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comédie - Page 74

  • Y'a t-il un flic pour sauver le président ?

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    C’est à l’institut Meinheimer que l’on retrouve notre pote Frank Drebin (Leslie Nielsen) qui vient enquêter sur la terrible explosion qui a eu lieu. Tout porte à croire que cet attentat visait le professeur Albert S. Meinheimer (Richard Griffiths) qui s’est vu confier un état des lieux sur les énergies renouvelables par le Président des Etats-Unis, Georges Bush (John Roarke) en personne ! Sur place, le policier retrouve une vieille connaissance : Jane (Priscilla Presley) qui avait quitté Frank sur l’autel de leur mariage voici 2 ans.

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    Planquez-vous, il est de retour !! Après avoir sauvé la reine, Frank Drebin nous revient pour prêter main forte au Président des Etats-Unis. Si le premier épisode vous avait fait marrer nul doute qu’avec cette suite il en sera de même car notre flic préféré est toujours aussi gaffeur et qu’il s’en passe des choses pendant son enquête. Une parodie comme on les aime bien que le scénario n’ait pas beaucoup évolué ; Jane est toujours aux bras du méchant de service mais tant qu’on rigole ; on ne va pas trop faire les difficiles avec Y'a t-il un flic pour sauver le président ?

  • L’amour a ses raisons

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    L’amour est un sentiment compliqué qui peut intervenir sans que l’on s’y attende et peut également vous réserver son lot de surprises quel que soit notre âge. Roberto (Riccardo Scamarcio) est un futur avocat et s’apprête à épouser Sara (Valeria Solarino), son destin semble tout tracé mais lors d’un voyage dans un village toscan, il va se laisser séduire par Micol (Laura Chiatti). Autre histoire, Fabio (Carlo Verdone) est un célèbre présentateur de télé qui a une vie tranquille mais qui va s’aventurer dans une relation extraconjugale avec l’imprévisible Eliana (Donatella Finocchiaro). Enfin, Adrian (Robert De Niro) est un miraculé de la vie, il a eu une greffe du cœur et celui-ci va battre pour les beaux yeux de Viola (Monica Bellucci).

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    Ah l’amour !! C’est un sujet intarissable et ce n’est pas le réalisateur Giovanni Veronesi qui dira le contraire puisqu’il clôt avec L’amour a ses raisons une trilogie sur ce thème universel. Divisé en 3 parties, le film nous fait passer un agréable moment par son ambiance vaudevillesque dommage que certains détails viennent gâcher la fête. On pense avant tout à ce narrateur étrange, Cupido censé être le Dieu de l’amour qui est ici un chauffeur de taxi (??) jouant les intermédiaires mais personnage qui s’avère plus ridicule qu’autre chose. Et puis il y a les histoires parfois poussives, la 1ère me faisant penser (je vais peut-être faire dresser les cheveux à quelques uns) à Benvenuti al Sud et qui auraient gagné à être raccourcies de quelques minutes.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir qu’un homme est plus rapide qu’une voiture !

  • Pourquoi tu pleures ?

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    Dans quelques jours il (Benjamin Biolay) va voir sa vie basculer car il est sur le point de se marier. Pour l’instant, il célèbre comme il se doit ses dernières heures d’homme libre avec ses potes d’enfance et c’est à cette occasion qu’il fait la rencontre de Léa (Sarah Adler) avec qui il va terminer la soirée. Le lendemain matin, il revient à la réalité car les préparatifs de son mariage sont loin d’être réglés et chose encore plus importante ; il ne trouve pas Anna (Valérie Donzelli), sa future femme ! Alors que les heures s’égrènent, il ne cesse de réfléchir à cette relation et commence à douter du bien-fondé de leur union.

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    Personnellement, je n’ai rien contre Benjamin Biolay mais il montre ici ses limites en tant que comédien incapable de donner la moindre émotion à son personnage. Alors que le mariage devrait être synonyme de fête et de joie, on se retrouve avec une ambiance presque digne de funérailles. Le temps parait alors bien long devant les tourments de ce marié heureusement les rayonnantes Emmanuelle Devos & Valérie Donzelli nous font tenir le coup. Si vous vous apprêtez à échanger vos vœux, mieux vaut se passer de Pourquoi tu pleures ? qui pourrait immiscer le doute dans certains esprits.

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’appeler vos enfants Coin coin ou Cui cui même si Cui cui c’est moins ridicule !

  • Low cost

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    Bienvenue à bord du Boeing 737-200 affrété par la compagnie Lebud Jet, l’avion va bientôt quitter Djerba pour rejoindre Paris … du moins c’est ce qui était prévu ! En effet, alors que le décollage était imminent, les passagers apprennent que leur voyagiste a fait faillite et que l’appareil est désormais cloué au sol. Refusant de quitter leurs sièges, les passagers avec Dagobert (Jean-Paul Rouve) en tête décident d’occuper l’avion et mieux encore de le faire décoller ! Parmi eux se trouve Jean-Claude (Gérard Darmon), ancien pilote avec 35 000 heures de vol à son actif qui est prêt à reprendre du service. Les voilà donc dans le ciel mais à leur atterrissage, ils vont vite déchanter !

