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Premières Impressions 2009 - Page 30

  • Twilight - Chapitre 1 : Fascination

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    Pour laisser sa mère voyager avec son nouveau mari, Bella (Kristen Stewart) a été contrainte de quitter l’Arizona pour la ville de Forks, dans l’état de Washington où habite son père. Pas évident d’arriver au plein milieu d’un semestre mais rapidement elle se fait des potes d’enfance et remarque un groupe à part les Cullen. Ceux-ci ont été recueillis par le Docteur Carlisle Cullen (Peter Facinelli) et se retrouvent marginalisés par les étranges histoires qu’on raconte. Bella est intriguée par cette famille surtout depuis qu’elle a vu le beau Edward (Robert Pattinson) qui lui non plus ne semble pas insensible à son charme.

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    Des vampires au cinéma, c’est loin d’être nouveau par contre incorporer une histoire d’amour entre un humain et un vampire, ça change la donne. En plus de ça, Stephenie Meyer a pris soin dans le roman, dont Twilight-Chapitre 1 : Fascination est l’adaptation, de donner une nouvelle jeunesse aux vampires. On est assez loin des habituels clichés liés à leurs faiblesses à l’ail, aux croix ou encore à leur absence de reflet dans le miroir. Sans être génial, le film séduira ceux et surtout celles qui sont venus découvrir une belle histoire d’amour.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais jouer au base-ball contre des vampires, vous n’auriez aucune chance.

     

    En savoir plus sur Twilight - Chapitre 2 : Tentation ?


    En savoir plus sur Twilight - Chapitre 3 : Hésitation ?


    En savoir plus sur Twilight - Chapitre 4 : Révélation 1ère Partie ?


    En savoir plus sur Twilight - Chapitre 5 : Révélation 2ème Partie ?

  • De l’autre coté du lit

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    Pour notre pote Ariane (Sophie Marceau), c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ! Alors qu’elle n’a pas arrêté de courir dans tous les sens, son mari Hugo (Dany Boon) ne trouve rien de mieux que de lui reprocher de ne pas avoir contacté M. Goncalvo (Arsène Mosca) pour s’occuper des travaux de la maison. Un coup de poing et quelques explications plus tard, la décision est prise : Ariane & Hugo vont échanger leur place. Pendant une période d’un an ; Hugo s’occupera des enfants et des taches quotidiennes tandis que sa femme devra gérer sa société Jailoutil.

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    Dans le genre De l’autre coté du lit ne fait pas dans la grande originalité puisque l’année dernière déjà nous avions eu droit à une expérience identique avec 48 heures par jour. Reste qu’il s’agit ici de l’adaptation du roman d’Alix Girod de l’Ain mais cela ne pardonne pas le vide qui définit cette soi-disante comédie. Coté moralité on est également bien servi ; arrêtez de vous noyer dans le travail et pensez un peu à votre famille pour être heureux ! En attendant, pour payer le cinéma et voir de telles sottises, il faut bien bosser.

     

    Il faut le voir pour : Mieux cacher vos nounours en chocolats.

  • Il divo

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    Rome dans les années 1990. Giulo Andreotti (Toni Servillo) est un homme politique influent qui a derrière lui une expérience considérable. Nommé à sept reprises Président du conseil et ayant été à la tête de nombreux ministères, il est estimé à juste titre comme l’un des plus grands hommes politiques que l’Italie ait connu. Pourtant, derrière ce séduisant portrait se cache un individu à la personnalité plus complexe. Le pouvoir politique ne s’obtient pas sans certains sacrifices et il convient de bien choisir ses alliances même s’il s’agit de la Cosa Nostra.

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    Déjà que la politique de notre pays ne donne pas vraiment confiance que dire de celle de nos potes italiens ? Après avoir regardé Il divo, vous ne portez plus jamais le même regard sur la politique car sachez-le bien Giulo Andreotti n’est pas un personnage fictif ! Autant le sujet est passionnant autant j’ai pas vraiment été emballé par la réalisation soignée mais terriblement désordonnée qui fait perdre le fil au spectateur. Un film qui brille par son histoire, donnant envie de se plonger dans l’histoire politique italienne, mais qui risque de rebuter beaucoup d’entre vous.

     

    Il faut le voir pour : Observer les mains de la personne à qui vous parlez.

