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Ciné2909 - Page 396

  • L'île aux trésors

     

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    Naviguer sur les eaux tumultueuses des nombreux océans du monde en quête d’aventures, voilà ce dont a toujours rêvé notre pote Jim Hawkins (Vincent Rottiers). Quand il entre sous les ordres de sa majesté, il n’imaginait pas devenir simple gardien de prison mais c’est en ce lieu qu’il va rencontrer John Silver (Gérard Jugnot), le plus célèbre des pirates. Très vite, les évènements se précipitent et le voilà embarqué sur l’Hispaniola en compagnie de la baronne Evangelyne Trelawney (Alice Taglioni) à la recherche d’un mystérieux trésor !

     

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    Difficile de sortir un film de pirates sans risquer la comparaison avec la grande saga des Pirates des Caraïbes. Quand on évoque la piraterie ; on pense immédiatement aux abordages, aux combats à l’épée et des trésors à n’en plus finir et si l’on retrouve quelques uns de ces ingrédients, L’ile aux trésors manque cruellement d’action et d’idées. Le film se centre davantage sur des personnages peu crédibles avec un humour qui sent le réchauffé et l’aventure promise laisse place à un ennui tellement profond que vous n’en reviendrez pas !

     

    Il faut le voir pour : Le décolleté d’Alice Taglioni !!!

  • Reeker

    Allo, quelqu’un me reçoit ?

     

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    medium_01.389.jpgIci Jack (Devon Gummersall), j’ai besoin d’aide et vite ! Nous sommes bloqués dans un hôtel ; le Mi-chemin et je ne sais pas vraiment ce qu’il se passe depuis tout à l’heure.

     

    Mes potes et moi on se rendait à la Zone 52 où on nous promettait une énorme fête mais on est tombé en panne ici et depuis nous sommes poursuivis par une espèce de … d’entité, je ne saurais pas vous le dire précisément.

     

    medium_02.109.jpgCe qui est sur en tout cas c’est que certains sont déjà morts alors s’il vous plait, s’il quelqu’un m’entend, qu’il vienne à notre sec…bzzz zzzzz.

     

     

     

    En Résumé : Il y a eu une époque à Hollywood où ce genre de slash-movies pullulaient dans les studios car les spectateurs s’étaient de nouveau passionné pour ce genre si particulier. Aujourd’hui, l’effet s’est atténué mais il y en a toujours qui ont des métros de retard et Reeker c’est donc le bon slash-movie de base qui aurait du sortir il y a 10 ans. Aucune originalité n’est à déplorer dans ce film et même les amateurs de gore seront déçus par le peu d’hémoglobine proposé.

  • Bobby

     

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    Le paysage politique américain est en pleine effervescence en 1968. Les présidentielles battent leur plein et le candidat Robert Francis Kennedy dit Bobby est sur le point de remporter les primaires en Californie. En marge de cette élection, l’hôtel Ambassador déploie lui aussi des mesures exceptionnelles pour accueillir le candidat qui doit y tenir un discours. Hélas, le 04 Juin 1968 restera tristement célèbre puisqu’il s’agit de la date à laquelle on a tiré sur Bobby Kennedy qui meurt quelques heures plus tard. L’Amérique pleure un homme qui était destiné à faire changer les choses.

     

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    Voici un film qui tombe à pic puisque nous allons bientôt élire notre futur président. Bobby n’est pas un biopic dédiée à ce personnage politique que je connaissais peu mais le portrait d’une Amérique chancelante où se mêlent discriminations raciales, contestation de la guerre du Vietnam illustré à travers divers personnages. Il s’agit là d’un excellent film d’Emilio Estevez servi par une pluie de stars comme Demi Moore, Elijah Wood, Sharon Stone, Anthony Hopkins ou Martin Sheen pour ne citer que les plus connus.

     

    Il faut le voir pour : Se convaincre qu’il y a encore de l’espoir dans le monde politique.

  • Infernal Affairs 2

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    Retour aux années 90 à Hong Kong où les gangsters imposent leur loi. Bien avant le règne de Sam (Eric Tsang), cette décennie est marquée par une incroyable lutte des pouvoirs après la mort du grand parrain du clan Ngai. Le commissaire Wong (Anthony Wong) assiste à tout cela avec une certaine impuissance mais il lui reste une carte importante à jouer puisqu’il a une taupe ; le jeune Chan Wing Yan (Shawn Yue), frère du successeur de la famille Ngai.

