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Cadences obstinées

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Une nouvelle année débute et elle s’annonce plutôt chargée pour Furio (Nuno Lopes) à qui l’on a confié la rénovation d’un hôtel. Carmine (Franco Nero) lui a accordé toute sa confiance si bien que de lourdes responsabilités pèsent sur lui et pour y faire face, il pourra compter sur l’aide de son pote Mattia (Ricardo Pereira). De son coté, Margo (Asia Argento) se réjouit beaucoup moins de ce travail car elle sent que le couple qu’elle forme avec Furio est en train de se briser. Qu’il est loin le temps où ils étaient enivrés par l’amour et la jeune femme avait même arrêté le violoncelle pour lui mais elle va avoir l’occasion de s’y remettre puisqu’elle a promis à Carmine qu’elle jouerait pour l’inauguration de l’hôtel.

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Voici donc le 2nd long-métrage de Fanny Ardant en tant que réalisatrice et elle signe également le scénario de ce drame qui risque de tomber dans les oubliettes du cinéma français. La faute déjà à une histoire peu voire pas passionnante avec ce couple qui s’aime autant qu’il se déchire mais qui nous laisse indifférent. Coté réalisation dans l’ensemble c’est assez soigné mais il ne faut pas se le cacher c’est quand même soporifique et pire encore cette scène de l’inauguration de l’hôtel frôle l’amateurisme (ce qui a du rassurer Mika pour son rôle primordial). Reste enfin le choix d’Asia Argento en tant que personnage principal et qui, par moment, fait irrémédiablement penser à l’artiste française et c’est bien là tout ce qu’on pourra retenir de ces Cadences obstinées.

 

Il faut le voir pour : Eviter de confier des enveloppes à des joueurs de poker !

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