  • Tout … sauf en famille

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    Cela fait déjà 3 ans que Kate & Brad (Reese Whiterspoon & Vince Vaughn) ont décidé de boycotter les fêtes de noël en famille. Il faut dire qu’ils ont tous deux des parents divorcés et passer 4 noëls d’affilée n’est pas pour les ravir. Pour échapper à cela, rien de plus simple, ils leur font croire qu’ils sont en voyage à l’étranger et mieux encore pour apporter leur aide aux défavorisés. Cette année, ils devaient se la couler douce aux iles Fidji mais à cause d’un brouillard compact, ils sont coincés et comble de malchance, ils sont interviewés à la télévision. Apprenant la nouvelle, leurs familles respectives s’empressent de les convier à fêter noël en leur compagnie, géééniiial !

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    Alors que Noel est censée être une fête qui permet les retrouvailles familiales dans la joie et la bonne humeur ; Tout … sauf en famille va à contre-courant de ces vieilles traditions. Si l’intention n’est pas mauvaise, cette comédie affiche trop vite ses limites par son humour aussi répétitif que prévisible. Sans compter que Reese Whiterspoon & Vince Vaughn ne sont pas du tout crédibles en tant que couple. Le film est donc une comédie très légère qui souhaitait juste profiter des fêtes de fin d’année pour attirer les spectateurs mais au prix du ticket de ciné, mieux vaut encore rester avec sa famille.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais répondre aux interviews télévisés.

  • The spirit

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    Bienvenue à Central City, fief du Spirit (Gabriel Macht). Celui-ci est devenu son justicier masqué toujours prêt à venir en aide et à combattre le crime avec en tête le maléfique Octopus (Samuel L. Jackson). D’ailleurs, il a encore frappé ; à la recherche d’un coffre renferment un trésor inestimable : le sang d’Héraclès qui pourrait lui conférer l’immortalité. Manque de chance, il y avait 2 coffres et c’est la sublime Sand Saref (Eva Mendes) qui a ce qu’il convoite et réciproquement. Pendant ce temps, le Spirit est bien décidé à mettre la main sur son ennemi juré mais il veut également découvrir le mystérieux lien qui les unit.

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    Si Frank Miller est un grand maitre du Comic book, il doit encore faire ses preuves avant de prétendre être un réalisateur digne de ce nom. Pas de surprises, visuellement c’est proche de Sin City mais les comparaisons s’arrêtent là. The spirit manque vraiment de punch et le scénario aurait gagné à être un peu plus étoffé. Pour sa première réalisation solo, Miller signe un travail incomplet qui aurait pu être aussi passionnant qu’un Sin City mais se révèle bien mièvre. La bande-annonce laissait augurer du bon mais c’est une grande déception ; le film est bien meilleur sur la forme que sur le fond et ne marquera pas nos esprits !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de jouer avec les photocopieuses !

  • Louise-Michel

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    Quelque part en Picardie, des ouvrières ont eu la désagréable surprise de voir que leur usine a fermé ses portes sans les avoir prévenus. Evidemment, les indemnités ne sont que des peccadilles et c’est alors qu’elles décident de mettre en commun cet argent pour monter un projet. Un calendrier à poil, monter un restaurant ; toutes les idées étaient les bienvenues mais c’est celle de Louise (Yolande Moreau) qui a été retenue : assassiner le patron ! Il faut maintenant chercher l’homme qui sera capable d’effectuer ce contrat et coup de chance elles tombent sur Michel (Bouli Lanners), un assassin professionnel.

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    Après le très particulier Avida, le duo Benoit Délépine/Gustave de Kervern nous reviennent avec une comédie plus accessible et savoureusement irrévérencieuse. Les amateurs du pays de Groland ne seront pas dépaysés et l’on retrouve d’ailleurs quelques visages bien connus dans Louise-Michel. Pour ceux qui sont moins familiers à cet univers, l’humour est assez trash et il semble n’y avoir aucunes limites dans la tête des auteurs donnant lieu à des scènes d’anthologie ! On retrouve donc bien la marque de fabrique de Délépine & Kervern ce qui est une sacrée bonne nouvelle pour le spectateur.

     

    Il faut le voir pour : Garder sur soi un briquet si vous devez assister à une crémation.

  • Histoires enchantées

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    Pour dépanner sa sœur Wendy (Courteney Cox), notre pote Skeeter Bronson (Adam Sandler) a accepté de garder sa nièce et son neveu Bobbi & Patrick (Laura Ann Kesling & Jonathan Morgan Heit) qu’il n’a pas revus depuis 4 ans. Pas évident pour cet homme à tout faire du grand Nottingham Sunny Vista, un hôtel qui appartenait autrefois à son père forcé de le vendre qui a d’autre chose en tête. M. Nottingham (Richard Griffiths) avait promis de confier un jour la direction à Skeeter mais sa patience a des limites. C’est alors qu’il découvre que les histoires qu’il invente pour border Bobbi & Patrick deviennent réalité !

