Hayley (Ellen Page) est une fille qui sait ce qu’elle veut et notre pote Jeff (Patrick Wilson) va en faire les frais. Ils se sont connus en discutant sur Internet depuis maintenant à peu près 3 semaines et le jour J est arrivé, celui de la rencontre entre les 2 chatteurs. Jeff qui est photographe a en effet proposé à la jeune adolescente de 14 ans de prendre quelques photos et le courant passant parfaitement, il l’invite dans son appartement. Le piège se referme peu à peu mais la proie n’est pas forcément celle que l’on croit !

La bande annonce était intéressante de par le sujet même si elle ne montrait pas grand-chose et pour cause il n’y a pas grand-chose ! Mise à part l’histoire qui rejoint malheureusement certains faits divers scabreux, Hard Candy joue énormément sur la psychologie des personnages. Cela aurait d’ailleurs pu être une bonne chose si la jeune Ellen Page était plus convaincante dans son rôle ou du moins plus surprenante. Reste quand même une séquence de chirurgie tout en suggestion bien menée mais qui ne rattrape pas la mollesse du film.

1955. Le monde se remet du drame que fut la 2^nde Guerre Mondiale et tous les services secrets sont aux abois. En France, on est particulièrement inquiet puisque cela fait plus d’un mois qu’on n’a pas reçu de nouvelles de l’agent OSS 283 envoyé en Egypte. On décide donc de faire appel à un autre agent et pas des moindres : Hubert Bonnisseur de la Bath (Jean Dujardin) plus connu sous le nom de code d’OSS 117 ! Direction Le Caire, véritable nid d’espions !

Une grande comédie qui aura eu le mérite de me détendre après une journée apocalyptique (non je n’exagère pas !). Je n’attendais pas grand-chose d’OSS 117 Le caire nid d'espions et c’est souvent dans ces cas-là que l’on a les meilleures surprises. On se marre du début jusqu’à la fin et le film est truffé de bonnes idées sans compter que Jean Dujardin est impeccable dans la peau de cet agent irrésistible. Vivement une suite !

En savoir plus sur OSS 117 Rio ne répond plus ?

Bienvenue à South Central, un melting-pot situé dans la banlieue de Los Angeles. C’est une nouvelle journée qui commence pour Jonathan (Jonathan Velasquez) et tous ses potes d’enfance qui enfourchent alors leurs skateboards pour envahir les rues. Originaires d’Amérique Latine et adeptes de la culture punk, ils sont vite considérés comme des marginaux par le reste de la population. Qu’importe, ils veulent s’éclater et pour cela, direction Beverly Hills !

Wassup Rockers oscille entre le film et le documentaire puisque chacun des garçons jouent son propre rôle. Le réalisateur a voulu retranscrire l’authenticité de ces jeunes garçons et le porter à l’écran ce qui donne un résultat plutôt agréable. On suit avec un certain entrain les aventures de ces jeunes latinos qui vont où les mènent leurs skates jusqu’à côtoyer la bourgeoisie retranchée au sein de Beverly Hills. Une curiosité à voir !

Quand Seo-young (Ye-jin Son) & In-su (Yong-joon Bae) arrivent à l’hôpital, ils ne s’attendaient pas à voir leur vie basculer de la sorte. Leurs compagnons respectifs entretiennent en effet une relation dont ils ignoraient totalement l’existence ce qui crée un certain malaise entre nos 2 héros. Avec le temps, ils vont apprendre à mieux se connaître jusqu’à devenir à leur tour un nouveau couple.

Un beau petit film pour les spectateurs qui apprécient les histoires d’amour et tous ces trucs à l’eau de rose. Il ne faut évidemment pas s’attendre à une avalanche d’action et d’effets spéciaux car bien au contraire April Snow regorge de plans fixes qui pourraient vous paraître bien ennuyeux. Si vous êtes du genre à regarder la neige tomber par la fenêtre alors ce film vous séduira certainement.

L’attraction principale du zoo de New York est sans conteste le lion qui par son terrible rugissement vous glacerait d’effroi en un rien de temps. Ryan peut donc être fier de son père le très respecté Samson qui a vécu autrefois dans la savane mais ce n’est pas tous les jours le cas. En effet, notre jeune héros voudrait bien savoir rugir aussi fort au lieu de miauler comme un petit chat. Ah, s’il avait grandi dans la savane tout comme son père, les choses auraient été bien différentes !

