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  • Coach Carter

    22 défaites pour seulement 4 victoires, voici le bilan désastreux de l’équipe de basket des Oilers de Richmond en Californie. Pour leur redonner un coup de fouet, on a fait appel à Ken Carter (Samuel L. Jackson), ancien étudiant du collège mais surtout champion de Basket-ball. Faire de ces jeunes indisciplinés de véritables gagneurs ne sera pas une sinécure mais le Coach Carter va vite mettre de l’ordre dans tout ça mais il ne faut pas que cela se fasse aux dépens de leurs études. Le contrat est simple, leur place dans l’équipe est acquise à l’unique condition d’avoir la moyenne en cours.

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    Coach Carter, c’est un peu Esprits Rebelles version Basket ; mais si souvenez-vous de ce film avec Michelle Pfeiffer qui avait réussi à amadouer des jeunes complètement démotivés. Beaucoup de similitudes entre ces 2 films et en premier lieu, ils s’inspirent tous deux de faits réels ce qui a vite convaincu les studios d’Hollywood. Amateurs de belle histoire donc vous allez être comblés avec ce prof qui va changer la destinée de ces étudiants / basketteurs. On regrettera un scénario parsemé de quelques clichés et surtout trop linéaire pour nous convaincre.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros !

     
  • Le monde de Narnia : chapitre 2 - Le prince Caspian

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    Il y a encore quelques secondes ; nos potes Lucie, Susan, Edmund & Peter Pevensie (Georgie Henley, Anna Popplewell, Skandar Keynes & William Moseley) attendaient leur train sur le quai et les voilà projetés au sein de Narnia ! Si dans leur réalité, il ne s’est écoulé qu’une petite année ; à Narnia ce sont des centaines d’années qui pèsent sur le royaume et bien des choses ont changé. Les Telmarins ont conquis les territoires Narniens et ce qui fut autrefois un monde enchanté n’est maintenant plus que ruines et désolation. L’héritier au trône des Telmarins est le Prince Caspian (Ben Barnes) mais ce dernier découvre que son oncle Miraz (Sergio Castellitto) complote pour obtenir le pouvoir et échappe de peu à une tentative d’assassinat.

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    La sortie du second épisode de Narnia est tout de même un évènement pour cette saga fantastique signée Walt Disney, c’est un peu le Seigneur des anneaux version junior. D’ailleurs à bien y regarder, on peut relever certaines similitudes entre Le monde de Narnia Chapitre 2 Le prince de Caspian et Les deux tours. Quelques longueurs, des passages franchement cul-cul la praline ; malgré tout on trouve ce qu’on est venu chercher, un peu d’aventures, de magie pour égayer notre quotidien et les plus jeunes seront conquis ! Notons que le film se révèle plus mature que Le monde de Narnia : chapitre 1 – Le lion, la sorcière blanche et l’armoire magique avec de nombreux combats et moins de fantaisie.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous étonner de voir une souris qui parle.

     

  • Des poupées et des anges

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    Elles sont sœurs et pourtant à les voir, elles n’ont pas grand-chose en commun. Chirine (Karina Testa) est l’ainée de la famille et depuis ses 14 ans, elle a vite pris conscience que son physique serait son principal atout. Depuis, elle rêve de devenir mannequin et a d’ailleurs déjà adapté le style de vie ; portant des robes de haute-couture et trainant dans des soirées chics, elle est prête à de nombreux sacrifices pour parvenir à ses fins. Rien à voir avec sa petite sœur Lya (Leila Bekhti) qui veut juste pouvoir continuer ses cours de taekwondo mais qui va se heurter à l’obstination d’un père traditionnaliste.

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    Parce que l’action de son roman se déroule dans les banlieues, Nora Hamdi voulait éviter que l’adaptation cinématographique ne tombe dans les habituels clichés ce qui l’a conduit à prendre la caméra. Des poupées et des anges, c’est une famille en perdition entre une grande sœur qui veut devenir une véritable Barbie et un père qui n’en est plus vraiment un. Au milieu se trouve la jeune Lya obligée de se réfugier sur les toits pour exprimer sa haine à travers notamment une séquence de slam percutante. Le duo Karina Testa/Leila Bekhti constitue indéniablement un atout dans ce drame familial touchant qui mérite le coup d’œil.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais demander à votre fille d’écrire une lettre de divorce.