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    En voilà une très bonne surprise de notre pote Maurice Barthélémy, Low cost est une comédie qui n’est pas sans nous rappeler le mythique Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? On embarque donc pour un vol mémorable avec une belle galerie de personnages parmi lesquels on retrouve en première ligne son ex-compère des Robins des bois Jean-Paul Rouve. Bien entendu, si vous vous souvenez des sketches qui ont fait les belles heures de Canal +, vous savez qu’il faut s’attendre à un humour plutôt absurde et je vous garantis que vous allez vous marrer ! Un film rafraîchissant qui ne vole certes pas très haut mais assez pour nous changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’avoir peur des nains !

  • Y’a-t-il un flic pour sauver la reine ?

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    En planque et sur la piste d’un réseau de drogues, notre pote Nordberg (O. J. Simpson) a malheureusement été repéré et s’est retrouvé dans un piteux état. C’est le valeureux Frank Drebin (Leslie Nielsen) qui va prendre le relais de cette enquête qui va le mener tout droit au bureau du suspect N°1, un certain Vincent Ludwig (Ricardo Montalban). En apparence, cet homme n’a rien à se reprocher, la preuve en est qu’il préside le comité chargé d’accueillir la visite officielle de la Reine d’Angleterre Elisabeth II (Jeannette Charles). Mais le flair de Frank est infaillible même s’il se laissera détourner par les yeux de la belle Jane Spencer (Priscilla Presley), il fera son devoir de flic avant tout !

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    Le rôle de Frank Drebin est sans aucun doute possible celui qui a permis à Leslie Nielsen de se faire connaitre dans le monde. A la réalisation, retrouve bien évidemment David Zucker et son humour absurde mais tellement efficace d’autant plus que Leslie Nielsen (repéré dans Y’a-t-il un pilote dans l’avion ?) est réellement irrésistible dans la peau de ce flic gaffeur. Là encore, on aura l’occasion de retrouver son personnage puisque cet épisode sera le premier - et le meilleur - d’une trilogie. Y’a-t-il un flic pour sauver la reine ? est donc une comédie culte, un must dans le genre de la parodie bien loin des inepties proposées de nos jours.

  • Medianeras

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    Buenos Aires compte plus de 3 millions d’habitants parmi lesquels notre pote Martin (Javier Drolas), créateur de sites webs et qui passe le plus clair de son temps scotché sur son écran d’ordinateur. Comme seule compagnie, il a un petit chien dont il a hérité de son ex partie aux États-Unis et qui a décidé de faire sa vie là-bas. Non loin de chez Martin, il y a Mariana (Pilar López de Ayala) ; une jeune architecte qui aurait aimé voir se construire une de ses réalisations mais qui doit pour le moment se contenter de décorer les vitrines des magasins. Elle aussi est en proie à une grande solitude et semble avoir plus d’affinités avec les mannequins en plastique qu’elle a chez elle qu’avec n’importe qui d’autre.

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    Avis partagé pour Medianeras qui s’intéresse au destin de 2 célibataires qui vont finir par se rencontrer. Avant d’arriver à ce happy-end prévisible qui nous fait quitter la salle avec un le cœur léger, on a toutefois droit à des portraits à l’image de leur existence à savoir assez mornes. D’ailleurs, le plus intéressant reste le contexte dans lequel tous deux évoluent ; la ville de Buenos Aires semblable à toutes les grandes métropoles devient un personnage à part entière où la communication ne s’opère qu’à travers les progrès technologiques. Pour son premier film au cinéma, le réalisateur Gustavo Taretto a réadapté son court-métrage mais n’est pas parvenu à trouver le rythme adéquat pour nous emballer.

     

    Il faut le voir pour : Aller vous acheter un pull rayé blanc et rouge.

  • Gianni et les femmes

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    Malgré le fait qu’il soit marié et père de famille, notre pote Gianni (Gianni Di Gregorio) est un grand séducteur ou du moins il l’était ! Alors que Rome regorge de femmes magnifiques, il semblerait que cet homme retraité soit devenu complètement transparent et cela, il ne peut le supporter. Il décide alors de reprendre les choses en main en se remettant par exemple au sport mais il va devoir se faire une raison : il n’est plus le fringant jeune homme d’autrefois. Quand il n’est pas ignoré, les femmes le considèrent comme le parfait … grand-père ! Et puis comme s’il n’avait pas assez de tracas, sa mère (Valeria De Franciscis) ne cesse de l’importuner et de dilapider son argent.

