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  • Erreur de la banque en votre faveur

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    Au bout de presque 17 ans de service, Julien Foucault (Gérard Lanvin) va rendre son tablier. Maitre d’hôtel très apprécié par tout le monde, ce départ est l’occasion de tourner une page de sa vie et de se lancer dans un projet qui lui tient à cœur : ouvrir un restaurant avec son pote d’enfance Etienne (Jean-Pierre Darroussin). Pour cela, il comptait sur le soutien de son ancien employeur qui lui consentirait un prêt à un taux préférentiel mais c’est la douche froide ! A la recherche d’argent, il décide alors de se lancer dans la bourse ; un domaine qui lui est totalement inconnu mais il va se fier aux informations confidentielles qu’il a entendu… disons par hasard. En effet, les murs ont des oreilles et de sa cuisine, il entend les conversations très privées des banquiers.

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    Définition du délit d’initié : Moyen rapide et efficace de faire fructifier de l’argent ! Le ton est donné dans cette comédie qui vous réserve quelques moments de franche rigolade sur fonds de spéculation financière. D’un coté, nous avons les banquiers pour qui l’argent ne sert qu’à en avoir plus et de l’autre les gens issus de la France d’en bas qui ont beaucoup de mal à boucler leur fin de mois. L’image est certes réductrice mais Erreur de la banque en votre faveur s’en contente pour nous délivrer une histoire dont la conclusion est connue d’avance. Agréable comédie que vous apprécierez surtout si vous n’êtes pas à découvert sur votre compte !

     

    Il faut le voir pour : Que les médecins coupent leur portable pendant les opérations, on sera plus rassuré !

  • Fast & Furious 4

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    Alors qu’il est activement recherché par la police, Dominic Toretto (Vin Diesel) a pris le risque de revenir à Los Angeles et ce n’est pas par plaisir qu’il fait cela. Il est là pour assister aux funérailles de la femme de sa vie, Letty (Michelle Rodriguez) qui a été assassinée et il a bien l’intention de la venger. Pendant ce temps, son pote d’enfance Brian O’Conner (Paul Walker) toujours agent du FBI chercher à coincer un gros trafiquant de drogue connu sous le nom de Braga (????). Le seul souci c’est qu’ils n’ont aucune autre information sur ce criminel et l’enquête pédale dans la semoule (ou si vous préférez, les roues patinent dans le sable). Dominic & Brian vont devoir s’associer de nouveau pour démanteler ce réseau et également retrouver celui qui a tué Letty !

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    Start your engine ! Retour aux sources pour la saga Fast & Furious qui voit revenir ses 4 héros originels pour redonner un coup d’accélérateur mais attention aux virages. Evidemment pas de grandes surprises avec Fast & Furious 4 ; on a ce qu’on est venu chercher à savoir de l’action, des belles carrosseries (dans tous les sens du terme) et des courses effrénés. Toutefois, à part une poursuite dans des souterrains, on peut qu’être assez déçu par ce dernier épisode qui manque franchement de fun. Le film se prend trop au sérieux alors que franchement tout le monde se fiche de l’histoire !

     

    Il faut le voir pour : Choper des idées pour "tuner" votre Twingo

  • Détour mortel

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    C’est un accident de la route qui a provoqué de grosses perturbations bloquant ainsi la circulation. Pas de chance pour notre pote Chris (Desmond Harrington) qui est super pressé et qui décide donc de faire demi-tour pour prendre un autre itinéraire. Roulant à vive allure et à cause d’une seconde d’inattention, il percute un autre véhicule qui était à l’arrêt. Jessie, Carly, Francine, Scott & Evan (Eliza Dushku, Emmanuelle Chriqui, Lindy Booth, Jeremy Sisto & Kevin Zegers) se retrouvent désormais paumés au milieu de nulle part et un groupe part chercher de l’aide mais c’est la mort qui les attend. Ils vont tous devenir les proies de meurtriers dévisagés, Ahahahahahaha….

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    Si vous avez déjà vu La colline a des yeux alors ce Détour mortel vous semblera extrêmement familier. En gros, l’histoire est la même et l’on s’est juste contenté de modifier le contexte pour pouvoir dire qu’il s’agit là d’une œuvre originale. Au menu donc des hommes mutants qui passent leur journée à faire de la boucherie humaine et bien sur des victimes qui tombent comme des mouches. Rien de révolutionnaire donc, un film tout ce qu’il y a de plus scolaire destiné à vous faire cracher des sous pour se rentabiliser allant jusqu’à nous proposer une suite.

  • Frost/Nixon, l’heure de vérité

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    C’est un évènement sans précédent dans l’histoire américaine ; Richard Nixon (Frank Langella) est le premier président à démissionner de ses fonctions officielles. En répercussion directe du scandale provoqué par l’affaire du Watergate durant lequel des micros ont été dissimulés dans les bureaux du Parti Démocrate, Nixon était contraint de quitter la Maison blanche et cela n’a pas échappé à David Frost (Michael Sheen). Présentateur vedette de talk-shows en Angleterre et en Australie ; il se prend alors à rêver d’une interview avec le 37ème président des Etats-Unis. Peu le prennent au sérieux et pourtant David va tout mettre en œuvre pour monter cette entrevue qui restera dans les mémoires comme celle où Nixon reconnait ses erreurs passées.

