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fabrice éboué

  • Amour sur place ou à emporter

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    A 30 ans … oui pardon 29 ans, notre pote Amelle (Amelle Chahbi) est encore à la recherche de l’homme de sa vie et si possible pas un qui aurait l’habitude de dépanner une copine. Comme pour beaucoup, c’est sur son lieu de travail qu’elle va trouver le bonheur puisque cette manageuse d’un Starbucks à Paris vient de rencontrer Noom (Noom Diawara). Bon ça n’a pas été immédiatement le coup de foudre entre les deux mais c’est une affaire de faux sein qui a tout déclenché et leur histoire a commencé. Ça se passait plutôt bien pour ce couple (sauf pour les économies de Noom !) mais à l’heure des présentations aux familles respectives, c’est plus délicat. Une arabe et un noir pour leurs familles c’est tout simplement une hérésie !

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    Succès sur les planches depuis 2011, Amour sur place ou à emporter a droit à sa promotion sur le grand écran portée par Amelle Chahbi qui en profite pour signer sa première comme réalisatrice. A ses cotés, il y a son acolyte Noom Diawara et s’il faut bien reconnaitre une chose c’est que leur énergie commune anime cette comédie. On apportera très vite un gros bémol car la mise en scène, tout comme le scénario, est ultra conventionnelle, les personnages secondaires sont fades et même l’humour est périmé. C’est qu’il est difficile de passer après Qu’est ce qu’on a fait au bon Dieu qui avait déjà utilisé à outrance cet humour concentré de préjugés. Quelques rires se disséminent dans de nombreux moments d’égarement, le titre fait référence à du fast-food on n’en est pas loin cinématographiquement parlant.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire le malin sur le plongeoir de la piscine !

  • Amour sur place ou à emporter

    Ils ont rencontré le succès sur les planches, Noom Diawara & Amelle Chahbi débarquent au cinéma avec Amour sur place ou à emporter. L'actrice en profite d'ailleurs pour signer sa première réalisation où l'on sera les témoins de la naissance d'un couple et surtout des aléas de leur vie.

    Date de sortie : 28 Mai 2014.


  • Le crocodile du Botswanga

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    Leslie Conda (Ibrahim Koma) est le nouvel espoir du football et notre pote Didier (Fabrice Eboué) peut remercier le ciel d’être son agent. Tous deux se rendent au Botswanga, pays d’origine du footballeur qui souhaite notamment disperser les cendres de sa mère disparue. Ils sont accueillis en grande pompe par le Président Bobo (Thomas Ngijol), un chef d’état aux méthodes quelque peu dictatoriales. Celui-ci s’est d’ailleurs mis en tête de créer une équipe nationale de football ; les Crocodiles du Botswanga et il compte bien entendu sur l’enfant du pays pour les mener à la victoire. Après avoir offert une jolie mallette d’1 million d’euros, il charge Didier de convaincre son joueur mais c’est loin d’être gagné !

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    Notre pote Fabrice Eboué est de retour à la réalisation et il en signe également le scénario. Le crocodile du Botswanga nous confronte à un dictateur plutôt original incarné par son inséparable compère Thomas Ngijol. A l’image de Case départ, cette comédie est loin de faire dans le raffiné bien au contraire ; il ne fait que puiser dans les habituels clichés pour nous faire rire. Un humour qui une fois encore ne plaira pas à tout le monde mais lorsqu’on l’apprécie difficile de s’empêcher de se marrer. On peut juste déplorer un certain manque de surprises ; les anciens du Jamel Comedy Club ne prennent malheureusement pas beaucoup de risques mais l’essentiel reste qu’on s’amuse plutôt bien.

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on crée un Ministère des cabinets en France !

  • Denis

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    Et si Anna (Audrey Dana) était la femme de sa vie ? C’est la question que se pose Vincent (Fabrice Eboué) mais son couple pourrait bien exploser à cause d’un autre homme : Denis (Jean-Paul Rouve) ! Celui-ci a en effet séduit les 2 précédentes conquêtes de Vincent et quand on voit sa dégaine, on a quand même du mal à comprendre comment il s’y est pris. Le dicton populaire dit Jamais deux sans trois aussi Vincent décide t-il d’ouvrir attentivement l’œil car il ne tient pas à se retrouver une nouvelle fois célibataire. Dans un premier temps, il fait tout pour empêcher la rencontre entre Anna & Denis mais il ne pourra que retarder l’inévitable et là il commence vraiment à flipper.

