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Love, et autres drogues

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Parce qu’il n’a pas su contrôler ses hormones, notre pote Jamie Randall (Jake Gyllenhaal) vient de se faire virer du magasin où il était employé. Il retrouve rapidement un job grâce à son frère qui le pistonne pour travailler pour Pfizer, une grosse compagnie pharmaceutique. Il devient ainsi le nouveau commercial et fait la tournée des médecins pour vendre du Zoloft censé remplacer le Prozac. C’est dans le cadre de ses missions qu’il rencontre pour la première fois Maggie Murdock (Anne Hathaway) atteint de Parkinson, un cas rare pour une personne de son âge. Au départ, ils s’étaient mis d’accord pour simplement passer du bon temps ensemble mais peu à peu Jamie s’aperçoit qu’il est en train de tomber amoureux.

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Ça aurait pu être une comédie sentimentale parmi tant d’autres mais Love, et autres drogues parvient à se faire remarquer notamment par son contexte. L’action se situe dans les années 1990 et nous sommes dans les prémices d’un évènement hors-norme ; la consécration de l’or bleu que les hommes connaissent si bien, c’est la naissance du Viagra ! S’il n’y avait pas eu cet élément au scénario, il est fort à parier qu’on aurait plus vite fait d’oublier ce film même si le couple Anne Hathaway / Jake Gyllenhaal est tendre et attachant. Quelques bons moments de rigolade mais c’est certain que le film aurait mérité quelques produits dopants pour réellement nous séduire.

 

Il faut le voir pour : Vérifier que votre copain est seul chez lui avant de lui faire une "surprise" !

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