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Ciné2909 - Page 392

  • 300

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    En l’an -480, le tyran Xerxès (Rodrigo Santoro) poursuit sa conquête du monde s’autoproclamant maitre de l’univers mais avant tout il lui faut prendre possession de Sparte. Des terres qu’il n’aura pas facilement puisqu’il lui faudra faire face à la résistance du roi Léonidas (Gerard Butler) et de sa troupe composée de 300 potes d’enfance. Malgré le nombre des ennemis, les spartiates ne reculeront pas et combattront jusqu’à leur dernière goutte de sang pour préserver les libertés de leur peuple.

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    Nouvelle adaptation d’une œuvre de Frank Miller, 300 offrait une bande annonce bien alléchante bien loin de la déception qu’est le long métrage. S’il est vrai que la réalisation de Zack Snyder est séduisante, l’histoire est inexistante et s’englue rapidement dans une atmosphère de patriotisme poussée à l’extrême. Cela donne ainsi quelques scènes assez ridicules à moins de prendre le film au second degré auquel cas les mecs trouveront un film d’action divertissant quant à leurs copines, elles feront une bonne sieste.

     

    Il faut le voir pour : La baston sanglante.
  • La cité interdite

     

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    En Chine, durant le Xème siècle et sous le règne de la dynastie Tang ; on a vu la famille royale détruite par une guerre intestine. Pourtant le retour du prince Jai (Jay Chou) aurait du être une fête mais au lieu de ça, celui-ci apprend que sa mère l’impératrice Phoenix (Gong Li) souffre d’un mal mystérieux. Elle qui prend quotidiennement son remède préparé minutieusement par son époux l’Empereur Ping (Chow Yun Fat) ne constate hélas aucune amélioration. Pour cause, l’empereur tente en réalité de l’empoisonner et quand la vérité éclate elle n’a pas d’autre choix que d’essayer de le renverser.

     

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    Grandiose, Magnifique, Enorme ; les adjectifs manquent pour qualifier le nouveau Zhang Yimou mais il faut dire que le réalisateur s’est donné les moyens puisqu’avec 45 millions de dollars, La cité interdite est le long métrage le plus onéreux de l’histoire du cinéma chinois. Le moment d’extase passé, l’intrigue se construit lentement délaissant les scènes d’action ce qui pourrait en décevoir plus d’un. Quel plaisir tout de même de revoir Chow Yun Fat qui reviendra très bientôt avec Pirate des Caraïbes 3.

     

    Il faut le voir pour : La beauté dans tous les sens du terme.

  • Le come-back

     

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    Alex Fletcher (Hugh Grant) est une grande star de la Musique ou plutôt devrait-on dire était puisque son groupe POP fut l’un des plus grands succès des années 1980. Aujourd’hui, notre pote tente de survivre en chantant lors de différents évènements mais il est bien loin le temps où il était à la tête des charts. La chance lui sourit à nouveau lorsque la populaire Cora Corman (Haley Bennett) lui demande l’écriture d’une chanson qu’ils pourraient interpréter ensemble. L’écriture n’est pas le point fort d’Alex mais heureusement, il fait la connaissance de Sophie Fisher (Drew Barrymore).

     

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    Le film démarre très fort avec un clip kitsch au possible et un Hugh Grant savoureux mais il est bien dommage que la suite soit moins étincelante. Le sujet était pourtant intéressant avec le revival des grands artistes d’autrefois mais mis à part quelques trop rares bonnes idées, on retrouve vite ce que l’on a l’habitude de voir. Si le duo inédit Barrymore/Grant nous agrémente d’une sympathique comédie romantique, on pouvait s’attendre à mieux avec Le come-back. Certains devraient apprécier ce petit film sans prétentions.

     

    Il faut le voir pour : Le clip des POP

  • Ecrire pour exister

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    C’est à Long Beach qu’Erin Gruwell (Hilary Swank) a décroché son poste de professeur d’anglais dans un lycée difficile. Le premier contact avec ses élèves est sulfureux, évitant de justesse une bagarre entre deux de ses élèves. En effet, dans cette partie des Etats-Unis tout est histoire de gangs chacun restant dans son propre coin et gare à ceux qui empiètent sur le territoire de l’autre. Malgré tous les obstacles qui se présentent à elle, Erin est bien décidée à accomplir son devoir et va tout faire pour que ses élèves retrouvent un espoir.

