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cinema - Page 338

  • Batman, le défi

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    Selina Kyle (Michelle Pfeiffer) est une femme qui manque clairement d’assurance et qui est écrasée par l’autorité de son patron. Un soir, elle est victime d’un terrible accident et ce qui aurait du être une chute mortelle sera en fait sa renaissance en tant que Catwoman. Pendant ce temps, Gotham City est toujours la cible de nombreux criminels parmi lesquels on retrouve Oswald Cobblepot (Danny DeVito) appelé également le Pingouin. Pour défendre la ville, le richissime Bruce Wayne (Michael Keaton) répond toujours présent mais quand il sort la nuit, vous le connaissez davantage sous le nom de Batman !

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    Dans la même lignée que son prédécesseur, Batman le défi est une excellente adaptation du Dark Knight avec notamment un joli casting chez les vilains. La palme va évidemment à Michelle Pfeiffer grimée en Catwoman qui marquera les esprits et fera l’objet de nombreux fantasmes (loin du costume ridicule d’Halle Berry). Burton continue donc son exploration dans le monde sombre de Bruce Wayne / Batman et signera là sa dernière adaptation en date du héros avant de laisser le flambeau à l’exubérant Joel Schumacher.

     

    La scène à ne pas louper : Toutes celles où Michelle Pfeiffer est en costume de Catwoman !!
     
     
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  • Maradona par Kusturica

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    C’était un soir de 1986, le Mexique vibrait de passion pour la Coupe du monde de Football et un joueur entrait dans la légende. Diego Armando Maradona devient historique d’abord par un geste peu académique : La main de Dieu et surtout par un slalom improbable conclu par un but inoubliable contre l’Angleterre. Maradona est sans conteste un joueur exceptionnel mais ses exploits sportifs ont vite été balayés par ses nombreux problèmes personnels qui ont accélérés sa déchéance. Comment El pibe de Oro a-t-il frôlé la mort en raison de son addiction de la drogue, Emir Kusturica fan de la première heure se penche sur le cas et l’a suivi pendant 2 ans.

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    Pour ceux qui n’auraient pas assez de leur double dose quotidienne de football, un petit tour au cinéma s’impose pour Maradona par Kusturica. Excellent documentaire signé Emir Kusturica dévoré de passion pour ce joueur grandiose que fut Diego Maradona qui semble presque faire office de muse quand le réalisateur souligne les similitudes de la vie du footballeur avec sa filmographie. Son titre de Dieu du football argentin est loin d’être usurpé quand on voit avec quelle allégeance, de nombreux fans rendent hommage à leur idole. Un magnifique portrait dans lequel on découvre un Maradona plus émouvant que jamais lorsqu’il revient sur les erreurs passées et les dégâts qu’il a pu causer au sein de sa famille.



    Il faut le voir pour : Faire découvrir Maradona aux nouvelles générations.
  • Sex in the city - Le film

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    Qu’il est loin le temps où Carrie, Samantha, Miranda & Charlotte (Sarah Jessica Parker, Kim Cattrall, Cynthia Nixon & Kristin Davis) se réunissaient pour déguster un bon verre de Cosmopolitan et partager leurs histoires de célibataires. Aujourd’hui, Samantha profite de son bonheur à Los Angeles ; Miranda construit son foyer à Brooklyn, Charlotte vit un conte de fée avec sa petite famille et enfin Carrie Bradshaw s’apprête à devenir la femme de Big (Chris Noth). Tout est planifié dans les moindres détails pour faire de cette fête un jour inoubliable ; tout si ce n’est le marié ! Aux prises à de nombreux doutes, Big décide finalement d’abandonner l’élue de son cœur en plein cœur de la cérémonie.

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    Alors que la série avait fait ses adieux depuis seulement 4 ans, voici que Sex and the city s’offre le prestige d’une adaptation ciné qui fait du bien aux portefeuilles des 4 héroïnes à la recherche d’une carrière sur le grand écran. Les fans ne seront certainement pas dépaysés devant ce qui ressemble davantage à un long épisode qu’à autre chose. On retrouve bien évidemment tous les personnages qui ont fait le succès de la série avec en tête l’incandescente Kim Catrall mais aussi la prude Kristin Davis qui apporte un bon brin d’humour. Si vous n’avez jamais vu la série, le film n’en reste pas moins abordable mais plus sujet aux longueurs comme les sempiternels défilés de robes. Evidemment, les hommes risquent d’être un peu perdus dans cette jungle, à vous mesdemoiselles de négocier une sortie au ciné entre 2 matches de l’Euro !

     

     

    Il faut le voir pour : Retrouver vos potes d’enfance (pour les filles) / Faire plaisir à votre copine (pour les mecs).

