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Gaspard Ulliel

  • Les cinq légendes

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    Les enfants courent un grand danger ! A quelques jours de fêter Pâques, le maléfique Pitch est revenu et le croque-mitaine a pour ambition de transformer les merveilleux rêves des enfants en de terribles cauchemars. Heureusement, le Père Noël veille et fait appel à d’autres gardiens pour contrer cette menace ; c’est ainsi qu’il réunit la Fée des dents, le Marchand de sable et le Lapin de Pâques. Toutefois, l’équipe n’est pas encore au complet et c’est l’Homme-lune qui va désigner celui qui deviendra le prochain gardien : Jack Frost ! Peu d’enfants le connaissent et pourtant il apporte chaque année beaucoup de bonheur puisque c’est grâce à lui qu’on peut s’amuser dans la neige.

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    Le Père Noël, le Marchand de sable, le Lapin de Pâques et la Fée des dents (sans oublier sa filiale française) ; c’est une rencontre au sommet qui vous attend là. Dreamworks livre un film magnifique où l’on ne s’ennuie jamais d’autant plus qu’on est subjugué par la beauté et la finesse des graphismes notamment le soin apporté sur le givre et le sable. Bourré d’action, délicieusement drôle, c’est un vrai feu d’artifice pour les yeux et vous comprendrez aisément qu’il s’agit là d’un légendaire Coup de cœur Ciné2909 ! Avec Les cinq légendes, vous allez retrouver avec grand plaisir votre âme d’enfant et ça s’impose comme le rendez-vous familial incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Continuer à faire de beaux rêves !

  • L’art d’aimer

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    L’amour, il n’y a certainement pas de sentiment plus fort que celui-ci et chacun de nous s’est déjà laissé enivrer par cette douce sensation. On sait également que cela mène parfois à de drôles de situations, ce que l’on pensait simple devient soudainement très compliqué. Ce n’est pas notre pote Achille (François Cluzet) qui nous dira le contraire, lui qui vient de faire la connaissance de sa nouvelle et très charmante voisine (Frédérique Bel). Il y a aussi Isabelle (Julie Depardieu) qui n’a pas eu de relations sexuelles depuis 1 an mais qui fait de drôles de rêves. Ce ne sont donc pas les histoires qui manquent et on arrive toujours à la même conclusion : aimer est un véritable art !

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    En matière de vaudeville romantique, il n’y a pas meilleur réalisateur français que notre pote Emmanuel Mouret même s’il faut concéder que son cinéma peut laisser certains spectateurs totalement hermétiques. Plutôt qu’un film, L’art d’aimer prend la forme de différentes histoires présentées de manière disparate en de courtes séquences. Une bonne initiative pour maintenir un rythme même si on peut déplorer l’histoire entourant le personnage d’Ariane Ascaride un peu trop sommaire. Comme à son habitude, Mouret s’entoure d’un magnifique casting où il retrouve Frédérique Bel, Judith Godrèche mais aussi Julie Depardieu, François Cluzet ou Gaspard Ulliel en compagnie desquels on passe un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Garder la lumière allumée pour certaines choses …

  • La princesse de Montpensier

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    1562, une guerre soudaine éclate de nouveau entre Catholiques & Huguenots. Pour le Comte de Chabannes (Lambert Wilson), ces atrocités n’ont que trop durer et après avoir fait verser le sang d’une femme enceinte, il décide de se retirer. En cours de route, il croise le prince Philippe de Montpensier (Grégoire Leprince Ringuet), son ancien disciple. Philippe est sur le point d’épouser Marie de Mézières (Mélanie Thierry) qui était jusqu’ici promise à la famille de Guise, une nouvelle qui rend fou de colère Henri (Gaspard Ulliel). Bien que Marie ait été promise à son frère Mayenne (César Domboy), Henri éprouvait pour elle de l’amour, un sentiment qui était partagé. Forcée d’épouser Philippe, la princesse de Montpensier ne cessera d’aimer Henri.

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    Le piège des films d’époque c’est de plonger parfois le spectateur dans un profond ennui, ceci est d’autant plus vrai quand c’est le cinéma français qui s’y attelle. Bertrand Tavernier réussit toutefois à sauver les meubles grâce à un très beau casting dans l’ensemble que ce soit Lambert Wilson, Mélanie Thierry ou encore le toujours précieux Michel Vuillermoz et la découverte de Raphaël Personnaz. Un bémol sur la prestation de Grégoire Leprince-Ringuet, un tantinet trop docile pour véritablement être convainquant en Prince tyrannique (mais amoureux). Drôle d’histoire en tout cas que celle de La princesse de Montpensier, une belle leçon d’histoire mais qui ne nous épargne pas de quelques longueurs.

     

    Il faut le voir pour : Etre bien heureux que les nuits de noces ne se passent plus comme à l’époque !

  • Hannibal Lecter: Les origines du mal

     

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    Hannibal Lecter (Aaron Thomas /Gaspard Ulliel) n’a pas eu une enfance heureuse comme nombre d’entre nous. Il a vécu les horreurs de la guerre et a vu ses parents périr sous les balles ennemies sans parler de ce qui est arrivé à sa petite sœur Mischa (Helena-Lia Tachovska), un évènement qui hante encore ses nuits. Les années ont passé et notre pote est désormais un jeune homme qui a décidé de fuir son pays pour la France où il comptait retrouver la trace de son oncle au lieu de quoi il rencontre Lady Murasaki (Gong Li). Comment ce garçon timide va-t-il se muer en tueur implacable ?

     

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    Beaucoup d’attente autour de ce film puisque le personnage d’Hannibal Lecter est devenu culte pour toute une génération de cinéphiles. Pression donc sur Gaspard Ulliel qui a la lourde tache de succéder à Anthony Hopkins pour un résultat peu convaincant, Hannibal Lecter : Les origines du mal se résumant à une course-poursuite entre une victime et ses tortionnaires. Notre frenchie quant à lui parait bien timoré et l’on a du mal à croire qu’il s’agisse là des prémices d’un des plus grands cannibales de l’histoire du cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Connaitre la partie la plus tendre du corps humain.