     

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    Au début, j’avais quelques appréhensions à aller voir ce film craignant que le syndrome Esprits rebelles frappe de nouveau. Pas de surprises, on retrouve bel et bien cet effet du prof aux méthodes décalées qui parvient à conquérir la sympathie de ses élèves mais Ecrire pour exister se révèle un peu plus intéressant. A commencer par le thème du racisme plus développé à travers cette histoire de gangs et intelligemment mis en dérision avec le personnage de Ben (Hunter Parrish), le seul blanc de la bande. Bon divertissement.

     

    Il faut le voir pour : Ouvrir un journal intime.

  • Seven Swords

     

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    Durant le 17ème siècle, dans la chine occidentale un décret de l’empereur a interdit toute pratique des arts martiaux. Profitant de cette loi, le général Ravage (Honqlei Sun) et ses troupes en profitent pour exterminer toux ceux qui croisent leur route. Le clan Tienti a eu vent d’une prochaine attaque de Ravage au sein village et c’est pourquoi on a décidé de chercher de l’aide en envoyant deux des habitants. Celui-ci ne tarde pas à arriver avec les 7 lames du mont Céleste, la résistance peur s’organiser !

     

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    Quand on voit le nom de Tsui Hark à la réalisation, on se dit déjà que c’est un gage de qualité même si son expérience aux Etats-Unis n’a pas tenu toutes ses promesses. Dans la plus pure tradition des Wu-xia-pian (Terme qui désigne les films de sabre du cinéma chinois), Seven Swords nous offre son lot d’action et de combats impressionnants par leur chorégraphie. Le tout est donc un agréable divertissement assez long quand même (2h25) et pas aussi marquant que les précédents films du réalisateur hongkongais.

  • Ma place au soleil

     

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    Rien ne va plus chez Odile & Gérard (Nicole Garcia & Jacques Dutronc) ; ce couple passe ses journées à s’ignorer mutuellement. De plus, Gérard a coupé les ponts avec son fils et c’est Odile qui doit leur servir d’intermédiaire ; elle qui a tant besoin d’attention et d’amour ! Dans leur entourage, gravitent d’autres couples comme Sandra & Paul (Valeria Golino & François Cluzet) qui traversent eux aussi une période difficile. Sans oublier Franck (Gilles Lellouche), célibataire malgré lui et faisant preuve d’une maladresse légendaire.

     

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    Dans la famille film choral, voici le petit dernier et l’on ne peut pas dire qu’il nous fera oublier ses prédécesseurs. Comme souvent dans ce genre de film, on retrouve un casting plutôt prestigieux donnant ici la chance à des comédiens comme Gilles Lellouche ou Mélanie Doutey mais le tout manque de liant et de rythme. On s’ennuie devant toutes ces histoires d’amour surtout pour moi qui suis célibataire ! Finalement, Ma place au soleil a déjà été prise et je n’aurais eu droit qu’à une petite place à l’ombre.

     

    Il faut le voir pour : Se demander si on ne s’est pas trompé de salle.

  • Hyper Tension


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    Notre pote Chev Chelios (Jason Statham) est un tueur à gages et à ce titre il a accepté un contrat portant sur Don Kim (Keone Young). Il n’imaginait pas alors qu’il avait son propre arrêt de mort puisque Verona (Jose Pablo Cantillo) a profité de son sommeil pour lui injecter un terrible poison. Le cocktail de Beijing le condamne et lui laisse moins d’une heure à vivre à moins que… Il découvre en effet que la montée d’adrénaline réussit à le maintenir en vie et pour cela il va avoir besoin d‘une bonne dose d’action !!


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    Attention, à lire le résumé de ce film on serait tenté de croire qu’il ne s’agit là que d’un énième film d’action bourrin comme on a trop souvent l’habitude d’en voir. Ne faites pas cette erreur car vous passeriez à coté d’une belle surprise. Si l‘action est bel et bien au rendez-vous, le principal atout de ce film provient du fait qu’il intègre une pointe de dérision qui donne à Hyper Tension une fraicheur bienvenue. Quelques scènes deviennent alors vite inoubliables et si on peut regretter un léger essoufflement vers la fin, ce film mérite largement mon coup de cœur !!