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    On pourrait comparer ça à des Confessions intimes version politique mais quand en face de vous vous avez un ancien président des Etats-Unis ; ça a quand même plus de gueule qu’un mec qui préfère la compagnie de son chien à celle de sa femme !  Frost/Nixon, l’heure de vérité est adapté d’une pièce de théâtre inspirée par les évènements du Watergate qui réunissait déjà le duo Frank Langella / Michael Sheen. Film très intéressant sur une partie de l’histoire américaine qui a eu un faible écho chez nous, Ron Howard déroule son savoir-faire pour captiver les spectateurs et ça fonctionne merveilleusement.

     

    Il faut le voir pour : Jeter toutes vos chaussures qui n’ont pas de lacets !

  • Prédictions

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    Depuis la disparition de sa femme, notre pote John Koestler (Nicolas Cage) n’est plus vraiment le même homme. Régulièrement, il vide les bouteilles d’alcool pour noyer son chagrin mais tente tout de même de garder un certain contrôle pour le bien de son fils Caleb (Chandler Canterbury). Pour ce dernier un évènement l’attend ; son école fête son cinquantenaire et déterre pour l’occasion une capsule contenant un héritage laissé par les anciens élèves. Caleb reçoit l’enveloppe d’une certaine Lucinda Embry (Lara Robinson) où il découvre une feuille remplie de chiffres. Le même soir alors que John a déjà bu quelques verres, il découvre que cette feuille récapitule en fait les dates et le nombre des victimes des catastrophes qui ont eu lieu ces 50 dernières années !

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    Et si on était capable de prédire les catastrophes ?  Et si l’OL n’était pas champion cette année ? Autant de questions que se pose notre pote Nicolas Cage qui passe du statut de veuf dépressif à celui de messager d’une Apocalypse imminente. L’histoire de départ a de quoi nous séduire avec ces Prédictions entourées de mystère mais la dernière partie risque d’en laisser plus d’un perplexe. On se consolera néanmoins avec 2 scènes catastrophes qui nous plongent dans une dimension spectaculaire de grande classe et qui nous laisse vissé au fauteuil. Il faut savoir faire abstraction d’un dénouement abracadabrantesque pour se contenter des quelques scènes d’action.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus prendre l’avion, ne plus prendre le métro et rester chez vous devant Ciné2909 !!

  • Dragonball evolution

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    Il y a 2000 ans, la Terre était sur le point d’être anéantie par le démon Piccolo (James Marsters) et le monstre Oozaru. Fort heureusement, des guerriers se sont dressés sur sa route et grâce au Ma Fu Ba, ils sont parvenus à l’emprisonner dans les entrailles de la Terre. Goku (Justin Chatwin) fête aujourd’hui ses 18 ans et son grand-père Gohan (Randall Duk Kim) lui offre un précieux cadeau ; la boule de cristal aux 4 étoiles. Il lui raconte à cette occasion la légende de Shen Long, le puissant dragon apparaissant à la réunion des 7 boules de cristal et capable d’exaucer n’importe quel vœu. Un pouvoir que convoite Piccolo tout juste libéré.

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    Faut-il vraiment présenter Dragon Ball qui est une des références du manga ? Ce succès planétaire ne pouvait échapper bien longtemps à Hollywood et ce qu’on craignait est arrivé ; une adaptation totalement loupée. Il est bien difficile de retrouver l’univers d’Akira Toriyama dans ce film ridicule où Goku semble tout droit sorti d’une vieille série américaine. Les combats se résument à des phases de kung-fu ponctués de quelques effets spéciaux de bas étage, les personnages sont dénaturés bref c’est une vrai catastrophe ! Pour les grans fans de l’œuvre original, les boules c’est sur qu’on les a car Dragonball evolution est un pur navet. S’il vous plait, ne produisez pas une suite !!

     

    Il faut le voir pour : Rassembler les boules de cristal et demander au dragon de faire disparaitre ce film.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Monstres contre Aliens

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    Ce devait être le plus beau jour de la vie de notre pote Susan, celui où elle épouse le beau et talentueux Derek. Pas de chance, à quelques minutes de la cérémonie, elle est littéralement écrasée par une météorite et les effets ne se font pas attendre. A l’intérieur de l’église, les radiations émanent de son corps et elle devient une géante dévastant tout autour d’elle. A peine le temps de réaliser ce qu’il se passe, elle est prise en charge par le Général W. Putsch qui tient là un nouveau spécimen pour sa collection de monstres. En effet, dans le plus grand des secrets des monstres sont maintenus en captivité mais une invasion alien va leur permettre de revoir la lumière du jour.