Dans la famille Je copie allègrement sur mes voisins pour pouvoir me faire de l’argent, Walt Disney est plutôt doué ! The Wild est une pale copie de Madagascar reprenant une trame historique quasiment identique, heureusement le géant américain a eu la décence de changer un peu le casting. Le film s’adresse avant tout aux jeunes spectateurs qui y trouveront facilement leur bonheur.

La vie de Fabrice (Fabrice Luchini) pourrait se résumer en un mot ou plutôt en un nom : Johnny Hallyday. Le rocker adoré de tous les français a de nombreux fans mais notre pote Fabrice est certainement l’un des plus fidèles. Les coffrets collectors, les éditions limitées, les posters ou encore les concerts de la star ; rien ne lui échappe et il serait bien difficile de concevoir sa vie sans Johnny. Et pourtant l’incroyable se produit, Fabrice se réveille dans un monde où le chanteur est un illustre inconnu.

Difficile d’échapper à ce film évènement avec la grande promotion dont il a bénéficié et le succès qui lui semble déjà acquis. L’idée de départ étant très bonne, la participation de Johnny Hallyday va en plus attirer en salles ses nombreux fans. Fabrice Luchini nous livre un one man show pendant toute la durée du film même si on sent un certain relâchement à mesure que l’on s’approche du dénouement.

La France du début du XX^ème siècle, c’est la Belle époque. La criminalité n’a jamais été aussi forte et l’Etat se doit d’assurer la protection du peuple. C’est ainsi qu’apparurent en 1912 les premières Brigades mobiles initiées par Georges Clémenceau, ministre de l’intérieur de l’époque. Au sein de cette brigade, nous retrouvons nos potes le commissaire Valentin (Clovis Cornillac) accompagné de ses 2 acolytes Terrasson (Olivier Gourmet) & Pujol (Edouard Baer) ; ils sont les Brigades du tigre !

Après avoir assisté à la Rencontre exclusive avec l’équipe du film Les brigades du tigre, je ne pouvais pas manquer ce rendez-vous et je n’ai pas été déçu. Ne connaissant aucunement la série télévisée, je ne pourrais vous dire si le film a su conserver son esprit en tout cas le réalisme est bel et bien là ! Avec un contexte historique passionnant et riche, c’est un bon film mené tambour battant par un trio d’acteurs formidables !

Nos potes Shirley & Dino (Corinne & Gilles Benizio) vont enfin pouvoir quitter l’univers forain et rejoindre la capitale. En effet, leur oncle vient de disparaître et leur a laissé en héritage un somptueux cadeau : un cabaret en plein cœur du quartier de Pigalle ; le Cabaret Paradis. Hélas, leur arrivée n’est pas du goût du voisinage notamment Jeff (Michel Vuillermoz), le propriétaire de la discothèque d’à coté qui leur réclame une dette contractée par leur oncle au cours d’une partie de poker.

Difficile de considérer Cabaret Paradis comme un film à part entière puisque la majeure partie est constituée de spectacles. A défaut de se croire au cinéma, on a plutôt l’impression d’être dans la salle du cabaret ce qui ne vous empêchera pas de rire face aux prestations de Shirley & Dino. Divertissant comme spectacle mais inintéressant au point de vue cinéma en raison d’un scénario tragiquement simpliste ; ce film est donc à réserver avant tout aux fans du duo et Dieu sait si ils sont nombreux !

Découvre le film Dans la peau du héros !

Les conditions de vie sont difficiles au Kurdistan si bien que les familles n’ont guère le choix, elles doivent expatrier leurs enfants pour que ceux-ci puissent en retour leur apporter une aide financière. Grâce à son frère déjà installé en Allemagne, Azad (Erdak Celik) quitte à son tour sa terre natale et aider ainsi sa famille. Toutefois, il ne tient pas à suivre les traces de son frère qui a perverti son âme et pour qui l’argent na pas d’odeur. Azad va prendre sous son aile le jeune Ibo (Xewat Gectan) qui vient d’arriver et découvre sa nouvelle vie.

Voilà exactement le genre de films que je n’aurais pas eu idée de découvrir si je ne possédais pas une carte UGC illimitée. Frères d’exil est brillant sur bien des points à commencer par une histoire dramatiquement poignante et surtout des comédiens époustouflants. Il ne faut pas prendre le film dans la dimension communautaire proposée mais vraiment dans sa globalité pour en percevoir toute la richesse. A découvrir mais attention toutefois aux âmes sensibles car le film n’est pas avare en scènes difficiles.