     

    Il faut le voir pour : Vous donner envie d’aller visiter Chinatown.

  • Contre-enquête

     

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    Cela devait être une journée ordinaire égayée par une petite ballade en vélo avec elle mais ce sera la dernière fois qu’il la verra vivante. Richard Malinowski (Jean Dujardin) vient de perdre sa petite fille Emilie (Alexandra Goncalves) retrouvée morte dans un cours d’eau alors qu’elle n’avait que 7 ans. Très vite, la Police Judiciaire arrête le principal suspect Daniel Eckmann (Laurent Lucas) et il est condamné pour ce crime. Un an passe, la douleur est toujours là et Richard voit ce drame remonter à la surface quand il reçoit une lettre d’Eckman dans lequel le prisonnier clame son innocence. Le doute commence à l’assaillir.

     

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    Grand défi pour Jean Dujardin qui doit prouver à ses fans que son talent ne se cantonne pas qu’aux comédies. Le scénario basé sur des faits divers que l’on voit malheureusement trop souvent permet à Contre-enquête de nous offrir un thriller policier assez léger mais qui se laisse tout de même regarder. Dommage que le suspense soit aussi mince et prévisible et ce n’est pas la petite pirouette sur la fin qui rehaussera l’intérêt du film. Quant à Dujardin, il offre une bonne prestation s’effaçant toutefois devant le jeu de Laurent Lucas.

     

    Il faut le voir pour : Trouver un nom approprié à votre chien de garde.

  • Dreamgirls

     

     

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    Cela fait déjà quelques années que nos potes Effie, Deena & Lorell (Jennifer Hudson, Beyoncé Knowles & Anika Noni Rose) participent à d’innombrables concours de chant dans l’espoir d’être enfin reconnues. Le destin frappe à leur porte lorsqu’elles croisent le chemin de Curtis Taylor Jr (Jamie Foxx) qui leur propose dans un premier temps d’accompagner le chanteur James Thunder Early (Eddie Murphy) dans sa tournée en devenant ses choristes. Ce ne sera là qu’un tremplin pour ce trio afin de mieux lancer leur carrière et devenir les mythiques Dreamgirls mais attention le succès pourrait leur monter à la tète !!

     

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    Plus ou moins estampillé Biopic, ce film s’apparente en fait davantage à une comédie musicale avec une légère pointe de dramaturgie. Coté musical vous serez donc servi avec en premier lieu la très populaire Beyoncé Knowles qui confirme ses envies de cinéma et surtout les premiers pas de Jennifer Hudson, ancienne candidate d’American Idol aux Etats-Unis. Interprétation convaincante qui lui vaut d’ailleurs l’Oscar 2007 du meilleur second rôle féminin. Si vous appréciez tout ce qui est comédie musicale, vous allez adorer Dreamgirls pour son coté spectacle rattrapant un scénario et une réalisation des plus classique.

     

    Il faut le voir pour : Eddie Murphy qui offre une belle prestation !

  • la maison des 1000 morts

     

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    Quand nos potes d’enfance Jerry, Bill, Mary & Denise (Chris Hardwick, Rainn Wilson, Jennifer Jostyn & Erin Daniels) se sont arrêtés dans cette station service, ils n’imaginaient pas découvrir un lieu aussi insolite. Véritable musée des horreurs, les 4 jeunes veulent aller plus loin et profiter de ce voyage pour visiter l’attraction locale : l’arbre du Docteur Satan. Sur les conseils du Capitaine Spaulding (Sid Haig), ils reprennent donc leur route sans se douter qu’ils se dirigent droit vers leur mort. En effet, tombés en panne, ils sont recueillis par une famille des plus étranges !

     

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    Les films d’horreur et d’épouvante ne m’ont jamais vraiment intéressé dans la mesure où j’estime qu’il est bien difficile d’apporter quelque idée originale à ce qui a déjà été fait. Beaucoup de films jouent la surenchère sur le coté gore ou une sono puissante destinée à faire sursauter les spectateurs. Je vous rassure ce n’est pas le cas de La maison des 1000 morts qui nous propose une histoire assez banale mais dont le réalisateur Rob Zombie parvient à nous plonger dans un univers déjanté. Mis en bouche par Devil’s rejects, je m’étais promis de jeter un œil à ce premier opus sympathique sans être exceptionnel !