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cinema - Page 308

  • Brendan et le secret de Kells

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    C’est au sein de l’abbaye de Kells qu’a grandit notre pote Brendan, lui qui ne s’est jamais aventuré à l’extérieur. Hors de l’abbaye, le danger est grand car une attaque des vikings est possible à tout moment et c’est bien pour cela que son oncle l’Abbé Cellach s’est lancé dans la construction d’un grand mur. Cette mesure de protection ne convainc pas tout le monde et notamment le nouveau venu Frère Aidan qui a déjà eu à faire aux attaques vikings. Avec lui, il a apporté le précieux livre des enluminures qui éveille la curiosité de Brendan.

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    Le film de Tomm Moore se veut très singulier ne serait que par son histoire qui s’inspire des origines du Nouveau testament. Au point de vue graphique, on ne tape pas dans le sophistiqué (visuellement les formes géométriques s’entrechoquent) mais c’est la réalisation qui nous entraine dans une autre dimension. Brendan et le secret de Kells n’est pas à proprement parler un dessin animé mais plutôt un merveilleux livre animé où chaque page est une perle pour les yeux. Une très belle découverte pour les enfants.

     

    Il faut le voir pour : Aller cueillir des baies dans la foret pour économiser sur l’encre de vos enfants.

  • La légende de Despereaux

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    La ville de Dor était autrefois réputée pour la fête annuelle que l’on consacrait à la soupe du grand cuisinier André. Hélas, cette tradition fut interdite après la mort de la reine qui avait trouvé un rat pataugeant dans sa soupe. Depuis ce triste évènement, le roi sombra dans la tristesse et décida de bannir la soupe mais également les rats de son royaume. Pendant ce temps, à quelques mètres sous terre une souris appelée Despereaux Tilling provoque la panique chez ses semblables à cause de son courage. Il n’a peur de rien, est curieux de tout et ose même s’aventurer auprès des humais et c’est d’ailleurs à cette occasion qu’il va croiser la princesse.

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    Les 10 premières minutes laissent penser qu’il s’agit là d’un nouveau Ratatouille mais ensuite l’histoire prend un peu plus d’ampleur. D’ailleurs la construction scénaristique façon film choral pourrait perturber les plus petits puisqu’autour de Despereaux gravitent de nombreux personnages. C’est comme une bonne soupe, plus il y a d’ingrédients meilleure elle sera ! La légende de Despereaux prend également parfois des allures de Souris City ce qui n’est pas si étonnant puisque son réalisateur Sam Fell officie également ici. Un bon petit dessin animé à découvrir en famille.

     

    Il faut le voir pour : Trouver le bon moyen de faire manger de la soupe à vos enfants.

  • Le séminaire

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    Direction Paris pour Jean-Guy Lecointre (Gérard Chaillou) et ses employés afin d’y suivre un séminaire qui devrait leur permettre de renforcer un esprit d’équipe déficient. C’est pas gagné lorsqu’on connait les personnes qui l’entourent : Hervé, Jean-Claude, Jeanne, Maeva & Philippe (Bruno Solo, Yvan Le Bolloc’h, Jeanne Savary, Armelle & Alain Bouzigues) ne peuvent passer un instant sans que cela tourne au pugilat. Pour Hervé, ce séminaire est une vraie farce tandis que pour Jean-Claude, la montée sur Paris est l’occasion de retrouver sa femme qui l’a quitté.

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    Après une première adaptation sur le grand écran plutôt réussi, la série télévisée Caméra Café joue les prolongations confiant cette fois la réalisation à Charles Némes. Commençons avec le seul point positif, on retrouve avec plaisir une bonne partie de la troupe qui nous a tant fait rire avec en première ligne Bruno Solo & Yvan Le Bolloc’h. Par contre on déchante vite à cause du rythme, Le séminaire est très haché et l’osmose entre les personnages est loin de crever l’écran. Il est temps de terminer ce café avant qu’il ne soit trop froid !

     

    Il faut le voir pour : Ne pas essayer de faire la course avec le TGV, c’est perdu d’avance !

  • Meilleures ennemies

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    Potes d’enfance depuis plus de 20 ans, Liv & Emma (Kate Hudson & Anne Hathaway) rêvaient du jour de leur mariage. Tout était déjà planifié, leur mariage aurait lieu au Plaza durant le mois de Juin et ce qui n’était jusque là qu’un rêve est désormais devenu réalité ! Elles n’ont donc plus que 3 mois et demi pour préparer leur mariage et il y a encore tant à faire jusqu’à ce qu’elles apprennent qu’il y a eu une malencontreuse erreur dans les dates. Les deux mariages sont programmés le même jour et l’une comme l’autre n’a pas l’intention de renoncer à célébrer leur union.

