Notre pote Charles Schine (Clive Owen) a plutôt bien réussie sa vie avec une charmante femme Deanne (Melissa George) avec laquelle il a donné naissance à l’adorable Amy (Addison Timlin). Malheureusement, derrière ce bonheur apparent se cache en fait une triste réalité puisque sa relation avec Deanne bat de l’aile et sa fille souffre de diabète. Pour la guérir, il a même du abandonner son poste d’enseignant pour travailler dans la publicité. Une certaine routine s’est installée dans son existence mais celui-ci va vite voler en éclats quand il va faire la connaissance de Lucinda Harris (Jennifer Aniston).

A force de voir la bande-annonce de ce film, je me suis décidé à aller le voir d’autant qu’il y a 2 acteurs que j’apprécie beaucoup : Clive Owen & Vincent Cassel. Pour être franc, le début est assez soporifique et la suite…ba un peu moins mais sans grandes surprises (même pas le coup de bluff de la fin). Seule consolation, quelques interventions très drôles de Cassel (enfin, il faut voir la version originale) qui nous tiennent éveillé.

Notre pote Malcolm Turner (Martin Lawrence) aurait pu se contenter de sa vie paisible d’agent interne du FBI pour se consacrer à sa famille. Mais quand il apprend que son ancien collègue s’est fait assassiner dans une affaire d’infiltration, il décide de revenir sur le terrain et d’endosser de nouveau le costume de Big Mamma ! En effet, il va ainsi devenir la nounou de la famille Fuller dont le père Tom (Mark Moses) serait sur le point de vendre un terrible virus informatique menaçant la sécurité nationale.

Enorme. A l’image du personnage de Big Mamma, ce film est une comédie très lourde avec un scénario quasi inexistant se réduisant à 2 phrases. Cela n’est qu’un prétexte pour nous offrir de nouvelles prestations de Big Mamma dont les faits et gestes semblent dictés par les désirs vénaux des producteurs. Quelques rires grâce surtout au petit Andrew mais en dehors de ça un film qui ne fera pas de vieux os !

En savoir plus sur Big Mamma ?

En savoir plus sur Big Mamma : De père en fils ?

Si vous voulez passer une bonne soirée, rien ne vaut un bon moment dans une fête foraine. Wendy (Mary Elizabeth Winstead) et ses amis ne se privent d'ailleurs pas pour essayer tous les manèges d'autant plus qu'il faut bien fêter la fin de leurs études ! Pour terminer en apothéose, il faut passer par le grand huit mais notre pote n'est pas très rassuré. Après une funeste vision, elle sort in extremis du manège et il semble qu'elle ait bien fait puisque la mort était au rendez-vous !

Après avoir eu quelques bribes des précédents épisodes, je savais à peu près à quoi m'attendre et c'est vrai que c'est plutôt un bon divertissement. La réalisation a cette fois été confiée à James Wong (La fiancée de Chucky) qui a le vent en poupe à Hollywood et qui nous démontre son talent à offrir un film dynamique avec sa dose d'hémoglobine. Ceux qui ont vu les deux précédents épisodes courront voir celui-là quant aux autres Destination Finale 3 est une découverte à faire.

Depuis sa plus tendre enfance, Johnny (Joaquin Phoenix) savait que son destin évoluerait dans le milieu de la musique. Un rêve qu’il tient d’autant plus à accomplir qu’il a perdu son frère et que son père ne lui a jamais témoigné le moindre signe d’affection. Les débuts seront difficiles pour cet artiste mais il n’aura de cesse d’y croire jusqu’au jour où il réussit enfin à enregistrer son premier disque. S’en suit alors une ascension fulgurante vers la gloire mais sa vie va prendre une toute autre tournure grâce à sa rencontre avec June Carter (Reese Whiterspoon).

Pour celles et ceux qui, comme moi, ne connaissaient pas cet artiste qu’était Johnny Cash, ce film est une opportunité en or de le découvrir. Après le succès de Ray, on a droit à un nouveau biopic et celui-ci est tout aussi réussi ; on pourra même relever de nombreux points communs entre les 2 artistes. Joaquin Phoenix est convaincant dans la peau d’un Johnny Cash qui devra vaincre ses démons intérieurs et Reese Whiterspoon prouve qu’elle est une comédienne accomplie puisqu’elle a notamment reçu l’Oscar de la meilleure actrice pour son rôle.

Découvre le film Dans la peau du héros !

La France vit actuellement une des pires périodes de son histoire. L'entraîneur de l'équipe nationale de football vient de se faire assassiner à la fin du match contre la Chine et devant des millions de spectateurs. Pire encore, la magnifique bague qui était en sa possession : la Panthère Rose a elle aussi disparue. Voilà une grande affaire à élucider qu’il faudrait confier aux meilleurs inspecteurs mais elle va tomber dans les mains de Jacques Clouseau (Steve Martin), le pire des gaffeurs !

