Sir Andrew Wyke (Michael Caine) est un grand écrivain dont le succès n’est plus à démontrer, un maitre du polar policier à l’imagination débordante. Quand il apprend que sa femme a un amant, il invite ce dernier à venir à sa rencontre non sans arrière-pensée. Dès que Milo Tindle (Jude Law) pénètre dans sa propriété, il ignore qu’il est entré dans le piège d’un jeu sordide planifié dans ses moindres détails. C’est à la demande de la femme d’Andrew que Milo est venu le voir afin de le convaincre de prononcer le divorce et pouvoir ainsi profiter pleinement de leur relation. De façon étrange, l’écrivain accepte la demande à la condition que Milo se plie à une demande des plus particulières.

Kenneth Granagh signe un film pour le moins déroutant reposant exclusivement sur le jeu d’acteur de Michael Caine & Jude Law. Remake du film du même nom, Le limier ne dévoile ses atouts qu’après la demi-heure où l’on comprend enfin les motivations de l’écrivain et surtout le coup d’éclat provoqué par un 3^ème fanfaron. Hormis cela, le film s’endort un peu sur ses lauriers faisant place à un dialogue entre ces 2 personnages. Le spectateur est un peu délaissé et tente avant tout de percer le vrai du faux dans les discours de chacun enfin si vous parvenez à rester éveillé.

Il faut le voir pour : Ne jamais mettre au défi un coiffeur.

Au lycée, Peter Parker (Tobey McGuire) n’est pas quelqu’un de très populaire auprès de ses camarades. Pris en grippe par le sportif Flash Thompson (Joe Manganiello), il peut néanmoins compter sur le soutien de son pote d’enfance Harry Osborn (James Franco) sans oublier il y a la belle Mary-Jane Watson (Kirsten Dunst) qui font s’envoler tous ces ennuis. Ce quotidien ordinaire va être bouleversé lorsque Peter se fait piquer par une araignée radioactive et à partir de ce moment là, d’étranges pouvoirs s’éveillent en lui. Fini pour lui la vie de looser, il va pouvoir profiter de ce don mais apprendra aux dépens de son entourage que de grands pouvoirs entraînent de grandes responsabilités. Ce sera la nouvelle ligne de conduite pour celui que l’on appellera Spider-Man !

    

Le film se sera fait attendre mais cela valait le coup ! Avec le personnage phare de la Marvel, le moindre faux pas était guetté par les fans du monde entier mais Sam Raimi a su relever le défi avec brio. Casting aussi prestigieux que fidèle aux personnages, Spider-Man est l’adaptation quasi parfaite du comic bien que certaines scènes ne respectent pas l’histoire originale mais encore faut-il pour cela connaitre le héros de Stan Lee sur le bout des doigts. Bien sur, quelques fans n’y trouveront pas leur compte mais il faut bien reconnaitre que dans l’ensemble on tient un beau succès qui entrainera logiquement la production de Spider-Man 2 !

La scène à ne pas louper : La confrontation avec le Bouffon vert.

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En 1942, sur les terres d’Ecosse la Seconde Guerre Mondiale bat son plein et Angus MacMorrow (Alex Etel) a dû se résoudre à grandir sans son père qui a été appelé à rejoindre l’armée britannique. Alors que les troupes du Capitaine Hamilton (David Morrissey) sont venus s’installer dans la propriété de sa mère, le jeune garçon fait une découverte des plus étranges : un œuf. La surprise est encore plus grande quand il aperçoit la créature qui en est sortie, une sorte de lézard. Baptisé Crusoé, il grandit à vue d’œil au fur et à mesure qu’on le nourrit et bientôt il faut s’en séparer et le livrer dans les profondes eaux du Loch Ness.

Ça sent les vacances avec Le dragon des mers qui est une jolie fable reprenant la mondialement connue légende du Loch Ness. Mythe ou réalité, on vous invite à découvrir les origines de ce monstre qui a fait la réputation de cette fameuse région écossaise avec un gentil film familial. Du point de vue scénario, pas de grosses surprises avec un jeune héros marginal qui va devenir le pote d’enfance de ce gentil monstre. Et puis il y a les méchants de l’armée qui ne pensent qu’à utiliser leurs munitions dont il faudra se méfier. En gros, du classique pour cette adaptation du roman de Dick King-Smith déjà auteur de Babe, Le dragon des mers est à réservé aux plus jeunes.

Il faut le voir pour : Vous convaincre de l’existence du monstre du Loch Ness.