  • Lockdown

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    Après des années de galère, la chance semble enfin sourire à Avery (Richard T. Jones). En effet, ce futur champion de natation vient d’être repéré et on lui a proposé de rejoindre une université ; une aubaine pour ce jeune père de famille. Hélas, quand il part fêter cet évènement avec ses 2 potes d’enfance Cashmere & Dre (Gabriel Casseus & De’aundre Bonds), les choses tournent à la tragédie. Ils sont en effet arrêtés en possession d’une arme à feu qui a servi à tuer une jeune femme quelques heures plus tôt et sont alors condamnés à la prison où leur amitié va voler en éclat. Derrière les barreaux un seul mot d’ordre : survivre et chacun doit se débrouiller seul !

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    Si vous êtes en manque d’épisodes de Prison Break, voilà un film qui devrait vous permettre de patienter un peu. Pas de grosses surprises avec Lockdown, on retrouve tout ce qui caractérise l’univers carcéral à savoir l’omniprésence de la violence, la guerre des gangs et bien sur les trafics en tout genre. Devant le film on a donc une désagréable impression de déjà-vu ne serait-ce qu’avec le trio de héros : Le mec bien, le bad boy et la victime.Loin d’être inoubliable, c’est un film qui vous divertira pendant plus d’1h30 mais qu’on oubliera aussitôt à cause de son manque d’idées.

  • Les portes du temps

    Salut à tous !

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    9b8c50ae627dcdeff4f0e5c6273c4774.jpgJe m’appelle Will Stanton (Alexander Ludwig), je me suis installé en Angleterre depuis quelques mois avec toute ma famille. Noël approche à grands pas et on va également fêter mon anniversaire ; je vais avoir 14 ans cette année !

     

    Mais il se passe des choses vraiment étranges ces derniers temps, je vois des choses bizarres autour de moi. Tout à l’heure quand je me suis retrouvé seul avec les 2 policiers, je suis certain qu’ils n’avaient rien d’humain ; on aurait dit des monstres ou un truc du genre.

     

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     Ce n’est que plus tard que j’apprendrais la vérité quand Miss Greythorne (Frances Conroy) et ses compagnons sont venus à ma rescousse. D’après eux je suis le 7ème fils du 7ème fils, je suis le chercheur qui doit sauver le monde des ténèbres.

     

     

    En savoir plus sur Les portes du temps

  • Française

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    Il y a encore 10 ans, Sofia (Alexandra Martinez / Hafsia Herzi) vivait encore en France. C’est en pleine nuit qu’elle a quitté le pays où elle est née et où elle a passé ses premières années pour rejoindre le Maroc, terres de ses ancêtres. Elle n’a jamais réellement compris les raisons qui ont poussé sa famille à partir comme des voleurs mais depuis tout ce temps, elle ne pense qu’à une chose : retourner en France. Pour cela, elle s’est investit à 100% sur ses études et si comme son père lui a promis, elle décroche tous ses examens, son rêve deviendra réalité. Mais au fur et à mesure que Sofia se rapproche de son but, elle voit surgir de nombreuses barrières à son éventuel retour en France.

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    Après sa révélation dans l’inoubliable La graine et le mulet qui lui aura valu son César du Meilleur espoir féminin 2008, Hafsia Herzi nous revient avec son premier grand rôle. Dans notre société contemporaine multiculturelle, la question de l’identité nationale est un vaste débat au sein duquel sont soulevés des questions comme l’intégration ou encore le racisme. La vision de Sofia est obstruée par son profond désir de retourner là où elle a vécu son enfance, comme elle le clame si fièrement, elle est Française. Hafsia Herzi donne corps à cette quête de liberté entravée par le poids des traditions culturelles et insuffle évidemment l’énergie à un film dont le sujet ne passionnera pas tout le monde.

     

    Il faut le voir pour : S’apercevoir que faire des devoirs peut rapporter gros !

  • Les seigneurs de Dogtown

    Nous sommes en 1975 sur les cotes californiennes où nous retrouvons 3 jeunes garçons dont les noms resteront dans les mémoires : Jay Adams, Tony Alva & Stacy (Emile Hirsch, Victor Rasuk & John Robinson). Leur passion c’est le skate-board et à force de faire chauffer la gomme, ils sont devenus de véritables petits champions dans cette bonne vieille ville de Dogtown. Quand ils ne roulent pas, ils se réunissent dans le magasin Zephyr géré par Skip Engblom (Heath Ledger) qui se rend bien compte qu’il a en sa présence des talents à l’état pur. Skip va donc les inscrire à un concours défendant ainsi les couleurs de Zéphyr ce qui va lui permettre de lancer un véritable business.

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    Bien loin d’un simple film sur des champions de skate-board, Les seigneurs de Dogtown c’est avant tout le portrait de 3 grands champions mais dont les destins ont divergé. Ceux que l’on appelait les Z-boys ont apporté une véritable révolution à leur passion en important certaines figures issues du surf à leurs simples skates. A la réalisation on retrouvé Catherine Hardwicke, un nom qui ne vous dit certainement rien mais à qui l’on doit déjà l’excellent Thirteen. Pour les amateurs de skate-board, voilà donc un film très intéressant sur la vie de ces champions qui avaient également fait l’objet du documentaire Dogtown & Z-Boys.

