Push
C’est en 1945 que tout a débuté en plein milieu de la Seconde Guerre Mondiale. Des expériences étaient pratiquées sur des hommes dans le but de les doter de pouvoirs. Ces expérimentations se sont poursuivies et on compte aujourd’hui à travers le monde de nombreuses personnes aux capacités surnaturelles. Notre pote Nick Gant (Chris Evans) fait partie de ceux-là et habite à Hong-Kong où il essaie d’échapper à La division ; une organisation qui cherche à mettre sur pied une armée de surhommes. Peu de temps après, il reçoit la visite de Cassie (Dakota Fanning), une rencontre qu’on lui avait prédit des années auparavant.
En attendant de voir débarquer une nouvelle vague de super-héros sur nos écrans, voici venir Push dont l’histoire nous rappelle Jumper . La différence vient surtout du fait qu’on a droit là à une pléiade de pouvoirs ; les hurleurs qui vous décollent les tympans, les Watcher qui peuvent voir l’avenir ou encore les Pusher qui ont des dons en télékinésie. De l’écran, on s’attendait à voir surgir du grand spectacle, des effets spéciaux de folie mais que nenni ! Pour l’action on repassera car en dehors de 2 scènes en début et fin de film ; on n’a pas une grande démonstration des pouvoirs et ça c’est carrément décevant ! En gros, rien de super à signaler.
Il faut le voir pour : Se rendre compte qu’il est bien difficile de différencier une olive d’un rubis.