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    Une suite qui est en réalité un prequel au premier volet et qui lève le voile sur quelques points (utilisés notamment par Scorcese dans Les Infiltrés). Moins porté vers l’action mais évidemment développant davantage les personnages principaux ; Infernal Affairs 2 se révèle un tantinet décevant bien qu’il faille considérer cette saga dans sa globalité. En attendant le 3ème volet, on découvre plus en détails les liens qui unissent le commissaire Wong et Sam et l’on comprend davantage les enjeux évoqués dans le premiuer épisode.

     

    En savoir plus sur Les Infiltrés ?

     

    En savoir plus sur Infernal affairs ?

  • Les ambitieux

     

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    Julien Demarsay (Eric Caravaca) a toujours voulu quitter sa petite ville pour connaitre la gloire. Il est écrivain, une passion qui remonte au lycée et tente désespérément de faire publier son premier livre et le destin va peut-être lui sourire. Grace à une connaissance, il est convoqué à Paris par Judith Zhan (Karine Viard), éditrice de la maison Séchard mais ce rendez-vous tourne court. Plus tard, notre pote retrouve Judith dans un café et après quelques coupes de champagne, il se retrouve dans son lit (ou du moins son canapé). Une rencontre qui va le mener à l’écriture de son prochain roman.

     

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    Sentiment partagé avec ce film car d’un coté, les comédiens sont plutôt bons avec notamment une Karine Viard que j’ai rarement vu aussi excentrique. De l’autre coté, Les ambitieux manquent de ce grain de folie qui aurait pu lui permettre de séduire les spectateurs au lieu de quoi on se retrouve avec une comédie dramatique à l’issue téléphonée. Reste la naïveté touchante de Julien quand il monte à paris ou l’exubérance de Jacques Weber qui vous tiendront en haleine devant un film qui aurait besoin de plus d’ambition !!

     

    Il faut le voir pour : La prestation de Karine Viard.

  • Destination finale 3

    Allô Ashley (Chelan Simmons) ?

     

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    medium_01.387.jpgC'est moi Wendy (Mary Elizabeth Winstead). Ecoutes, je sais que ça peut paraître dingue mais je crois bien que la mort nous poursuit et tu es la prochaine sur la liste.

     

    Tu te souviens quand j'ai eu cette vision sur le grand 8 et que nous avons quitté le train ; on a échappé à la mort mais en réalité on a juste repoussé le moment fatidique. D’une manière ou d’une autre je crois qu’on est destinée à mourir très bientôt mais il faut absolument que l’on fasse quelque chose.

     

    medium_02.108.jpgBon, rappelle-moi quand tu auras ce message je vais essayer de me reposer un peu de mon coté car cette situation incontrôlable me met sur les nerfs.

     

     

    En Résumé : Encore une suite se plaindront certains d'entre vous malgré tout on ne peut pas retirer à Destination finale 3 ses qualités. Il faut dire que James Wong remplit parfaitement sa mission de nous divertir avec un film fun (très bonne scène d'ouverture), gore bref qui saura séduire sans mal la jeune génération. Espérons quand même que les producteurs ne vont pas exploiter le filon jusqu'au bout sinon la lassitude risque de prendre le bout de son nez si ce n’est déjà le cas.

  • Little Children

     

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    Sarah Pierce (Kate Winslet) est une femme apparemment heureuse ; mariée avec une fille adorable et habitant dans un quartier chic. Cependant, quand elle rencontre Brad Adamson (Patrick Wilson), jeune père de famille et aspirant à devenir avocat ; elle est irrémédiablement attirée par cet homme. Au fil des jours, ces 2 parents tissent des liens jusqu’à devenir profondément intimes pendant ce temps, l’agitation règne dans le quartier puisque Ronnie McGorvey (Jackie Earle Healey), anciennement condamné pour pédophilie  vient de s’installer près du square.

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    Little Children n’est pas un film comme un autre et j’ai trouvé qu’il partageait pas mal de points communs avec Desperate Housewives. Contexte similaire, voix off qui sert de narration ; sans aucun doute la série télévisée a dû inspirer le réalisateur Todd Field mais celui-ci apporte une note plus dramatique au sort de nos héros. L’histoire se construit à la manière d’un film choral bien que les personnages ne soient guère nombreux ce qui apporte un peu d’ennui. Mieux vaut avoir le moral avant de s’attaquer à ce film qui reflète la cruauté de la réalité.