Bon je dois vous avouer que La panthère rose déborde d’un humour particulièrement idiot et que dire si ce n’est que j’en raffole ! Après une bonne journée de travail, je n’ai pas arrêté de rire (voir Jean Reno danser en costume rose ça fait quelque chose!) et cela fait du bien malgré quelques éléments que l’on pourrait reprocher. Le film ne brille pas par son scénario car l’intrigue qui y est développé est secondaire mais c’est drôle bien que l’image du français en prenne un coup !

Découvre le film Dans la peau du héros !

Le 6 Avril 1994 est une date fatidique dans l’histoire du Rwanda. Ce sera le point de départ d’une recrudescence d’horreur dans le pays avec le massacre de près d’1 million d’hommes, femmes et enfants. Peu avant ce drame, on suit le quotidien de l’Ecole Technique Officielle dirigée par le Père Christopher (John Hurt) qui apporte tout le soutien qu’il peut. Cela fait déjà quelques années qu’il vit au Rwanda mais il ignore encore qu’il va vivre les heures les plus sombres du pays aboutissant à un génocide.

La sortie de ce film ne fut pas très médiatisée (les télévisions préférant se régaler pour le moment de la plastique de Sharon Stone) et heureusement que j’ai eu la chance de découvrir la bande annonce de Shooting Dogs ! Après Hotel Rwanda, ce film était donc forcément une programmation de choix et je ne peux que vous le conseiller vivement. De nombreuses images sont susceptibles de vous choquer mais si cela peut vous rassurer, ce n’est qu’une once de l’horreur qu’on pu vivre les victimes du génocide.

Découvre le film Dans la peau du héros !

La chance ne sourit pas à tout le monde et cela notre pote François Berthier (Benoit Poelvoorde) l’a bien compris. La machine à café qui déraille, un temps exécrable, des gens qui l’ignorent ou encore son supérieur qui lui tombe dessus ; voilà un charmant programme ! Et dire que ce n’est que le lundi, la semaine risque d’être difficile. Mais le jour suivant, à sa grande surprise, c’est tout l’inverse mais le bonheur est-il vraiment une fin en soi ?

A priori on s’attend à une comédie pure et dure avec un sujet assez délirant et une grande star en la personne de Benoit Poelvoorde. Toutefois, je dois vous dire que Du jour au lendemain est loin d’être hilarant tout au plus vous sourirez mais ce n’est pas pour autant qu’il est dénué d’intérêt. J’ai davantage perçu la volonté du réalisateur de vouloir démontrer que la quête du bonheur n’est pas la même pour tous. La réussite nous est dictée dès notre plus grande enfance mais est-ce bien là ce qui nous permettra de vivre heureux ?

Découvre le film Dans la peau du héros !

Clin d'oeil évident à l'affaire Elf, cette chronique judiciaire fut très passionnante à suivre notamment grâce à une magistrale Isabelle Huppert. Sa présence donne toute la force de caractère au film sans oublier les seconds rôles avec le toujours excellent François Berléand. L'ivresse du pouvoir est agréable à suivre et mérite que vous y jetiez un œil à moins que toutes ces histoires d’argent détourné ne vous donne le tournis !

Découvre le film Dans la peau du héros !

Marcus (Curtis 50 Cent Jackson) a eu une enfance difficile. Un père qu’il n’a jamais connu et une mère dealeuse de drogue et morte soi-disant accidentellement dans son appartement en flammes. Rien d’étonnant à le voir alors traîner et grandir dans les rues de New York devenant à son tour un véritable gangster dont le quotidien se résume à la vente de drogue et les échanges de coups de feu. Mais la vie offre parfois des portes de sortie qu’il faut savoir prendre et si Marcus s’en sortait grâce au rap ?

Librement inspiré de la vie du chanteur (ou rappeur si vous préférez) 50 Cent, ce film de gangsta-rap n’offre malheureusement aucune originalité. J’ai un peu l’impression d’avoir vu et revu Réussir ou Mourir avec ces histoires de gangs, de distribution de drogue et de règlements de compte. Les fans de l’artiste trouveront sans aucun doute leur compte quant aux autres, ils ne daigneront même pas y jeter un œil.

La vie du jeune Pippo (Raphaël Katz) est bien mouvementée. A peine âgé de 9 ans, il a du vivre une expérience bien difficile qui l’a amené à quitter ses parents. Il sera recueilli quelques temps plus tard par Gustave & Cécile (Jean Paul Rouve & Anne Brochet), 2 fermiers. Pippo va découvrir la vie à la campagne mais aussi s’épanouir au contact de différentes personnes lui redonnant ainsi le goût du bonheur.

Le temps des portes-plumes attirera avant tout les nostalgiques des années 50 et réveillera ainsi quelques souvenirs. On ne peut s’empêcher de penser à un film comme Les choristes bien que le sujet soit totalement différent puisque ici, on s’attarde davantage à nous dépeindre les personnages qui entourent le héros. Le charme a un peu de mal à opérer malgré la bonne bouille de Raphaël Katz. On appréciera toutefois tout le talent de Jean Paul Rouve & Lorant Deutsch dans un registre autre que celui du comique de service.