     

     Découvre le film Dans la peau du héros !

  • Grace is gone

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    Quand elle est partie défendre les couleurs de son pays en Irak, Stanley Philipps (John Cusack) était très fier de sa femme. Il aurait lui aussi voulu prêter main forte à son armée mais sa vue déficiente a condamné sa carrière militaire et le voilà aujourd’hui gérant de magasin. Avec l’absence de sa femme, il doit également prendre soin de ses 2 adorables filles que sont Dawn & Heidi (Gracie Bednarczyck & Shélan O’Keefe). Un jour, 2 officiers viennent frapper à sa porte venant lui apprendre une nouvelle qu’il redoutait. Encore abasourdi par ce drame, il n’arrive pas à l’annoncer à ses enfants et sur un coup de tête va les conduire au Jardin enchanté, une fuite qui ne pourra pas durer éternellement. Il faudra se résoudre à admettre que Grace est partie.

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    On le sait l’implication militaire américaine en Irak a divisé l’opinion publique avec d’un coté les défenseurs d’une paix mondiale utopique et des patriotes fiers de voir leur armée combattre pour un semblant de justice. Malgré un Stanley plutôt favorable à cette intervention, Grace is gone nous ramène sur terre en s’intéressant avant tout au sort de cette famille abandonnée au désespoir. Retardant une échéance que l’on sait inéluctable et point culminant en terme d’émotion ; ce road-movie traine un peu en longueur mais en même temps ne prend pas cause à un parti quel qu’il soit. Devant la disparition d’un proche, il n’y a plus vraiment grand-chose à comprendre ; que l’on soit partisan ou opposant à ce conflit ; la souffrance reste immense.

     

    Il faut le voir pour : Partager avec votre enfant sa première clope (et savoir jouer un peu de la comédie).

  • Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal

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    Démis de ses fonctions de professeur, Indiana Jones (Harrison Ford) s’apprêtait à rejoindre l’Angleterre pour recommencer une nouvelle vie mais il est rattrapé in-extremis par le jeune Mutt Williams (Shia LaBeouf). Un de ses anciens collègues, le professeur Oxley (John Hurt) aurait mis la main sur un trésor inestimable ; un crane de cristal dont on ignore la réelle origine. Une découverte de grande importance qui suscite vite l’intérêt du KGB avec à sa tête l’impitoyable Irina Spalko (Cate Blanchett). Revoilà donc le plus grand aventurier de tous les temps qui reprend du service et part pour le Pérou où l’attend l’un des plus grands mystères de l’humanité.

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    S’il y a un plaisir indéniable à retrouver le héros de notre enfance, Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal se révèle décevant après une si longue absence. Cet ultime volet reste fidèle à la saga, Spielberg n’encombre pas l’écran avec les derniers effets spéciaux à la monde à tel point qu’on se dit que le film aurait pu être tourné il y a 20 ans. Par contre, je fais parti des spectateurs un peu circonspects au niveau du scénario qui, sans trahir la trame du film, se lance dans un univers de science-fiction totalement décalé par rapport à l’esprit du personnage. Sans oublier quelques scènes vraiment poussives, on se demande finalement si c’était une bonne idée de le faire revenir !

     

    Il faut le voir pour : Fêter les retrouvailles avec Indy !

     

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  • Enfances

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    On dit souvent que la vie passe trop vite, que les années défilent sans que l’on s’en rende vraiment compte. Il vous arrive certainement parfois de faire preuve de nostalgie et de repenser à ces années d’innocence où chaque journée contribuait à la découverte du monde. Un évènement, des personnes, des gestes ou parfois même une odeur suffisent pour que l’on se replonge dans nos souvenirs et se remémorer les bons comme les moins bons cotés de notre enfance. Ils s’appelaient Orson (Brandon Darai), Jean (Elliot Margue) ou encore Alfred (Grégoire Azouvy) et ont tous vécu de grands moments qui ont marqué leurs jeunes années mais surtout leur existence en devenant des artistes reconnus.

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    En voilà une belle idée que de s’intéresser à l’enfance de ces illustres artistes ! Un peu dans le style de Paris, Je t’aime ; le thème de l’enfance est décliné à travers différentes personnalités dont la description nous est proposée par l'intermédiaire de 6 petits portraits. Comme souvent dans ce genre d’initiatives, les séquences sont de qualité inégale variant selon la sensibilité du spectateur. Chaque court-métrage se termine par une citation de la personne concernée et on finit par se prendre au jeu du Qui est cet enfant ? Si Enfances n’est pas le film de l’année, l’originalité est pour une fois au rendez-vous et c’est pourquoi je vous conseille d’y jeter un petit œil !!

     

    Il faut le voir pour : Se remémorer votre enfance !