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Ben Stiller

  • Zoolander 2

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    Justin Bieber vient d’être sauvagement assassiné à Rome et il s’agit là de la sixième pop-star ayant disparu. Avant de s’éteindre, il a trouvé la force de poster une dernière photo sur Instagram et c’est ce qui intrigue Interpol et sa division Mode dirigée par Valentina Valencia (Penélope Cruz). En effet, toutes les victimes arboraient le même visage sur leur ultime selfie et il n’y a qu’un homme qui puisse décrypter ce message : Derek Zoolander (Ben Stiller) ! Malheureusement ce dernier s’est exilé après des évènements dramatiques où il a perdu sa femme et dans la foulée la garde de son fils Derek Jr (Cyrus Arnold). Il faudra la visite de Billy Zane pour le faire sortir de sa tanière et il va ainsi rejoindre Rome où il retrouve également Hansel (Owen Wilson).

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    N'ayant pas encore eu l'occasion de découvrir le Zoolander premier du nom, je m'attendais tout de même à une comédie bien barrée de la part de notre pote Ben Stiller et le rendez-vous a tenu ses promesses ! Clairement c’est un film qu’il faut prendre avec beaucoup de second degré et si l’humour absurde ne vous effraie pas alors vous y trouverez sans mal un divertissement assez sympathique. Le réalisateur / acteur ne fait pas non plus les choses à moitié quand il s’agit de faire venir les guests entre Katy Perry, Anna Wintour ou encore le couple Kim Kardashian / Kanye West, on a l’impression que tout son carnet d’adresses y est passé ! Zoolander 2 c'est donc un univers particulier qui risque d'en consterner certains, les autres ne penseront qu'à se marrer.

     


    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de faire un dernier selfie avant de mourir !

  • La nuit au musée : Le secret des Pharaons

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    C’est une soirée spéciale au Musée d’Histoire Naturelle de New York et le spectacle organisé par notre pote Larry Daley (Ben Stiller) se déroulait parfaitement … du moins au début. Soudainement, toutes les pièces du musée qui avaient pris vie ont perdu la tête transformant la soirée en cauchemar. Larry comprendra plus tard que ceci est du à la tablette d’Ahkmenrah qui semble se désagréger sans que l’on sache pourquoi. Afin d’en savoir plus à ce sujet, notre veilleur de nuit va devoir se rendre an Angleterre où sont conservés les parents d’Ahkmenrah (Rami Malek) qui pourront lui dévoiler les secrets renfermés par cette tablette.

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    On quitte cette fois les États-Unis pour l’Angleterre où un nouveau musée va prendre vie sous nos yeux et sous l’égide de notre fidèle Ben Stiller. S’il n’y a pas de grosses révolutions en vue, La nuit au musée : Le secret des Pharaons remplit aisément sa mission de divertir le spectateur. L’action et l’humour sont au rendez-vous et il est à noter également un excellent caméo de la part de notre pote Hugh Jackman. C’est la fin d’une saga (à moins qu’un spin-off ne soit lancé avec Rebel Wilson) et celle-ci est d’autant plus chargée d’émotions qu’on y découvre Robin Williams dans un de ces derniers rôles. La magie est répétitive mais opère encore un peu pour faire plaisir aux spectateurs de tout âge.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à neutraliser des lions avec une simple lampe-torche !

  • La vie rêvée de Walter Mitty

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    La semaine débute par une triste nouvelle, Life a été racheté et le célèbre magazine va prochainement laisser place à une version numérique. Un changement radical qui va affecter les employés parmi lesquels se trouve notre pote le doux rêveur Walter Mitty (Ben Stiller), responsable du service des négatifs. Pour l’ultime numéro qui paraitra en kiosque, la couverture est déjà choisie : ce sera la photo 25 envoyée par Sean O’Connell (Sean Penn) considéré comme la quintessence de la vie. Problème ; cette photo est introuvable et Sean se trouve on ne sait où dans le monde. Pour retrouver ce fameux cliché, Walter qui n’a jamais voyagé que dans sa tête va devoir débuter une longue aventure et ça commence par le Groenland !