  • Valse avec Bachir

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    C’est à la suite des confidences de son pote d’enfance qu’il a commencé à avoir ses bribes de souvenirs. Quelques années auparavant en 1982, ils furent les soldats de la première guerre du Liban et c’est à Beyrouth qu’ils ont assisté à une vision d’horreur. Des évènements enfouis dans son subconscient mais qui ressurgissent à travers une image qui lui revient sans cesse. Il est étendu en plein milieu de la mer éclairée par une pluie de feux de détresse qui se reflètent sur l’eau. Comment se fait-il qu’il ait pu oublier un drame tel que celui-ci, il va rendre visite à ses anciens camarades pour retrouver sa mémoire.

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    Après l’énorme succès critique de Persépolis, le cinéma d’animation européen continue son évolution et dans le bon sens du terme. Ari Folman signe une œuvre très personnelle, inspirée de sa propre vie confiant son désarroi sur les souvenirs de cette guerre tragique. Valse avec Bachir frappe tout de suite aux yeux par son concept, une animation spécifique où les dessins sont effectués à la suite d’un tournage avec de véritables acteurs (proches notamment de A scanner Darkly). Parce que l’histoire est riche et que la séquence finale vous laissera abasourdi ; voilà un très bon choix pour une future sortie au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Se parfumer au patchouli.

  • Seuls Two

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    Il avait la couverture parfaite et pourtant notre pote Gervais (Eric Judor) vient encore de laisser s’enfuir Curtis (Ramzy Bedia). Ça fait près de 10 ans qu’il essaye de coincer ce dangereux malfrat mais rien à faire, il parvient toujours à passer à travers les mailles du filet. Pourtant, Gervais a une méthode aussi infaillible que zarbite pour le localiser et une nouvelle poursuite s’organise dans les rues de Paris jusqu’au moment où … En arrivant sur le boulevard des Champs-Elysées, ils se rendent compte qu’ils sont tout seuls c’est le silence qui règne, personne dans les rues. Ils sont désormais tout seuls dans le monde !

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    Doit-on vraiment vous préciser qu’il s’agit là d’une comédie lorsque les têtes d’affiches se nomment Eric & Ramzy ? Si l’on était déjà habitué à voir ce duo au cinéma, Seuls Two marque une nouvelle étape puisqu’ils se sont glissés pour la première fois dans le costume de réalisateurs. C’est sans stupéfaction qu’on se retrouve dans un délire merveilleusement orchestré (Paris vide, ça vaut le coup d’œil) avec un humour moins poussif que d’habitude. Si ce n’est pas un chef d’œuvre, il réussit le pari de nous faire passer un bon moment avec quelques éclats de rires. A noter également une belle galerie de personnages secondaires dont certains auraient mérité un peu plus de développement.

     

    Il faut le voir pour : Admirer un Paris silencieux.

  • 5 toutous prêts à tout

     

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    Après avoir conquis les terrains de basket, notre pote Buddy a eu la chance de rencontrer le grand amour juste en face de chez lui en la personne de Molly. Tous deux ont eu 5 adorables chiots : Rosabelle, Bouboue, Bouddha, Bandit & Patapouf. Lorsqu’ils sont réunis, une catastrophe n’est jamais loin d’arriver et il faut se rendre à l’évidence ; il va falloir donner ces chiots. Malgré les réticences de leur jeune maitre, la décision est prise dès demain ils seront placés dans leur nouveau foyer mais voilà que les 5 toutous décident de s’échapper afin de ne pas être séparés. Pendant ce temps, des malfrats sont à la recherche de Buddy pour l’enlever et le revendre à un richissime homme d’affaire et à son fils gâté. 
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    Suite directe du film Air Bud, 5 toutous prêts à tout donne cette fois la part belle à 5 petits chiots aussi adorables que turbulents. On reste évidemment dans le cadre du divertissement familial par excellence avec une grande aventure qui permettra à nos héros canins de faire connaissance avec de nombreux autres animaux. Production Disney oblige, on retrouve les thèmes habituels comme l’amour de la famille, l’esprit d’équipe et tout le tralala qui séduira évidemment les enfants. C’est un beau cadeau pour les petits qui vont craquer devant ces chiots mais vous vous avez peut-être passé l’âge de vous attendrir devant ces petites bêtes.
  • Dead or alive

    Bonjour à vous !

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    27fe89640ee215c810cfbcdacb848527.jpgBienvenue à bord de cet avion qui va vous conduire au grand tournoi Dead or Alive. Merci à vous d’avoir accepté cette invitation au 21ème tournoi organisé par M. Donovan (Eric Roberts) avec à la clé une récompense de 10 millions de dollars.

     

     

    Vous êtes les meilleurs combattants dans chacune de votre catégorie, nous avons notamment parmi nous la grande Tina Armstrong (Jaime Pressly) accompagnée de son père Bass (Kevin Nash), la prestigieuse Princesse Kasumi (Devon Aoki) ou encore Zack (Brian J. White).

