un peu loufoque de Ilan Duran Cohen et savoir le considérer au second degré.

     

    Il faut le voir pour : Vous inscrire à des cours de chants.

  • Undead or alive

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    Une bagarre dans un saloon, il n’y a rien de plus normal dans le Far-West et pourtant nos potes d’enfance Elmer Winslow & Luke Budd (James Denton & Chris Kattan) vont se retrouver derrière les barreaux. Non seulement, les voilà prisonniers mais en plus de ça, leur voisin de cellule est un certain Ben (Brian Posehn) arrêté pour avoir dévoré les cervelles de sa femme et de sa fille. Profitant de l’inattention de leur gardien, ils parviennent à prendre la poudre d’escampette laissant derrière eux Ben livré à son pauvre sort. C’est la pendaison qui l’attend demain mais rien ne sert de pendre quelqu’un qui est déjà mort car c’est un zombie !

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    Des zombies au milieu d’un western, voilà une idée géniale qui aurait pu donner naissance à un excellent film. J’utilise le conditionnel car comme vous pouvez vous en douter, Undead or alive est un bon vieux nanar tourné en vitesse et qui ne tient en aucun cas ses promesses. On retrouve James Denton (le Mike Delfino de la série Desperate Housewives) en déserteur de l’armée américaine affublé d’un cowboy pas très habile de ses mains. Avec tout ça, mettez des pseudo-zombies puisqu’ici le mort-vivant est encore très expressif & des effets spéciaux dignes du standing du film. Bref à moins de se doper aux films de série B, on va vite l’oublier.

  • Le transporteur 3

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    Après un bon petit diner, Frank Martin (Jason Statham) s’était assoupi quelques instants et lorsqu’il s’est levé, une voiture a encastré son mur et finit sa course dans le salon. Au volant, c’est son pote d’enfance Malcolm (David Atrakchi) qui était censé faire son job de transporteur mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévus. Frank n’a pas le temps de comprendre ce qui se passe qu’il est assommé puis équipé d’un bracelet explosif. Il vient d’être recruté de force par un certain M.Johnson (Robert Knepper) pour effectuer la livraison d’un colis de la plus haute importance. La surprise ne s’arrête pas là puisqu’il va devoir effectuer la course en compagnie de Sacha (Natalya Rudakova).

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    Si la saga Le transporteur ne brille en aucun cas par la qualité de ses scénarios, il faut bien reconnaitre que ce sont des films d’action qui font plaisir aux yeux. Pour ce 3ème épisode, c’est le français Olivier Megaton qui conduit les nouvelles aventures de Frank Martin. On retrouve tout ce qui nous plait à savoir de la vitesse et de la baston avec un Jason Statham en pleine forme physique. N’oublions pas non plus la Transporteur-girl avec la belle Natalya Rudakova découverte par le producteur Luc Besson parfaite dans son rôle de potiche de service. Le transporteur 3 ne révolutionnera rien mais reste un excellent divertissement pour des spectateurs peu exigeants.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vous battre en costume-cravate.

  • Grégoire Moulin contre l’humanité

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    C’est une nouvelle vie qui commence pour notre pote d’enfance Grégoire Moulin (Artus de Penquern) qui est venu s’installer à Paris. C’est à la suite de la disparition de sa grand-mère terrassée en pleine chasse aux mouches qu’il a sauté le pas et a trouvé ce travail au sein de l’Urbaine d’assurance vendéenne. Un boulot pas très passionnant mais qui lui permet de voir et revoir la belle Odile Bonheur (Pascale Arbillot), une prof de danse qui travaille juste en face. A midi, il la retrouve à la brasserie mais n’ose pas l’aborder et il a alors l’idée de lui voler son portefeuille afin de lui rendre plus tard. C’est là que débutent les ennuis !

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    On n’est jamais mieux servi que par soi-même et c’est pourquoi  on retrouve Artus de Penquern aussi bien derrière que devant la caméra. Pour sa première réalisation, il nous offre ainsi une comédie complètement loufoque avec Grégoire Moulin contre l’humanité et un héros assez simplet qui va vivre de drôles d’aventures. Il ne faut pas s’attendre à des crises de rire mais on se laisse vite entrainer par les improbables péripéties de Grégoire. Film léger et sans prétention, ça vous fera passer du temps.