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    Pour sa 5ème réalisation, Ben Stiller adapte une nouvelle de James Thurber (qui a déjà fait l’objet d’un film en 1947) et s’offre par la même occasion le rôle principal de ce héros au cœur tendre. L’idée de doter ce personnage de la capacité à vivre ses rêves éveillé donne lieu à quelques scènes plutôt amusantes comme cette parodie de Benjamin Button. Reste que ce qui caractérise d’abord La vie rêvée de Walter Mitty c’est cette aventure où il part à la conquête de lui-même. On passe assurément un bon moment mais on ne peut pas non plus s’empêcher de se dire qu’on reste sur notre faim. Cette ouverture au monde aurait pu donner naissance à une odyssée enivrante au lieu de quoi la magie tourne court d’autant qu’elle est entrecoupée de façon un peu abrupte.

     

    Il faut le voir pour : Préparer un gâteau à la mandarine pour votre prochain voyage !

  • Voisins du troisième type

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    Tout semble sourire pour Evan (Ben Stiller) ; dans sa vie privée comme professionnelle tout se passe merveilleusement bien. Une joie de vivre qu’il a envie de communiquer à travers les nombreux clubs qu’il a fondé et c’est un évènement dramatique qui va l’amener à créer un comité de surveillance de quartier. Tout a commencé par la mort de son pote d’enfance Antonio Guzman (Joe Nunez) retrouvé assassiné alors qu’il surveillait le magasin d’Evan, les forces de police étant impuissantes il faut agir ! Son appel à la communauté a été entendu certes peu mais entendu par Franklin, Bob & Jamarcus (Jonah Hill, Vince Vaughn & Richard Ayoade). Avec eux, le comté peut dormir sur ses deux oreilles jusqu’au moment où lors d’une patrouille ils percutent ce qui s’avère être un extraterrestre !

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    De la confrontation d’un simple comité de surveillance de quartier avec une créature extraterrestre, on s’attendait à une comédie plutôt déjantée. En plus de ça, les présences de Stiller, Hill & Vaughn semblaient être un gage de qualité mais Voisins du troisième type nous fait vite déchanter. Bien sur, il y a bien quelques passages sympathiques mais bien insuffisants et surtout bien loin des crises de rire qu’on espérait avoir si bien qu’on a parfois presque envie que tout ça se termine au plus vite. C’est bien beau d’avoir des créatures d’un autre-monde mais il aurait fallu penser à investir un peu plus dans un scénario où l’on a du mal à percevoir la patte de Seth Rogen. Une belle idée qui tourne en eau de boudin !  

     

    Il faut le voir pour : Créer un Comité de surveillance et ramener la paix dans votre quartier !

  • Le casse de Central Park

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    The Tower, une résidence d’appartements luxueux où habite le gratin de New-York et c’est là que travaille notre pote Josh Kovacs (Ben Stiller). Il supervise tout de A à Z, toujours disponible pour répondre aux besoins des locataires et notamment d’Arthur Shaw (Alan Alda), magnat financier qui va bientôt faire la une des journaux. On le soupçonne en effet d’avoir organisé une immense fraude financière mais ce qui est encore plus inquiétant pour Josh, c’est qu’il lui avait confié les fonds de pension des retraites de l’ensemble des employés de la tour. La vérité est difficile à encaisser : ils se sont tous fait escroquer ! Se sentant responsable et parce qu’il a entendu dire que Shaw cacherait plus de 20 millions de dollars dans son appartement, il compte rétablir un semblant de justice.

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    Ce n’est pas pour jouer les chauvins mais le pitch de ce film rappelle un peu celui de La très très grande entreprise. Les similitudes ne vont pas plus loin puisque Le casse de Central Park joue dans une toute autre dimension et on attendait beaucoup du duo inédit Ben Stiller / Eddie Murphy. Le résultat ne sera pas à la hauteur car si cette comédie surfant sur la vague des scandales financiers et des investisseurs sans scrupules n’est pas déplaisante, elle peine par contre vraiment pour nous faire rire. On retiendra seulement la scène où la Ferrari de Steve McQueen fait un voyage mémorable dans cet immeuble sinon pas grand-chose d’autre à se mettre sous la dent. On est loin du casse de l’année !