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    Prévenez vos enfants, il faut aller faire un tour au cinéma pour se gondoler devant Monstres contre Aliens, la tout dernière merveille de chez Dreamworks. Voilà encore un film d’animation qui fera le bonheur de toute la famille. Les petits vont s’éclater devant cette foire aux monstres tandis que les plus grands apprécieront les nombreuses références entre autres cinématographiques (Godzilla, La mouche….) auxquelles se raccrochent les auteurs. Toujours aussi irréprochable techniquement parlant, seule l’histoire aurait mérité d’être plus travaillé car un quintet de monstres confronté à un alien, ça fait un peu léger. Il ne s’agit là que d’un détail car on s’éclate et c’est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Ne plus mettre le bouton du café à coté de celui de la Bombe atomique.


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Gamer

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    Petit truand sans grandes ambitions à la solde d’Albert (Jean-Pierre Kalfon), notre pote Tony (Saïd Taghmaoui) a eu le temps de gamberger pendant les 8 mois de prison qu’il a effectué. Il tourne une page de sa vie et se lance dans un pari insensé : il a trouvé une idée de jeu vidéo révolutionnaire qui sera la clé de sa richesse. Il profite du salon du jeu vidéo pour aller proposer son projet mais peu d’éditeurs lui laissent sa chance à l’exception de Gamestart. Intéressée par le concept, la responsable Valérie Fischer (Arielle Dombasle) demande à avoir une démo et Tony doit faire marcher ses relations afin de développer son jeu. Au moment de signer le contrat, il pense avoir décroché le gros lot mais va vite déchanter !

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    Pas de secrets, Gamer vise bien évidemment les fans de jeu vidéo multipliant les références à Tomb Raider, Wipeout et autres Metal Gear Solid. Les excités du paddle seront donc en terrain connu mais c’est bien là la seule consolation car hormis ce détail, voici un magnifique navet à déguster avec modération. Allant jusqu’au bout de son idée, le réalisateur Patrick Lévy introduit dans le film des séquences de jeux vidéos, modélisant aussi bien les acteurs que leur environnement. Difficile de ne pas rire devant ces scènes très kitchs (Gérard Vives en clone de JCVD , c’est pas mal non plus) et après ça, même les joueurs auront envie de faire profil bas.

  • Les cavaliers de l’apocalypse

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    Sans s’en rendre vraiment compte, notre pote  Aidan Breslin (Dennis Quaid) a vu sa famille se désagréger. Tout a commencé avec la disparition de sa femme à la suite d’une longue maladie laissant 2 garçons orphelins de mère. Trop absorbé qu’il était par son boulot, Aidan n’était même pas aux cotés de sa femme lorsqu’elle a rendu l’âme ; une chose qu’a du mal à accepter son fils ainé Alex (Lou Tylor Pucci). Depuis rien n’a vraiment changé, le travail accapare la plupart de son temps et pour se faire pardonner il glisse quelques billets en guise d’excuses. Les garçons sont d’autant plus délaissés que leur père est sur une étrange affaire, une série de meurtres atroces entourée de mystères.

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    Commençons par les points positifs…bon ça c’est fait ! Les cavaliers de l’apocalypse se veut être un thriller angoissant s’inspirant des écrits de la Bible mais ça a davantage l’apparence d’un bon gros navet. Ça fait parfois penser à Seven mais jamais on n’atteint ne serait-ce qu’un dixième du génie de Fincher. Si encore l’histoire tenait un tant soit peu la route, ça aurait pu sauver les meubles mais le film est pareil à la conclusion à savoir grotesque. Il est consternant de voir ce genre de films sortir au cinéma alors qu’il mériterait à peine une sortie en DVD, vous voilà donc prévenus !

     

    Il faut le voir pour : Savoir ce que ressentent les poissons qui se font attraper.

  • La véritable histoire du chat botté

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    Chaque matin, notre pote P’tit Pierre prend sa barque pour se rendre sous la fenêtre de la chambre de la Princesse Manon pour l’écouter chanter. Ce fils de meunier est fou amoureux de la jeune fille mais sait également qu’il n’a aucune chance d’être un jour son prince charmant. Aujourd’hui, c’est avec tristesse qu’il se rend auprès de son père qui vit ses dernières heures et qui va lui léguer un héritage bien curieux : le chat. Mais pas n’importe lequel ! Ce chat parle et est débrouillard comme pas deux. Pierre reçoit également comme instruction de confectionner à son nouveau compagnon des bottes à partir d’un cuir rouge.

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    Inspiré avant tout par le conte de Charles Perrault, on ne peut cependant pas s’empêcher de penser que le personnage du Chat botté a été remis au gout du jour par la saga Shrek. D’ailleurs les studios de Dreamworks planchent eux aussi sur un film d’animation qui lui serait entièrement dédié et l’on espère que le résultat sera plus intéressant que La véritable histoire du chat botté. Histoire parfois confuse, des séquences musicales pas toujours bien inspirées (notamment dans le choix des chansons) ; il n’y a finalement pas grand-chose qui pourrait vous botter si vous avez dépassé l’âge pour ce genre de film.

     

    Il faut le voir pour : Jeter vos bottes rouges, ce n’est plus à la mode.