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    Le mariage, le mariage ; quelle femme n’en a pas rêvé au moins une fois dans sa vie ? On dit que c’est le plus beau jour d’une vie et c’est parce qu’elles fondent tous leurs espoirs là-dedans que Kate Hudson & Anne Hathaway se crêpent le chignon faisant voler en éclat leur belle amitié. De cette confrontation ressortent quelques sourires mais on est bien loin de la grande comédie. Meilleures ennemies aura au moins le mérite de mettre en avant cette manie des femmes à sacraliser un évènement qui a perdu aujourd’hui cette valeur ancestrale.

     

    Il faut le voir pour : Penser à se renseigner sur les formalités pour vous pacser

  • Ricky

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    Une nouvelle journée démarre pour Katie (Alexandra Lamy) et sa fille Lisa (Mélusine Mayance), un quotidien banal chez une famille tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Ces habitudes vont être chamboulées avec l’arrivée de Paco (Sergi Lopez) que Katie a rencontré au travail et qui est venu habiter avec eux. De cette relation nait alors un beau bébé, Ricky (Arthur Peyret) qui va radicalement changer leur vie. Au départ, ce n’était que de simples marques comme des traces de coups mais avec le temps ce sont de véritables ailes qui poussent dans le dos du bébé !

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    A l’origine de Ricky, il y a une nouvelle de quelques pages écrite par Rose Tremain que François Ozon a voulu transposer à l’écran. Le début du film pose les bases d’un drame avec une Alexandra Lamy bouleversante mais par la suite on lorgne plus vers la comédie avec un soupçon de fantastique. Désarçonné par le rapport au temps que le réalisateur impose, on se surprend aussi à rire alors que sont développés des thèmes comme la précarité, la famille recomposée ou l’acceptation de la différence. Un film plaisant mais au gout d’inachevé à l’image d’un dénouement qui laisse libre cours à de nombreuses interprétations.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus manger les ailes du poulet.

  • Push

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    C’est en 1945 que tout a débuté en plein milieu de la Seconde Guerre Mondiale. Des expériences étaient pratiquées sur des hommes dans le but de les doter de pouvoirs. Ces expérimentations se sont poursuivies et on compte aujourd’hui à travers le monde de nombreuses personnes aux capacités surnaturelles. Notre pote Nick Gant (Chris Evans) fait partie de ceux-là et habite à Hong-Kong où il essaie d’échapper à La division ; une organisation qui cherche à mettre sur pied une armée de surhommes. Peu de temps après, il reçoit la visite de Cassie (Dakota Fanning), une rencontre qu’on lui avait prédit des années auparavant.

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    En attendant de voir débarquer une nouvelle vague de super-héros sur nos écrans, voici venir Push dont l’histoire nous rappelle Jumper . La différence vient surtout du fait qu’on a droit là à une pléiade de pouvoirs ; les hurleurs qui vous décollent les tympans, les Watcher qui peuvent voir l’avenir ou encore les Pusher qui ont des dons en télékinésie. De l’écran, on s’attendait à voir surgir du grand spectacle, des effets spéciaux de folie mais que nenni ! Pour l’action on repassera car en dehors de 2 scènes en début et fin de film ; on n’a pas une grande démonstration des pouvoirs et ça c’est carrément décevant ! En gros, rien de super à signaler.

     

    Il faut le voir pour : Se rendre compte qu’il est bien difficile de différencier une olive d’un rubis.

  • Starship Troopers 3 : Marauder

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    C’est un grand jour pour le Colonel Johnny Rico (Casper van Dien) et ses hommes car ils vont recevoir la visite du Sky Marshal Omar Anoke (Stephen Hogan) ; le légendaire héros de la Fédération. C’est accompagné du Général Dix Hauzer (Boris Kodjoe) et du Capitaine Lola Beck (Jolene Blalock) qu’il atterrit sur la planète Roku San, la ligne de front de la Seconde guerre contre les parasites. Or les choses se gâtent quand les boucliers électriques tombent en panne et une véritable boucherie commence. Le Sky Marshal a le temps de s’enfuir mais sera obligé d’emprunter une navette de secours qui échouera sur la planète OM-1.