     

    Il faut le voir pour : Monter votre voiture dans votre appartement comme ça vous êtes sur de pas vous la faire piquer !

  • I’m still here - The lost year of Joaquin Phoenix.

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    L’information a fait le buzz dans le monde entier, alors que les critiques saluaient sa performance dans le film Two lovers ; Joaquin Phoenix annonçait la fin de sa carrière cinématographique. Le plus étonnant reste à venir car dans la foulée, il prétend vouloir se lancer dans la musique et plus particulièrement dans le rap ! C’est le point de départ de ce documentaire, Casey Affleck a suivi son beau-frère dans son difficile parcours car beaucoup pensent que tout cela n’est qu’une mascarade. Au fil des jours, Joaquin se métamorphose : ses atours physiques laissent place à une belle bedaine et sa barbe saillante captera l’attention de tous les médias. Il ne perd pourtant pas de vue son objectif et va tout faire pour percer dans la musique jusqu’à frapper à la porte du célèbre P. Diddy.

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    Flash-back sur un évènement qui avait secoué à l’époque Hollywood, la retraite anticipée de Joaquin Phoenix qui avait suscité pas mal d’interrogations. Son annonce avait été largement relayé par tous les médias mais on ne savait pas forcément qu’il s’était reconverti en chanteur de rap bouffi et c’est là qu’intervient I’m still here - The lost year of Joaquin Phoenix. Casey Aflleck nous dévoile aujourd’hui toutes les coulisses de cette incroyable supercherie ; un projet assez fou dans lequel Phoenix s’est investi corps et âme pour casser son image d’acteur torturé. Le résultat final en valait vraiment la chandelle vu que les spectateurs se sont vite désintéressés de la nouvelle carrière fictive du comédien.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de vous raser demain matin !

  • Mon beau-père et nous

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    Les tensions se sont apaisées entre John Byrnes (Robert De Niro) et son gendre Greg Furniker (Ben Stiller) au point qu’il lui fait aujourd’hui une proposition qu’il ne peut pas refuser. Le cœur fragile, John a conscience qu’il ne pourra pas être éternellement présent pour sa famille aussi est-il temps de confier les rênes à Greg. Mais ce dernier est-il vraiment à la hauteur ? Pas si sur quand on voit cette splendide Andi Garcia (Jessica Alba) lui tourner autour et puis il n’est pas trop tard pour que Pam (Teri Polo) trouve un mari digne de ce nom. Le Don Furniker va devoir batailler dur pour prouver qu’il est l’homme de la situation.

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    Le duo Ben Stiller / Robert De Niro continue de faire des émules jusqu’à prolonger la saga des Beau-père en une trilogie. L’ombre du Parrain règne sur ce 3ème volet puisqu’il y est question de succession, de protection de la famille et c’est ainsi que le Don Furniker est né ! A défaut d’être une excellente comédie, Mon beau-père et nous parvient à honorer la promesse qu’il s’était fixé ; nous faire partager un bon moment en retrouvant une famille que l’on connait que trop bien. La bonne humeur sera donc une fois au rendez-vous si vous vous étiez déjà régalé avec les deux premiers épisodes.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de forcer vos enfants à manger ce qu’ils ne veulent pas, ça pourrait vous retomber dessus.

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    Profitant du départ de son frère et de sa famille pour le Vietnam, Roger Greenberg (Ben Stiller) est venu s'installer pour quelques semaines à Los Angeles. Un séjour qui devrait lui changer les idées lui qui sort tout juste d'une grande dépression et est perpétuellement en colère contre tout et tout le monde. Même lorsqu'il retrouve ses potes d'enfance avec qui il avait monté un groupe de musique, les reproches fusent. Les seules bonnes nouvelles sont ses retrouvailles avec Ivan (Rhys Ifans) et sa rencontre avec Florence (Greta Gerwig), l'assistante de son frère qui sort d'une longue relation amoureuse et qui ne laisse pas Roger indifférent.

