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Richard Bohringer

  • Une histoire d'amour

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    Il (Benoit Poelvoorde) est banquier et c’est l’une des plus grandes fortunes de France et il n’hésite pas à dépenser son argent pour satisfaire ses plaisirs et assouvir certains fantasmes. C’est ainsi qu’elle (Laetitia Casta) l’a rencontré et que débute une relation aussi sulfureuse qu’atypique. Bondage ou coups de fouet c’est ce type de rapports qu’il recherche et il trouve en elle un partenaire idéale cependant elle a déjà quelqu’un dans sa vie. De manière étonnante, son mari (Richard Bohringer) est au courant des infidélités de sa femme mais a fini par l’accepter et si celle-ci finissait par le quitter ?

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    Les rapports sado-maso sont une forme d’amour serait-on tenté de croire et c’est avec un certain intérêt qu’on frémissait de découvrir l’adaptation du roman Sévère que l’on doit à Régis Jauffret. Ce sont ainsi Laetitia Casta & Benoit Poelvoorde qui ont été casté pour donner vie à un couple aux mœurs aussi particulières que malheureusement bien peu crédibles. En dehors de se donner des gifles, de jouer avec un revolver ou de s’insulter, il ne ressort rien de cette liaison et même d'Une histoire d'amour en général. La première réalisation d’Hélène Fillières se veut austère n’hésitant pas à nous plonger dans quelques moments de silence dont vous pourriez bien profiter pour piquer un petit roupillon.

     

    Il faut le voir pour : Trouver des idées pour pimenter vos rapports !

  • La vérité si je mens

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    Edouard Vuibert (Richard Anconina) est sur le point de se faire expulser. Au chômage, il ne lui reste que 200 francs pour vivre et n’a aucune solution à l’horizon. Alors qu’il voulait se refaire à un jeu de hasard, il atterrit dans la cour de Victor Benzakem (Richard Bohringer), un des grands patrons du sentier. Sur un malentendu, celui-ci pense qu’Edouard est juif et par solidarité lui offre un travail dans sa fabrique de tissu. Avec le temps, notre pote apprend les ficelles du métier et se crée de nombreuses relations qui vont lui permettre de lancer sa propre affaire ce qui risque de ne pas plaire à Victor. Une décision qui ne sera pas sans conséquence puisqu’en plus de cela il est tombé sous le charme de Sandra (Amira Casar), la fille de son ancien patron.

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    Succès surprise au box-office, La vérité si je mens est entré dans l’histoire du cinéma français grâce notamment à l’esprit de franche camaraderie qui régnait. Ancré dans la culture juive et communautaire du quartier populaire du sentier, Thomas Gilou a su constituer une vraie famille rassemblant tout de même Richard Anconina, Richard Bohringer, Vincent Elbaz, Bruno Solo, José Garcia et le regretté Elie Kakou. Généreux et drôle, on pourrait reprocher à cette comédie de tirer un peu trop sur les ficelles aisées de la caricature mais ça n’en reste pas moins un excellent film malgré le poids des années et qu’on a toujours plaisir à revoir.

     

    En savoir plus sur La vérité si je mens 2 ?

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  • C'est beau une ville la nuit

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    Richard (Richard Bohringer), c’est un mec tranquille qui aime les gens et ça se voit ! Si vous voulez le voir, rendez-vous du coté de Ménilmontant, au Bar de La dernière chance où il boit un coup avec tous ceux qui l’entoure à commencer par sa fille chérie Romane (Romane Bohringer). Notre pote Richard aime la vie et il entend bien en profiter, il bouge ainsi avec son groupe de musicos donnant des concerts par-ci par-là et en un moins rien de temps, il se retrouve au Sénégal, son pays d’adoption. Sa vie est faite de plaisirs simples et il est tellement facile de trouver son bonheur quand on prend la peine d’ouvrir son cœur.

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    Difficile de parler de ce film et même de vous en offrir un résumé tant il est empreint du caractère impétueux de son comédien principal et réalisateur Richard Bohringer. C’est beau une ville la nuit est une sorte de Road-movie prenant parfois des allures de documentaire dans lequel sont éparpillés les bribes de souvenirs de Bohringer. Connaissant très peu le personnage et encore moins le roman homonyme dont le film est l’adaptation, il n’est pas étonnant que l’ennui ait pointé le bout de son nez. Ceci n’est pas un film mais le témoignage d’un homme qui aime sa vie et qui veut faire partager son bonheur à tous ; à vous de voir si vous êtes prêts à embarquer dans cette aventure pas comme les autres.

  • Richard Bohringer



    C’est dans le département de l’Allier et plus précisément dans la ville de Moulins qu’est né Richard Bohringer le 16 janvier 1941.

     

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