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    S’il y a de la place pour un second épisode pourri, il y en a surement pour un 3ème tout aussi dénué de qualités. Les producteurs font quand même l’effort de faire revenir leur héros originel Casper Van Dien que l’on avait complètement perdu de vue depuis le premier épisode. Pour en revenir au film, on espère que Starship Troopers 3 : Marauder sera la dernière déclinaison de la saga car ça commence à virer franchement au ridicule. A certains moments, on se demande même si on n’est pas devant un épisode des Power rangers les costumes en collant en moins. Avec le second épisode, voici ce qui finira de vous achever et de vous dégouter de Starship Troopers.

     

    En savoir plus sur Starship Troopers ?


    En savoir plus sur Starship Troopers 2 : Héros de la fédération ?

  • L’étrange histoire de Benjamin Button

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    La vie de notre pote Benjamin Button (Brad Pitt) n’a rien de commun avec la notre. C’est à la fin de la Première Guerre Mondiale qu’il voit le jour provoquant malheureusement la mort de sa mère. Le nouvel héritier de la famille Button a l’apparence d’un vieillard et son père sous le choc l’abandonne. Recueilli par Queenie (Taraji P. Henson), on ne lui laisse que peu de temps à vivre et pourtant les années passent et Benjamin est toujours parmi nous. Ce qui est encore plus incroyable c’est qu’il semble rajeunir, retrouvant la vigueur de son corps tandis qu’autour de lui le temps fait son œuvre.

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    C’est une nouvelle de l’auteur Francis Scott Fitzgerald qui a inspiré le nouveau film de David Fincher intronisé chef d’œuvre du 7ème art. La durée du film pourrait vous dissuader de vous rendre en salle mais soyez assuré qu’une fois plongé dans L’étrange histoire de Benjamin Button, vous perdrez vous aussi toute notion du temps. Drôle, touchant mais surtout captivant avec un Brad Pitt méconnaissable dans ses premières années et une Cate Blanchett envoutante ; voilà tout simplement du bon cinéma. Et puis il faut prendre le film avec philosophie, que l’on vieillisse ou que l’on rajeunisse ; on est tous destiné à disparaitre un jour ou l’autre de cette terre.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre qu’on peut se faire frapper par la foudre n’importe où et à n’importe quel moment.

  • Lol (Laughing out loud)

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    C’est la reprise des cours pour Lola (Christa Theret), c’est triste et excitant à la fois. Alors qu’elle se faisait une joie de retrouver son Arthur (Félix Moati), ce dernier lui avoue qu’il a couché avec une autre fille durant l’été juste pour voir comme il dit. Evidemment, Lola le prend très mal et leurs relations vont vite devenir délétères mais heureusement qu’elle est bien entourée notamment par son meilleur ami Maël (Jérémy Kapone). Ces deux là passent de plus en plus de temps ensemble et ce qui devait arriver arriva ; ils tombent amoureux l’un de l’autre. Le seul souci c’est que Maël est aussi le pote d’enfance d’Arthur et qu’il a l’impression de le trahir.

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    Comment ne pas repenser à La boum surtout lorsque Sophie Marceau elle-même vient remettre le flambeau à la jeune Christa Theret. Evidemment, Lol (Laughing out loud) s’est adapté à son époque et les SMS, la communication par MSN Messenger ou encore les sorties au McDo constituent désormais le quotidien des adolescents d’aujourd’hui. Cette comédie est réussie car fidèle, sans excès dans le portrait dressé des jeunes et surtout un humour tout public. C’est donc l’occasion pour les parents et leurs enfants adolescents de passer un peu de temps ensemble dans les salles obscures.

     

    Il faut le voir pour : ne plus s’étonner de la disparition du poulet du frigo.

  • 2001 Maniacs

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    Enfin, les cours sont terminés ! Place maintenant aux vacances et direction Daytona Beach pour Anderson Lee (Jay Gillespie) et ses deux potes d’enfance. Le programme est simple ; la plage, le soleil et un maximum de nanas. Oui mais encore faut-il qu’ils arrivent à destination car sur la route ils tombent sur une déviation qui va les conduire dans un endroit bien particulier ; la Vallée des plaisirs. Sans trop comprendre pourquoi, ils sont accueillis par toute cette communauté pour le moins surprenante et notamment par leur maire Buckman (Robert Englund).

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    Voici venir un film d’horreur bien décalé par rapport à ce qu’on peut voir d’habitude. Ici, mieux vaut apprécier le 2nd degré pour apprécier à sa juste valeur 2001 Maniacs car d’une part l’histoire principale est très banale mais surtout ce sont les personnages qui sont volontairement dépeints comme des "attardés" de la lointaine campagne. Evidemment, malgré le coté un peu comique de la situation, ça reste un film d’horreur avec tout ce qu’il faut en matière d’hémoglobine et de scènes gores qui feront le bonheur des amateurs du genre.