C’est une opportunité qu’elle ne pouvait pas laisser passer ! Notre pote Hope Cassidy (Nikki Deloach), une jeune prodige de l’informatique vient de quitter les Etats-Unis Istanbul où elle va rejoindre le grand groupe de Galata. Pour accomplir son rêve, elle a même du se résoudre à laisser son petit ami James (Neil Hopkins) mais cela ne sera que le cadet de ses soucis face à ce qui l’attend ! Très vite elle se rend compte qu’on lui a volé son identité et qu’une autre jeune femme a pris sa place, elle n’est plus Hope Cassidy mais Kelly Roos. Comme si cela ne suffisait pas, elle est ensuite suspectée d’avoir détourné plus de 14 millions de dollars et tué un agent policier ; c’est une longue traque qui débute.

Alors que le premier épisode pouvait se targuer de mettre en scène Sandra Bullock, pour cette séquelle on a pris une jeune comédienne issue des séries télévisées Nikki Deloach. Traque sur Internet 2.0 n’apporte évidemment aucune révolution en terme de cinéma avec un scénario un peu tiré par les cheveux. On savait qu’Internet est un média où les pirates s’en donnent à cœur joie et ici on pousse un peu trop à l’extrême les mésaventures de l’héroïne. Bref, il s’agit là du genre de film qui tente de surfer sur la notoriété du premier pour essayer de ramener un peu plus d’argent, à voir de voir si vous souhaitez engraisser un peu plus les producteurs.

Découvrez le film Dans la peau du héros !

Contrairement aux autres filles de son âge, Dawn (Jesse Weixler) est fière de clamer haut et fort sa virginité. Ce n’est qu’après le mariage qu’elle s’offrira au père de ses enfants ; une conviction qui semblait inébranlable et pourtant quand elle croise le regard de Tobey (Hale Appleman), elle est submergée par de drôles de sentiments. Ce qui devait arriver arriva, Dawn est proche de succomber aux plaisirs de la chair mais Tobey joue les garçons impatients et regrettera de vouloir abuser d’elle en perdant une part de sa masculinité. En effet, Dawn découvre à cette occasion qu’une malédiction la frappe, un cauchemar qui a le nom de Vagina Dentata autrement dit un vagin denté !

Avec un script aussi barge, c’était certain que Teeth serait un film à ne pas manquer. Messieurs, inutile de vous dire qu’on en prend pour notre grade puisque les hommes sont dépeints comme des animaux qui ne pensent qu’à satisfaire leurs besoins sexuels. En plus de cela, apprêtez-vous à souffrir dans certaines scènes où ce qui est censé faire de nous des hommes est pernicieusement mis en danger. Un regret cependant concernant le manque de rythme du film puisqu’on baille un peu aux corneilles pendant les 45 premières minutes avant que Dawn ne resplendisse de mille feux à vous arracher…les yeux. On n’était pas loin du film culte mais ça reste un excellent film !

1938. C’est une journée tout ce qu’il y a de plus banale qui commence pour Indiana Jones (Harrison Ford) jusqu’au moment où il apprend que son père Henry (Sean Connery) a disparu. Il était sur les traces du plus grand trésor de tous les temps, l’obsession de toute sa vie : le sacré Graal. Avant qu’on ne perde sa trace, Henry a eu le temps de faire parvenir son carnet de notes à son fils ; une précieuse mine d’informations pour retrouver ce trésor. Indiana s’envole alors pour Venise où il apprend que son père est retenu prisonnier par les allemands qui veulent eux aussi s’emparer du trésor.

   

Jusqu’en 2008, il s’agissait là des dernières aventures d’Indiana Jones revenu dans un épisode davantage orienté pour le grand public. Retour donc aux voyages mais surtout à l’humour avec l’apparition prestigieuse de Sean Connery en père maladroit. Après la "déception" du second épisode, Steven Spielberg signe la véritable suite aux Aventuriers de l'arche perdue avec le retour de vieux potes d’enfance comme Marcus Brody ou Sallah. Passionnant de bout en bout, on y découvre aussi avec un plaisir non dissimulé les origines d’Indy ainsi que son véritable prénom ! Ah si seulement on n’avait pas eu droit à Indiana Jones et le royaume du crane de cristal après ça …

La scène à ne pas louper : Les épreuves conduisant au Graal.