     

     

    38d31ebad3958000c0a7c386269ca2f9.jpgUne fois arrivé, nous allons déterminer les combats qui pourront avoir lieu à tout moment et quel que soit le lieu ; Dead or Alive est ravi de vous accueillir ! Dernière chose, vous allez devoir sauter de l’avion, on se retrouve sur l’ile près du bouddha avant le coucher du soleil, sinon vous serez éliminés !

     

     

    En savoir plus sur Dead or Alive

  • Bons baisers de Bruges

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    Ray & Ken (Colin Farrell & Brendan Gleeson) sont 2 tueurs à gages en pleine fuite. Leur boss Harry (Ralph Fiennes) les a envoyé se planquer à Bruges en Belgique où ils vont devoir se faire discret. Pas évident pour notre pote Ray qui ne tient pas en place ; il lui est insupportable de jouer les touristes surtout dans une ville aussi moyenâgeuse comme Bruges. En réalité cette nervosité, il la doit à la dernière mission qu’il a mené où un évènement a bouleversé sa vie. Entre 2 bières, il tombe sur le tournage d’un film où il croise la belle Chloé (Clémence Poésy) qui va lui faire oublier ses soucis.

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    Il n’y a pas que des moules-frites en Belgique ; il y a également Bruges et son incroyable patrimoine culturel, un cadre à priori peu propice pour ce polar d’un genre bien particulier. C’est ce paradoxe qui nourrit d’ailleurs l’intérêt de ce Bons baisers de Bruges et hormis cette spécificité, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. On accroche ou pas à l’atmosphère décalé d’un film peu animé où les états d’âme de Colin Farrell finissent vraiment par nous tuer. Mieux vaut encore s’abstenir de voir ce film et économiser pour s’offrir un week-end à Bruges, ce sera certainement plus intéressant pour vous !

     

    Il faut le voir pour : Se planquer à Bruges où personne ne viendra vous chercher !

  • Black/White

     

    Jusqu’à présent , notre pote Simon Green (Ashton Kutcher) avait véritablement tout pour être heureux ; un travail fort passionnant avec des perspectives d’évolutions intéressantes et surtout une petite amie parfaite en la personne de Theresa Jones (Zoé Saldana). Pour une raison inconnue, il décide de démissionner et le moment a peut-être été mal choisi ! En effet, Theresa avait décidé de faire rencontrer son compagnon à ses parents. D’ordinaire, cette réunion apporte déjà beaucoup d’inquiétudes mais il y a un détail qui a peut-etre son importance : Theresa est noire et Simon tout ce qu’il y a de plus blanc !

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    Black/White n’est pas un film comme un autre puisqu’il s’agit en réalité du remake d’un classique du cinéma Devine qui vient dîner (avec Sidney Poitier, Katharine Hepburn & Spencer Tracy) où le schéma était inversé. Une comédie qui tire son potentiel sur les habituels préjugés que les blancs ont des noirs et vice versa mais qui très vite nous ennuye par son lot de clichés. Il n’y a donc pas de quoi se plier en quatre devant un film familial qui vous fera passer le temps mais où la légèreté et la bonne humeur prennent le pas sur le message pseudo-moral que l’on pourrait trouver.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros

     
  • Diary of the dead - Chronique des morts vivants

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    Jason Creed (Joshua Close) est né avec une caméra à la main, c’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à intégrer une école de cinéma. Avec ses potes d’enfance, il se lance dans la réalisation d’un film d’horreur mais son projet va trouver un tout autre écho. En effet, partout à travers le monde d’étranges évènements ont lieu : les morts ressuscitent mais surtout se muent en zombies en quête de chair fraiche. Le tournage de Jason s’interrompt brusquement mais celui-ci a une nouvelle idée en tête ; il va filmer cette tragédie pour laisser un précieux témoignage à ceux qui survivraient à cette catastrophe. Mais y’aura-t-il vraiment des survivants ?

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    Impossible aujourd’hui d’évoquer un film de zombies sans penser immédiatement à Georges Romero, leur père spirituel. Loin d’être un inconditionnel de sa filmographie, son dernier film Land of the dead était plutôt fun et j’en attendais pas moins de ce Diary of the dead. Première constatation, le réalisateur s’est laissé séduire par la caméra DV ; un style revenu soudainement à la mode avec les récents Cloverfield ou encore [Rec]. Pas suffisant hélas pour rendre son film intéressant ; les personnages sont transparents et mêmes les zombies se font rares. Bref, beaucoup de déception à la vue du dernier Romero qui ne fait que recycler de vieilles idées donc si ça vous tente de payer pour ça…

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que dans les bons films d’horreurs, la fille doit avoir la robe déchirée.