     

    Il faut le voir pour : Se dire que la vie n’est pas toujours rose.

  • American Pie présente String Academy

     

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    Etre un membre de la famille Stifler n’est pas toujours une bénédiction. Vous n’avez qu’à demander à notre pote Adam (Steve Talley), lui qui va bientôt quitter le lycée et qui est toujours puceau ! Pourtant cela fait 2 ans qu’il a une relation avec Tracy (Jessy Schram) mais celle-ci ne se sent pas encore prete pour passer aux choses sérieuses. Convaincue qu’elle risque de perdre celui qu’elle aime et qu’il doit répondre à certains besoins naturels ; elle lui donne carte blanche pour 1 week-end. Mauvais timing puisque c’est justement à cette date qu’à lieu la très célèbre Course à poil !

     

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    Rien que le titre vous donnera une idée sur bonnes (?) intentions de ce film. Potes du bon gout et du scénario recherché passez votre chemin car American Pie présente String Academy est le digne successeur de cette saga. Au menu donc du sexe, de l’alcool, des situations pittoresques et des idées complètement absentes si bien que ce film passe pour un pur produit marketing destiné à profiter du succès d’antan de la saga. Si vous avez déjà vu un American Pie, vous pourrez vous passer de celui-là dans le contraire mieux vaut vous rabattre sur le premier épisode.  

  • Rocky Balboa

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    Après avoir connu la gloire, le retour à la réalité est parfois difficile et l’on peut dire que notre pote Rocky Balboa (Sylvester Stallone) n’a pas été épargné par la vie. Adrian (Talia Shire), la seule femme qu’il ait aimé s’est éteinte des suites d’un cancer et lui tente de poursuivre sa vie avec un fils qu’il ne voit que rarement. Pendant ce temps, le champion de boxe actuel Mason Dixon (Antonio Tarver) est loin de faire l’unanimité auprès du public. D’autant plus qu’en simulant un combat avec l’ancienne gloire Rocky Balboa, c’est ce dernier qui serait donné gagnant ce qui réveille l’envie de combattre de notre héros.

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    A la base je ne suis pas un fan de Rocky bien que j’ai vu tous les films de Sylvester Stallone mais j’étais assez curieux de voir ce qu’allait donné ce 6ème volet. Les suites sont rarement réussi mais Rocky Balboa sonne comme l’apothéose d’une grande saga qui aura propulsé Stallone au devant de la scène. Les amateurs de boxe pourront etre déçus car il n’y a qu’un seul et unique combat mais dont l’intensité est époustouflante et croyez-moi que l’émotion sera au rendez-vous lorsque vous entendrez les premières notes du thème mythique Gonna fly now !! Un must pour une sortie digne du grand héros qu’est Rocky.

     

    Il faut le voir pour : Le dernier combat d’un Rocky Balboa émouvant.

  • Shooting Dogs

    Allo maman ?

     

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    medium_01.370.jpgC’est moi Joe (Hugh Dancy). Bon, je ne sais pas si tu m’entends parfaitement, la ligne grésille mais je te donne de mes nouvelles car ici au Rwanda on est en pleine crise.

     

    Le président vient juste d’être victime d’un assassinat et on pense qu’il s’agit d’un coup d’état des Tutsi. Les représailles n’ont pas tardé à se manifester et de nombreuses familles sont venues se réfugier à l’Ecole Technique Officielle qui sert de campement à une délégation de l’ONU.

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    Le père Christopher (John Hurt) nous demande de garder notre calme mais j’ai bien peur que les choses ne seront plus jamais les mêmes.

     

     

    En Résumé : Voilà un passage obligé pour tous les spectateurs qui ont vu et apprécié Hotel Rwanda. On peut d’ailleurs regretter les (trop ?) nombreux points communs entre ces 2 longs métrages mais l’objectif final reste identique : que l’humanité n’oublie pas qu’elle a assisté sans rien faire à l’une des plus grandes ignominies de notre histoire ! Shooting Dogs ne vous laissera pas indifférent d’autant que le réalisateur Michael Caton-Jones livre des images parfois difficiles.