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Nick Persons (Ice Cube) est un homme heureux…enfin presque ! Après avoir conquis le cœur de la belle Suzanne (Nia Long) ; elle et ses 2 enfants Lindsey & Kevin (Aleisha Allen & Philip Bolden) sont venus s’installer dans son petit appartement. Une cohabitation peu évidente d’autant que notre pote n’arrive pas à se concentrer sur son projet de magazine mais un changement s’impose. Il vient en effet d’apprendre qu’il va être père et qu’en plus de cela il va avoir des jumeaux ! Voilà donc les Persons qui déménagent et quittent la ville pour une spacieuse maison en campagne malheureusement dès les premières heures, les galères débutent.

Bien que On arrête quand ? soit le remake de Un million clé en main, il s’agit avant tout de la suite de la comédie On arrive quand ? sortie dans la plus grande des discrétions lors de l’été 2005. On ne change pas une formule qui perd et l’on retrouve les mêmes blagues poussives d’1 épisode à l’autre et c’est même encore plus flagrant avec celui-ci. A moins de sortir d’une longue période d’hibernation, j’ai du mal à voir quel public pourra se régler devant les nouvelles aventures de Nick Persons. Ceci explique l’arrivée directe sur le marché du DVD sans passer par la case Ciné et même là on est amené à se demander si cela vaut vraiment le coup.

Les officiers de police Armando Sancho & Salim Adel (Clifton Collins Jr & Cuba Gooding Jr) bossent à Los Angeles, ville de tous les vices. Hier soir, ils ont commis une terrible erreur en tuant un homme innocent ; une affaire qui intéresse au plus haut point les services internes bien décidés à éclairer cette situation. Alors que Sancho est hanté par ce qui s’est passé, Salim s’est engagé auprès du Lieutenant (Cole Hauser) à lui rendre un petit service. Il s’agit de remettre un sac rempli de drogue à des mexicains mais l’affaire va se corser avec l’entrée en jeu de dealers canadiens qui va tout faire foirer.

Voilà encore un film qui n’aura pas connu l’honneur d’une sortie en salles chez nous car il faut dire que Dirty n’a pas grand-chose à proposer. Nouveau film de gangsters avec un zest de policiers ripoux, ça tire dans tous les sens, ça trafique de la drogue et surtout les flics n’y sont pas décrits sous leur meilleur aspect. Pour pallier un peu au manque d’originalité de ce film, on a fait appel à 2 stars de la musique avec Wyclef Jean des Fugees et la première apparition de Taboo des Black Eyed Peas dans des rôles qui relèvent plus de la figuration qu’autre chose. Seule un petit secret révélé à la fin redonne un peu d’intérêt à ce film qui se laisse toutefois regarder grâce à sa réalisation dynamique.

James Bond : Bond. James Bond

En 1935, le professeur et célèbre aventurier Indiana Jones (Harrison Ford) parcourait la chine en quête de trésors. De découvertes en découvertes, il se fait également un tas d’ennemis dont Lao Che (Roy Chiao) qui pensait en avoir fini avec lui en faisant écraser son avion. C’est mal connaitre notre héros qui s’en sort miraculeusement indemne en compagnie de Willie (Kate Capshaw), une danseuse rencontrée à Shanghai et Demi-Lune (Jonathan Ke Quan), un enfant abandonné. Ils ont atterri en Inde et rejoignent un petit village où ils sont accueillis tels des élus envoyés par leur Dieu Shiva. Une nouvelle mission périlleuse s’annonce pour le Docteur Jones ; rejoindre le temple de Pankot et mettre la main sur la Pierre qui leur avait été dérobé.

    

Une fausse suite pour notre aventurier préféré puisqu’il s’agit d’un prequel à l’ambiance clairement plus sombre. Dans un climat de sorcellerie, Indiana Jones et le temple maudit s’adresse à un public moins familial avec des scènes plus sanglantes comme l’arrachage du cœur à main nue. Paradoxalement, le scénario introduit le personnage de Demi-Lune inoubliable par son intonation du "Docteur Jones" et qui aurait pu attirer les enfants en salle. Même le réalisateur Steven Spielberg n’a pas beaucoup d’estime  pour cet épisode et s’empressera de se faire pardonner avec Indiana Jones et la dernière croisade.

La scène à ne pas louper : Le repas au palais avec le Serpent surprise et la cervelle de singe en sorbet !

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