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roger donaldson

  • The november man

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    Alors qu’il coulait des jours heureux en Suisse à Lausanne ; notre pote Peter Devereaux (Pierce Brosnan) a reçu la visite d’Hanley (Bill Smitrovich). Ce dernier lui apprend que Natalia Ulanova (Mediha Musliovic), qu’il connait bien, se trouve dans une situation délicate à Moscou. Peter va donc devoir laisser sa fille Lucy (Tara Jevrosimovic) pour reprendre son costume d’agent secret pour aller lui prêter main-forte. Il parvient ainsi à la tirer d’affaire mais va avoir un véritable choc lorsqu’il verra sur son chemin son ancien protégé David Mason (Luke Bracey). Sa mission l’amènera ensuite à assurer la protection d’une certain Alice Fournier (Olga Kurylenko) qui détient des informations capitales.

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    A défaut de pouvoir réendosser les habits de l’espion de Sa majesté, Pierce Brosnan revient tout de même à l’action avec The november man. Même si le film est loin de se montrer flamboyant sur ses phases d’action, ça reste assez efficace pour satisfaire le spectateur. Là où on est bien moins enthousiasmé, c’est concernant un scénario qui aurait grandement gagné à offrir plus de clarté. En fait ça donne l’impression de vouloir nous dévoiler une histoire légèrement alambiquée façon John Le Carré alors que ça ne s’y prête pas réellement. Rien de transcendant donc avec ce film qu’on regardera sans grande passion mais au moins on constate que l’ex-agent 007 porte toujours aussi bien le costume.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de trop bien former vos successeurs, on ne sait jamais !

  • Le pacte

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    Notre pote Will Gerard (Nicolas Cage) est professeur à la Nouvelle-Orléans, c’est un homme profondément bon qui n’hésitera jamais à vous aider si vous avez besoin de lui. Comment une telle personne pourrait donc soudainement se transformer en meurtrier recherché par la police ? Tout a commencé lorsqu’il a appris que sa femme Laura (January Jones) s’est faite agresser et violer ; peu de temps après un certain Simon (Guy Pearce) est venu à sa rencontre. Celui-ci lui a proposé de s’occuper de l’agresseur de sa femme mais Will sera alors redevable à cette organisation. Complètement désespéré, il accepte cette offre sans savoir que ce choix aura de graves répercussions. 6 mois plus tard, Simon refait surface dans sa vie en lui demandant de tuer un homme accusé de pédophilie.

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    Ce film du réalisateur Roger Donaldson reprend de manière détournée le principe du Vigilante en faisant intervenir une mystérieuse organisation. Nicolas Cage est donc le grand gagnant et se retrouve au cœur d’une terrible machination mais Le pacte qu’il a conclu est lui loin de nous emballer. Déjà, ce qui est assez pénible c’est de constater l’absence de nuances dans ce film ; au héros il ne manquerait que l’auréole au dessus de la tête pour en faire un saint. Reste ensuite que le dilemme qui lui est soumis ou l’existence même de cette association à but meurtrière auraient pu permettre une exploration plus intellectualisé du sujet ce qui est loin d’être le cas. Le hibou ravi jubile peut-être mais le spectateur ne ressent pas du tout la même chose.



    Il faut le voir pour : Ne jamais mais alors plus jamais acheter 2 barres de chocolat à un distributeur !

  • Braquage à l’anglaise

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    Londres, 1971. Michael X (Peter De Jersey) est dans le collimateur des autorités britanniques et malgré tous les crimes qu’il a pu commettre, il reste intouchable. Il a en sa possession des documents compromettants qui concernent la famille royale ce qui lui garantit une protection hors-norme. Une mission officieuse est alors lancée et c’est ainsi que Terry Leather (Jason Statham) et ses potes d’enfance se retrouvent embarqués dans un braquage dont ils ignorent les réelles motivations. Pour eux, il ne s’agit que d’un gros coup qui va leur permettre d’empocher un joli pactole mais ils mettent les pieds dans un engrenage bien vicieux.

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    Film de braquage oblige, les comparaisons avec un certainOcean’s Eleven n’ont vraiment pas lieu d’être. D’une part parce qu’il faut bien le dire, le casting de Braquage à l’anglaise est nettement moins glamour que la méga-production hollywoodienne mais surtout parce que l’intérêt du film réside ailleurs. Ce n’est pas tant le larcin et son accomplissement qui retient notre attention mais plutôt ses répercussions et tout le contexte politique de l’époque. Une histoire qui prend une dimension d’autant plus importante quand on sait qu’elle s’inspire de faits réels, un bon thriller mené par l’action hero Jason Statham.

     

     

    Il faut le voir pour : Ne plus placer vos économies dans des banques !