Hier encore, le nom de la famille Gates était tout auréolé de fierté et aujourd’hui il est trainé dans la boue à cause d’une révélation qui a choqué le monde. Thomas Gates, arrière-arrière grand père de Benjamin (Nicholas Cage) aurait participé à l’assassinat d’Abraham Lincoln, fondateur des Etats-Unis. C’est une chose que ne peut supporter Ben qui est bien déterminé à rendre à son ancêtre l’honneur qu’il mérite. Dès ses premières recherches et avec l’aide d’Abigail, Riley et son père Patrick (Diane Kruger, Justin Bartha & Jon Voight), ils prennent la direction de l’Europe pour retrouver le bureau à Buckingham Palace. L’aventure ne fait que commencer !

Ceux qui sont à la recherche de sensations fortes et de découvertes seront heureux de retrouver Benjamin Gates qui avait connu un beau petit succès il y a maintenant 4 ans. Nicolas Cage endosse de nouveau l’habit dans un film distrayant mais franchement peu différent de son prédécesseur. Oui, l’action et l’aventure sont toujours au rendez-vous mais on reste vraiment déçu par Benjamin Gates et le livre des secrets où manque l’excitation du premier épisode. Néanmoins, c’est un bon apéritif en attendant le retour du seul et de l’unique Indiana Jones qui devrait valoir son pesant de cacahouètes pardon de pop-corn !

Il faut le voir pour : S’interroger sur ce qu’il y a à la page 47.

Il a été repêché en pleine mer non loin des cotes marseillaises. Inconscient et pour cause, il a reçu plusieurs balles dans le dos ; il s’est réveillé mais est complètement perdu car il ignore qui il est. Sa seule piste est un numéro de compte bancaire implanté dans son corps et qui va le conduire en Suisse où il fait une étrange découverte. Plusieurs passeports, beaucoup d’argent et des armes à feu mais toujours rien de concret sur sa véritable identité. Pas le temps de réfléchir, quelqu’un tente de l’arreter et lui ne peut compter que sur ses réflexes pour s’échapper.Enfin, il découvre un nom Bourne, Jason Bourne (Matt Damon).

En Septembre 2007, la saga Bourne s’était achevé avec La vengeance dans la peau tonitruant ce qui avait éveillé ma curiosité à découvrir ses premières aventures. Difficile de croire que La mémoire dans la peau ait suscité un si grand enthousiasme  aujourd’hui car le film a terriblement vieillit ne serait-ce qu’au niveau de l’image. Néanmoins, le personnage de Jason Bourne a ce coté mystérieux qui réussit à capter l’attention du spectateur et à créer ce lien indéfectible d’autant qu’un niveau de l’action, Damon se débrouille plutôt bien. Il reste maintenant à découvrir La mort dans la peau, second volet de la cavale de Bourne en espérant que lui n’aura pas pris autant de rides !

Une nouvelle vie commence pour nos 2 potes d’enfance Ryan & Ronnie (Troy Gentile & Josh Peck) qui viennent d’entrer dans leur nouvelle école. Hélas, cette première journée est une véritable catastrophe puisque non seulement ils portent la même chemise mais ils sont également devenus les souffres douleurs du terrible Filkins (Alex Frost). Persécutés dans leurs moindres mouvements, ils sont quotidiennement la risée de l’école et cette situation n’est plus tolérable ! Ils veulent faire appel à un garde du corps mais voilà une chose qui risque de leur couter cher et c’est là qu’entre en jeu Drillbitt Taylor (Owen Wilson).

Flirtant avec les Teen-movies, Drillbit Taylor : garde du corps reprend des éléments bien connus du cinéma. Il suffit de prendre 2 têtes à claques sympathiques et si possible aussi opposés que complémentaires (en l’occurrence un grand maigre et un petit gros), d’y rajouter quelques blagues et vous obtenez un film ! Entretemps, Owen Wilson vient se mêler à la fête et redonne un coup de boost à l’ensemble avant de devenir la caution morale de l’histoire car il en faut bien une. En résumé, ça reste une comédie qui passe le temps bien que l’on regrette un manque flagrant d’idées de la part des scénaristes.

Salut,

Je suis le Sergent Bob Lee Swagger (Mark Wahlberg), ancien tireur d’élite américain. Ancien parce qu’après ce que j’ai vécu en Ethiopie il y a 3 ans ; j’ai décidé de tout laisser derrière moi et de me retirer au calme.

Mais on a beau s’isoler, quand le gouvernement te cherche, il finit toujours par te trouver et c’est là que commencent tous mes ennuis. On m’a fait savoir que le Président allait être la victime d’un sniper situé à plus de 1600 mètres et on m’a demandé de le débusquer.

En prenant en compte toutes les conditions nécessaires pour un tel tir de précision, j’ai vite deviné où cet attentat allait avoir lieu mais je ne m’attendais pas à ce qu’on me tende un piège. Et puis surtout, ces salops ont tué mon chien !

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