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    C’est vrai que les hommes ont parfois un ego sur-dimensionné et ce n’est pas notre pote Gianni Di Gregorio qui me contredira. Le réalisateur auréolé du succès critique avec Le déjeuner du 15 Aout incarne ainsi un jeune retraité qui a perdu tout son pouvoir de séduction et qui constate bien malgré lui les ravages de la vieillesse. Une comédie très légère avec 2-3 bons moments (notamment avec la mère accro au poker) mais pas de quoi marquer les mémoires des spectateurs. On est tout juste sauvé de l’ennui car le personnage est véritablement attachant mais on oubliera Gianni et les femmes. A privilégier surtout si vous êtes à la retraite ou pour vous consoler de vous être pris un râteau !

     

    Il faut le voir pour : Confisquer les bouteilles de champagne à votre mère !

  • Monsieur papa

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    Cette fois notre pote Marie Vallois (Michèle Laroque) a décidé d’agir, elle va prendre les choses en main pour satisfaire son fils Marius (Gaspard Meier-Chaurand). Ce dernier s’est montré particulièrement turbulent avec une idée en tête ; retrouver son père qu’il n’a jamais eu la chance de connaitre. C’est ainsi qu’une idée a germé dans l’esprit de Marie : engager un homme qui se ferait passer pour le père de Marius et c’est ce qui l’a conduit à se présenter auprès de Robert Pique (Kad Merad) qu’elle avait croisé sur son lieu de son travail. L’objectif est de détruire le mythe qu’a construit Marius autour de son père mais les choses ne vont pas se passer comme elle le voudrait.

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    On en a beaucoup parlé et le voilà devant nos yeux ce premier film réalisé par Kad Merad qui enfile par la même occasion la casquette de comédien. Des débuts prometteurs avec Monsieur papa car il a eu l’intelligence de ne pas en faire une comédie banale qui se serait perdue dans la masse de productions françaises. Le seul hic c’est un manque d’émotions dans la relation entre le jeune Marius et Robert, on n’est pas du tout convaincu par les rapports entre ces 2 personnages ce qui plombe complètement ce film. En fonction de ses affinités avec le nouveau réalisateur, on sera plus ou moins indulgent et pour ma part la surprise se mêle à une certaine déception.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que les hommes ne savent pas repasser les vêtements !

  • Blonde movie

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    Alexis & Lindsay (Cameron Richardson & Sophie Monk) sont les meilleures potes d’enfance au monde et ces 2 charmantes blondes partagent un autre point commun : elles cherchent le mec idéal. En y réfléchissant, elles sont encore jeunes et jolies et ne veulent pas vraiment s’embarrasser d’un petit-ami. Non, l’idéal pour elles ce serait de trouver un homme capable de les monter au 7ème ciel et qu’il disparaisse aussitôt de leur vie. Elles montent alors un plan infaillible ; assommer les mecs qui leur plaisent et tout faire pour les mettre dans leur lit.

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    Si ce n’est pas fait, lisez attentivement le résumé de l’histoire car cela situe bien le niveau abyssal de cette prétendue comédie. Déjà, le titre est trompeur car on aurait pu croire qu’il s’agissait d’une énième parodie initiée par Aaron Seltzer et Jason Friedberg ; en même temps on s’en fiche vu que cela n’aurait certainement pas rehaussé la qualité de Blonde movie. On ne rit jamais et les élucubrations de ce duo est aussi intéressant que de regarder le générique de fin. Pour le coup, il faut vraiment être très blonde pour apprécier ce navet servi en double ration !

  • Le complexe du castor

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    Il fut un temps où Walter Black (Mel Gibson) fut heureux mais cette époque semble bien loin désormais. Plongé dans une profonde dépression, son état n’a cessé d’empirer au fil des années et cela affecte également toute sa famille ; sa femme Meredith (Jodie Foster) et ses 2 fils Porter & Henry (Anton Yelchin & Riley Thomas Stewart). Une situation qui a conduit le couple à se séparer et Walter s’était résigné à mettre fin à ses jours jusqu’à ce qu’il trouve une marionnette de castor qui va devenir son meilleur pote d’enfance. Difficile au départ de le prendre au sérieux néanmoins on ne peut que constater les progrès que cette marionnette a sur son état de santé.

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    Après la tempête médiatique qui s’est abattue sur notre pote Mel Gibson, l’actrice et réalisatrice Jodie Foster lui démontre son soutien indéfectible en lui confiant ce rôle de composition et certainement l’un des meilleurs de sa carrière. Le complexe du castor dresse le portrait d’une famille brisée par la dépression dont laquelle s’est enfermée Walter, un personnage auquel on s’attache presque instantanément. C’est l’occasion de revoir également la jeune Jennifer Lawrence qui nous avait totalement charmé dans l’étonnant Winter’s bone. Un film drôle, émouvant et authentique qui fera le bonheur de tous les amateurs du 7ème art.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier s’il n’y a pas un trou dans le mur de la chambre de vos enfants.