     

    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Two lovers

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    Fragilisé par une rupture douloureuse, Leonard Kraditor (Joaquin Phoenix) est revenu vivre chez ses parents. Il travaille ainsi avec son père dans un pressing et c’est à l’occasion d’un diner qu’il fait la connaissance de Sandra (Vinessa Shaw). La jeune femme a complètement craqué pour Leonard qui reste plutôt insensible aux charmes de cette demoiselle. Le lendemain, il croise Michelle (Gwyneth Paltrow) une voisine de son immeuble et là c’est le coup de foudre. Il ne pensait pas pouvoir ressentir à nouveau un tel sentiment mais tout porte à croire qu’il est redevenu amoureux.

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    Entre le polar et le film romantique, il y a un sacré écart que notre pote James Gray (La nuit nous appartient) n’a pas hésité à faire et avec brio s’il vous plait ! Pour l’occasion, il retrouve le sous-estimé Joaquin Phoenix (dans son hypothétique dernier rôle) qu’il pousse dans les bras de Vinessa Shaw & Gwyneth Paltrow. Il ne faut pas prendre Two lovers pour un énième film romantique, Gray donne une autre dimension au genre sous l’impulsion d’un émouvant Joaquin Phoenix dans le rôle de cet amoureux blessé. Encore un grand film pour un réalisateur décidément hors-norme.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à danser en boite de nuit.

     

  • Musée haut, musée bas

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    Rien ne vaut une bonne sortie culturelle ! Quel plaisir de pouvoir aller admirer les œuvres ancestrales des plus grands artistes et c’est bien pour cela que le Musée Haut, Musée Bas vous accueille comme il se doit. Vous apercevrez forcément le conservateur, Mosk (Michel Blanc) qui est là pour veiller aux moindres détails et surtout pour protéger les œuvres contre les immondes végétaux capables de s’incruster n’importe où. Il y a tellement de choses à découvrir dans ce musée que vous vous surprendrez à y passer votre journée ou bien alors c’est parce que vous ne retrouvez pas votre voiture !

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    Ce qui est frappant dans Musée haut, musée bas c’est évidemment le casting d’une richesse folle. On ne va pas tous les citer mais vous retrouverez entre autres Gérard Jugnot, Isabelle Carré, François-Xavier Demaison … Une belle vitrine donc pour cette adaptation de la pièce de théâtre de Jean-Michel Ribes comme pour masquer les faiblesses du film. Les scènes se succèdent nous faisant visiter les 4 coins du musée (allant même jusqu’aux petits coins) mais il y a un manque évident de liant dans l’ensemble. Certaines scènes sont assimilables à de l’art abstrait, c’est beau mais on n’y comprend pas forcément grand-chose ; à voir si vous n’aimez fréquenter les musées qu’au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Détruire toutes les plantes vertes.

     

  • The descent

    Il y a un an, Sarah (Shauna MacDonald) a vécu un terrible drame à l’issue duquel elle a perdu son mari et sa petite fille ce qui l’a plongé naturellement dans un immense chagrin. Pour lui changer les idées, ses deux potes d’enfance Juno & Beth (Natalie Jackson Mendoza & Alex Reid) ont décidé d’organiser une expédition en spéléologie au sein des cavernes de Boreham avec d’autres filles. Les cordes sont sorties, les torches vérifiées, les mousquetons affutés et les sacs prêts à être portés ; pour l’heure il faut dormir pour prendre des forces. Oui, mesdemoiselles reposez-vous car cette grotte sera tout simplement votre tombeau !

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    Un film qui n’est pas sans rappeler La crypte, production américaine sans génie. D’ailleurs, la comparaison se doit de s’arrêter là car le film de Neil Marshall est autrement plus intéressant par sa réalisation suffocante. Pour profiter pleinement de The descent, regardez-le dans le noir total pour mieux vous immerger dans l’action et suivre nos héroïnes au plus près. On est alors plongé dans la descente de ces cavernes et les surprises ne manqueront pas ! A cela s’ajoute un casting exclusivement féminin et des personnages qui présentent un caractère bien trempé. Un film qui a bon sur toute la ligne et qui doit absolument être vu !

     

    En savoir plus sur The descent Part 2 ?