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    Déjà avec son dernier film Les Berkman se séparent, le réalisateur Noah Baumbach m'avait laissé perplexe et on peut dire qu'on reste à peu de choses près dans la même veine. Évidemment, en dressant le portrait d'un mec dépressif il ne faut pas s'attendre à éclater de rire même si l'on a en face de nous Ben Stiller, habitué aux comédies. Ici, il campe un personnage acariâtre voire même lunatique donc totalement imprévisible mais la véritable surprise de ce qui ne vient de l'inconnue Greta Gerwig touchante de simplicité. Greenberg ne fait que confirmer que le cinéma de Baumbach est bien singulier et divisera également l'avis du public malgré la performance de Stiller.

     

    Il faut le voir pour : Eviter les anniversaires surprises au restaurant avec vos potes dépressifs.

  • La nuit au musée 2

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    La vie a bien changé pour notre pote Larry Daley (Ben Stiller) qui est devenu inventeur et surtout PDG de sa boite Dalley Devices. Cela fait 2 ans exactement qu’il a quitté son poste de gardien de nuit du Musée d’histoire naturelle et c’est avec grand regret qu’il apprend qu’une grande partie de la collection va être transférée. Car rappelez-vous que Larry a une relation privilégiée avec ce musée depuis que la tablette d’Ahkmenrah a donné vie à tout le musée. Le départ de ses potes d’enfance le rend donc triste mais ce qui n’était pas prévu c’est que cette tablette magique soit également du voyage au Smithsonian de Washington.

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    Ceux qui avaient adoré le premier épisode ne rechigneront pas à retrouver Ben Stiller dans cette nouvelle aventure. L’histoire n’a pas beaucoup évolué à notre grand regret mais le terrain de jeu prend une tout autre envergure avec les apparitions de la célèbre statue d’Abraham Lincoln, du Penseur de Rodin ou encore les peintures qui s’animent à leur tour. Si le scénario tenant sur un timbre poste n’a lui rien pour plaire, on sourira volontiers au zozotement (du moins en V.O.) de l’impitoyable pharaon Kahmunrah ou encore à un Dark Vador qui se fait recaler au poste de méchant de service. La nuit au musée 2 est un film marrant et en tout cas plus fun qu’une banale visite au musée !

     

    Il faut le voir pour : Pratiquer la lampe-torche, ça peut être une arme redoutable.

     

    En savoir plus sur La nuit au musée ?

  • Tonnerre sous les tropiques

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    Tout le monde en parle, Tropic Thunder promet d’être le prochain grand blockbuster du cinéma mais le tournage est émaillé de problèmes. Pas facile de faire collaborer des stars comme Tugg Speedman (Ben Stiller), le roi de l’action ; le comique Jeff Portnoy (Jack Black) ou encore le reconnu Kirk Lazarus (Robert Downey Jr.). Pour calmer leurs excès d’égocentrisme, le réalisateur décide de les envoyer en pleine jungle où il a disséminé des caméras pour rendre son film plus authentique. Le seul problème c’est que cette joyeuse troupe se retrouve impliquée dans un véritable conflit.

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    Sans aucun doute possible la comédie du moment qu’il serait vraiment dommage de manquer. Le star-system hollywoodien en prend pour son grade, des comédiens qui se prennent trop au sérieux aux imprésarios qui ne vivent que pour l’odeur du billet vert ; Ben Stiller n’épargne personne. Non content d’avoir une belle brochette de Gijoe du dimanche, Stiller se paie même le luxe d’offrir un rôle improbable à Tom Cruise qui va vous bluffer. Parce que c’est con et bon, Tonnerre sous les tropiques devient aisément mon Coup de cœur Ciné2909.

     

    Il faut le voir pour : Les bandes-annonces détonantes.