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    Le scénario est vite balancé et semblait offrir quelques moments de rigolades en perspective avec notamment un Jean-Paul Rouve au look invraisemblable. Oui c’est vrai qu’on aurait pu passer du bon temps en compagnie de Denis sauf que ce tombeur n’aura aucuns effets sur nous. C’est que le duo formé avec Fabrice Eboué ne provoque pas de grands fous rires et donc pour la grande comédie on repassera. Même ces séquences de catch qui auraient pu amuser les fans du genre (dont je fais partie) provoquent davantage l’accablement que les sourires et je suis pourtant plutôt bon public. Le charme n’opère jamais, loin de là donc on va vite l’oublier.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de pisser partout même si c’est la nature !

  • Case départ

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    Nos potes Joël & Régis (Thomas Ngijol & Fabrice Eboué) n’ont que peu de choses en commun ; le premier galère après avoir passé 3 mois en prison tandis que le second est un conseiller municipal prêt à tout pour se faire bien voir. Le seul lien qui les unit leur vient de leur père qui n’a jamais été très présent pour eux et dont les jours sont comptés. C’est en se rendant aux Antilles que leurs chemins se croisent et à cette occasion, ils se voient léguer une chose incroyable : l’acte d’affranchissement qui a libéré leurs ancêtres. Un héritage qui semble laisser de glace nos 2 compères qui détruisent le document ce qui a le don d’énerver leur vieille tante (Isabel del Carmen Solar Montalvo) qui leur jette alors un sort. Lorsqu’ils reprennent connaissance, ils se retrouvent en 1790, époque où les noirs sont encore considérés comme des esclaves.

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    Rendus célèbres grâce à leurs apparitions dans le Jamel Comedy Club, le duo Thomas Ngijol & Fabrice Eboué se lancent maintenant dans le cinéma avec évidemment une comédie à la clé. A noter que les 2 comédiens ne se sont pas juste contentés de faire les clowns devant la caméra mais ils se sont également impliqués dans l’écriture du scénario et dans la réalisation. Si leur humour ne vous a jamais séduit, il risque d’en être de même ici d’autant plus qu’ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère lorsqu’il s’agit de déballer leur lot de préjugés. L’objectif étant bien sur de sensibiliser les spectateurs sur le thème du racisme tout en ne perdant pas de vue qu’on est là pour se marrer. Résultat final réussi et donc Case départ est le film idéal pour se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus voir votre mamie de la même façon !

  • Fatal

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    En quelques titres, Fatal Bazooka (Michael Youn) est devenu la star du rap qui fait le buzz dans le monde entier. Le succès aidant, il mène une vie majestueuse cédant à tous les excès et sa dernière folie est d'ailleurs l'ouverture de son propre parc d'attractions : Fataland. Seulement à trop se reposer sur ses lauriers, Fatal voit arriver un rival qui va lui faire mal (si vous vous posez la question, la rime c'est fait exprès) en la personne de Chris Prolls (Stéphane Rousseau), nouvelle star de l'électro-pop. Quand ce dernier rafle toutes les récompenses aux Music Awards de la Musique, Fatal pète un plomb et précipite sa chute.

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    Personnage créé à l'occasion d'un des délires du célèbre animateur de M6, Fatal Bazooka accède donc à la postérité en devenant le héros d'un film. C'est également l'occasion pour Michael Youn de signer sa première réalisation et de donner naissance à une comédie à l'image de son créateur : souvent irrévérencieux et assez barge. On peut quand même s'étonner que Fatal ne soit pas allé un peu plus loin dans son humour primaire à croire que Youn s'est pas mal assagi avec le poids des années. Une bonne comédie qui réussit la mission de nous divertir à la condition évidemment que vous ne soyez pas allergique aux pitreries de l'artiste.

     

    Il faut le voir pour : Foutre ta cagoule !!