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    Service minimum chez Disney avec Histoires enchantées porté par un Adam Sandler plutôt à l’aise et qui fera surtout plaisir aux plus petits. Toutefois, le film en lui-même est vraiment bien décevant car les scènes censées nous transporter dans un univers magique se comptent sur les doigts d’une main. L’imagination des enfants n’est pas très florissante et la magie a beaucoup de mal à opérer. On est donc loin de l’enchantement mais les enfants seront plus conciliants face à ce film familial qui, comme toutes les belles histoires, se termine bien !

     

    Il faut le voir pour : Inventer des histoires pour endormir vos enfants.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • I feel good

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    Si un jour vous passez dans la ville de Northampton dans le Massassuchets, sachez qu’il y a là-bas un groupe appelé les Young@heart. Il s’agit en fait d’une chorale rassemblée par Bob Cilman qui réinterprète les plus grands tubes mais la particularité de ce groupe tient au fait qu’ils sont tous des personnes âgées ! C’est avec une incroyable énergie qu’ils répètent tous les jours que Dieu fait afin de pouvoir s’éclater sur scène et ce n’est pas facile car Bob est un professeur exigeant. Avec des chansons comme Schizophrenia des Sonic Youth ou Fix You de Coldplay, il faut avouer que ce n’est pas exactement le répertoire auquel on s’attend.

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    Interdit aux moins de 50 ans ! Voilà un documentaire qui prouve s’il le fallait encore, que le poids des années n’entame en rien votre mental. C’est magnifique de voir ces seniors, souvent abandonnés à leur solitude, déborder de vigueur autour d’un projet commun aussi étonnant qu’enrichissant. Ce fut un coup de cœur de Stephen Walker qui a décidé d’en faire un projet pour le cinéma ; I feel good est plus qu’un simple documentaire, c’est une véritable leçon de vie. Beaucoup de joie de vivre mais aussi d’émotions sont rassemblées en 1H50 et c’est un Coup de cœur Ciné2909.

     

    Il faut le voir pour : Monter un groupe avec vos grands-parents.

  • L'oeil du mal

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    Notre pote Jerry Shaw (Shia LaBeouf) a toujours vécu dans l’ombre de son frère jumeau qui travaillait pour l’armée américaine. Ce dernier vient de mourir au cours d’un accident de la route et Jerry est effondré par la nouvelle mais à peine est-il revenu des funérailles qu’il est témoin de phénomènes étranges. Son compte bancaire qui était vide se retrouve enrichi de plus de 700 000 $ et lorsqu’il revient à son appartement, de nombreux colis l’attend. Soudain son téléphone sonne et une voix le prévient ; il vient d’etre activé, il a 30 secondes avant que le FBI ne débarque et découvre tout le matériel d’espionnage qu’il vient de recevoir.

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    Encore un film qui ne va pas rassurer les spectateurs Paranoiak puisqu’on y cause de complot, de projet top secret mené par le gouvernement à travers un scénario qui n’est pas sans rappeler Ennemi d’état. Les victimes sont cette fois le très en vogue Shia LaBeouf et Michelle Monaghan qui nous embarquent dans un thriller assez palpitant malgré cette désagréable  impression de déjà-vu. L’œil du mal n’apporte rien de nouveau et est loin de se révéler indispensable, vous voilà prévenus !

     

    Il faut le voir pour : Expliquer à votre petite-amie pourquoi il ne faut plus lui offrir de diamants

  • Les ailes pourpres – Le mystère des flamands

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    Vu du ciel, il ressemble à un lac de feu. Voici le lac Natron situé en Tanzanie où commence notre histoire, où commence l’histoire de tous ces oiseaux que l’on appelle les flamands roses.  Dès leur naissance, ils doivent apprendre à survivre que ce soit contre les autres animaux ou bien contre les lois de la nature. Pour cela, il faut migrer et ce sont des milliers de flamands qui se déplacent ensemble mais il arrive parfois que certains se retrouvent isolés et condamnés à leur propre sort. Les plus chanceux parviendront à grandir et voir leur plumage se développer et se déployer pour enfin s’envoler dans le ciel.

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    Une première plutôt loupé pour le label Disneynature avec un documentaire pas très convaincant voire même très ennuyeux. Evidemment, il y a de très belles images de la faune et de la flore africaine mais cela ne réussit pas à nous captiver outre mesure.  Chapeauté par Disney, on se dit que c’est une bonne occasion de sensibiliser les enfants mais ceux-ci risquent d’être choqués par la cruelle loi du plus fort qui n’épargne pas les bébés flamands. Bref, c’est long et pas très intéressant ; Les ailes pourpres – Le mystère des flamands ne parvient à aucun moment à s’envoler véritablement.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que le flamand ne nait pas rose.